Sophie B
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Vues: 20954 Created: 2008.02.01 Mis à jour: 2008.02.01

Sophie B

Sophie B

Je m'appelle Sophie, j'ai 20 ans. Je suis étudiante, châtain clair. Je suis mince et sportive (...et je me trouve assez jolie...)

J'ai toujours été attiré par les couches culottes mais je ne joue pas au bébé.

J'aime les couches pour la sensation qu'elles procurent. J'aime les garçons (j'en ai eue quelques un) mais aucun n'a jamais connu mon fantasme.

Depuis peu, je vis dans un appartement rien qu'a moi, et c'est seulement depuis que je porte des couches. Je n'en porte pas tout le temps et je sors parfois avec même si j'ai un peu peur que cela ne se remarque...

J'ai acheté mes premières couches il n'y a pas très longtemps, donc. C'était un vendredi. Je suis sortie de cours et j'ai filé dans ma voiture pour me rendre à Carrefour. Je suis allée dans ce magasin car il est assez loin de chez moi et je risquais moins de rencontrer quelqu'un que je connaissais. J'était super excitée ! J'avais souvent vu les changes en rayons et je fantasmais sur ces fabuleux paquets...

J'ai donc pris un paquet de couches (orlys) et de la nourriture pour chat (j'allais aussi demandé une facture a la caisse, la caissière penserai sûrement que je fais les courses pour quelqu'un d'autre...) J'arrive donc à la caisse, anxieuse, mais excitée comme jamais. Personne ne fait attention à moi : parfait.

Je file vers ma voiture, je me sens drôle comme la première fois ou j'ai embrassé un garçon, fumé une cigarette (je ne fume pas et je déteste la fumée des autres...) ou encore la première fois que j'ai couchée avec un garçon... Je rentre dans la voiture et je regarde sans oser l'ouvrir mon premier paquet de couches (enfin...de couche pour adulte...)

Je rentre chez moi je pose mon sac j'ouvre le plastique je sors une couche, je la déplie, la regarde et la touche... Je me déshabille et vais sous la douche (je prend une douche quand je rentre car je fais pas mal de sport, y compris à la fac) je me sèche et je m'allonge par terre. Je glisse la couche sous mon derrière, je la rabat entre mes cuisses (j'adore ça !) et je met les adésifs. Je me lève et je découvre cette sensation, et le bruit que fait mon change lorsque je remue. Je me précipite devant la glace et m'observe.

Je passe la soirée avec cette couche, je fais pipi dedans (ça coule chaud entre mes fesses et disparaît). J'adore ça. Je regarde la télé et vais au lit avec ma couche culotte. Je m'endors difficilement.

Un jour une copine est venue chez moi, elle a vue un paquet de couches (j'avais oublié de le cacher). Elle m'a demandé si j'en portais tout le temps. Je ne savais pas vraiment quoi dire et j'étais rouge de honte, j'ai bredouillé «non » et rien d'autre m'est venu. Elle a pris une couche, la regardé et la reposé après l'avoir replier. On en a plus jamais reparlé et elle ne m'a jamais fais aucune allusion. Je ne sais pas si elle croit que je dois en porter ou si elle sait que c'est pour moi un simple « objet sexuel »

Voila, je n'ai pas de petit copain en ce moment donc je continue de porter des couches culottes, des chorys (je vais à Leclerc maintenant). Je suis sortie au cinéma avec et j'ai pris deux fois le train langé : Je n'ai jamais aimé les toilettes publiques alors lorsque je sais que j'aurai nécessairement un petit besoin, je met une couche. Par contre je n'ai jamais fait de grosse commission en publique. J'aime bien faire ça aussi, mais seulement chez moi. J'aime bien lorsque mes fesses s'écartent pour laisser passer cette masse chaude et lorsque ça s'aplatit sur la couche mais j'ai bien trop peur pour faire ça en dehors de chez moi.

Ces vacances je vais passer sept jours en camping avec des copines... Je ne sais pas si je vais oser amener des couches. Peu être que je prétexterai quelque chose, mais ça m'étonnerai. J'ai un peu peur que tout le monde le sache après...y compris mes ex et mes futurs copains.

Par contre en juin je devrai faire un stage, loin de chez moi pendant plusieurs semaines. Je serai logée dans une chambre avec deux autres filles. Vu qu'elles ne connaissent ni mes amis ni ma famille, je pense que je jouerai la fille qui à des problèmes d'incontinence et qui doit porter des changes. Je pense que j'aurai un peu honte de moi, mais bon, je m'en fiche, je ne les reverrai plus jamais après ça.

Voila, c'est encore moi...

Comme je vous l'avais dis, j'ai fait un stage loin de chez moi pendant quelques semaines avec deux colloques que je ne connaissait pas (et qui surtout, ne connaissaient personne de mon entourage), et comme je vous l'avais promis, j'ai fait semblant de souffrir d'incontinence pour pouvoir porter mes couches librement et sous les yeux d'autres personnes. C'est donc ce séjour que je vais vous raconter.

J'ai fais le voyage en voiture (il y a bien 3h de route) et je suis arrivée le samedi soir. Je devais commencer mon stage le lundi mais j'avais prévu d'avoir le dimanche de libre pour m'acclimater, faire de la reco du coin et rencontrer mes nouveaux colloques.

La première qui était là quand je suis arrivé, est un peu rondouillarde. Elle s'appelle Sylvie, elle est sympa, bonne vivante. Cependant elle bosse énormément et à beaucoup d'amis sur place, ce qui fait que je ne la voie pas énormément.

J'arrive, langée. Il faut que mon mensonge soit cohérent : je joue la fille incontinente la nuit et qui peu se retenir que très peu le jour. Par contre elle ne voit pas ma couche, je mets des chorys et c'est très discret. Je fait connaissance, je bla blate beaucoup et j'apprend les horaires de Sylvie.

L'appart est bien. Il s'agit d'un « appartement » avec une grande pièce pour travailler, il y a trois bureaux. Il y à une chambre avec des armoires, trois lits et une table de nuit et une lampe pour chacune. Un coin cuisine salon et enfin une salle de bain (grande) avec une beignoire-douche. Sylvie s'en va et je déballe mes affaires toute seules. Je mets mes couches dans mon armoire et je me mets en pyjama. Je ne me change pas (ma couche culotte est a peine mouillée). Je lis un livre et mange mon sandwich au lit et bien plus tard Sylvie rentre. Elle se couche elle aussi et on discute encore... On parle de Marie qui arrivera demain en fin de matinée et on fait plus amplement connaissance... On parle de sport et elle m'apprend qu'elle nage à la piscine de temps en temps. Comme je l'écoute attentivement, elle me propose, à l'occasion de venir avec elle. C'est l'occasion d'aborder mon mensonge ! Je réponds que je ne pourrai pas. Bien sur, elle me demande pourquoi. Je lui réponds que j'ai des problèmes de vessie et que j'ai du mal à me retenir. Elle pensait que ça n'arrivait qu'aux « vieux ». Elle me demande si je me traite, je lui répond qu'il n'y à rien à faire à part une opération lourde et pas forcement efficace. Elle me demande si je porte des ...

(elle à eue du mal à le dire) couches. J'acquiesce et je lui montre en soulevant le haut de mon pyjama, le plastique blanc qui dépasse de mon bas de pyjama. Elle me plaint et me demande si c'est pas trop handicapant. Je répond « non », pas grand monde n'est au courant et mes petit copains compatissent ou sont curieux.

Le sujet a ensuite tourné et la conversation s'est rapidement terminée.

Le lendemain, je me change, je suis trempée. Je vais me balader un peu en voiture. Je reviens, Marie est arrivée. Elle est super sympa, assez jolie et elle ne connaît personne dans la région. On discute pas mal, elle finit par m'avouer qu'elle est au courant pour mon petit problème et que je n'ai qu'à mettre mes paquets de changes dans la salle de bain. Elle est très compatissante. Elle me demande si j'en « porte un actuellement », je lui répond par l'affirmative. Elle me regarde satisfaite est répond : « en tout cas, ça ne se voit pas ! »

Le soir, je prépare mes affaires pour le boulot, je ne prend pas de couche de rechange (après tout je ne suis pas vraiment incontinente), je m'enferme dans la salle de bain et je défèque debout en me regardant dans la glace. Je me douche, je remets une couche et mon pyjama. Je vais devant la télé avec Marie, Sylvie est sortie. Elle sourie en me regardant. Elle trouve marrant le bruit léger du plastique lorsque je marche.

Lendemain matin je vais à la salle de bain, Sylvie se maquille. Je me déshabille à coté d'elle, je garde mon change, il est quasi propre. Et je me prépare à mon tour. Sylvie me regarde un instant, elle me à les yeux compatissant, plein de pitié.

Marie ne connaissait pas grand monde et moi non plus. De plus, on s'entendait très bien, on a donc fait beaucoup d'activités ensemble. On est sortie en boîte deux fois, on est allé au ciné ... Etant intime je me suis même changée à coté d'elle (juste un petit pipi) pendant qu'elle se maquillait. De temps en temps on en parlait quand Sylvie n'était pas la (on à jamais été intime avec elle, même si on s'entendait très bien). Mais avec Marie, on parlai de tout, même de sexe.

Je lui racontais mes histoires, mes meilleurs « coups » et à quel point d'autres avait été mauvais : oui, messieurs, la femme est cruelle et injuste ! (Je suis sur que vous faites pareil !) Je lui disais, quand elle me plaignait que mon problème n'était pas très gênant, et parfois même pratique. (Et oui, quand on est une femme on fait une queue pas possible pour aller aux toilettes dans les endroits public !). Elle me demanda comment je faisait pour les grosses commissions : je lui expliquas que j'allais aux toilettes mais que ça m'arrivait, quand j'étais toute seule de me payer le luxe de ne pas y aller. Je lui ai même avoué que le contact de l'anatomie féminine avec le rembourrage était assez agréable.

Au bout de deux semaines, elle a voulue essayer.

Un soir (une soirée télé pizza), j'étais en nuisette-couche-culotte, et assise (complètement avachie) sur le canapé, on voyait ma couche de façon évidente. On voyait aussi que le témoin d'humidité s'effaçait sous mes fesses et que je m'étais laissée allée allégrement. Marie avachie de l'autre coté me dit en plaisantant : « Et ben ! Il te fait de l'effet ! (En parlant de l'acteur moche et gras qui se dandinait dans la télé», c'était drôle et on a bien rit. Elle me demanda si elle voulait qu'elle stoppe la vidéo le temps que je me change. J'ai répondu que non, et que ma couche n'était pas encore désagréable à porter. Elle regarda encore mon derrière quelques secondes. Elle me dit, comme ça, directe :

« J'aimerai bien essayer, un jour... » Comme je ne disait rien elle ajouta : « juste pour voir ». J'étais surprise, vraiment. Feignant l'indifférence, et fixant la télé j'ai répondu : « oui si tu veux, aucun problème ».

On n'en a pas reparlé pendant trois jours.

Moi, j'étais aux anges, je bossai bien et mon boss me le disait. Le boulot se passait bien. Sylvie couchait avec un type et on ne la voyait pas souvent. Le sexe me manquait un peu, mais j'avais déjà été célibataire et je m'étais faite une raison : on peu pas tout avoir. Quand je rentrerai je ne porterai plus de changes aussi souvent et je pourrai même les abandonner quelques temps, le temps d'avoir une histoire avec quelqu'un de bien. Je pensais aussi à Marie. C'était marrant qu'elle veuille essayer. Mais la connaissant un peu, je savais que c'était simplement de la curiosité. Elle voulait voir ce que ça faisait d'avoir une épaisseur autour des fesses et entre les cuisses, peut être même de voir ce que ça faisait que de faire pipi dedans mais c'était tout. Cela dit c'était dingue, je pensais longtemps être un peu dérangée pour avoir ce genre de comportement, et sur deux filles que je rencontre, il y en a une qui veut faire l'expérience ! Je n'y croyais pas !

Un samedi on est partie faire des courses. En mettant un paquet de chorys dans le caddie je lui rappelait ce qu'elle m'avait dit. Si elle en avait envie elle n'aurai qu'a en prendre. Elle me répondit qu'elle voulait juste « voir, comme ça », et qu'elle essaierai ce soir si ça ne me gêné pas. En fin de journée et après la préparation d'une énième soirée télé je partie me doucher. Comme d'habitude elle prenait sa douche juste après moi pendant que je me séchais, me démêlais les cheveux et mettait une couche propre. Elle sortie de la douche, se sécha (moi je luttais encore avec mes cheveux !) Elle avait l'air embarrassée. Elle n'osait pas prendre une couche, et elle était un peu rouge (si elle savait que je ne suis pas incontinente !) Je la regardais en souriant : elle était toute nue et gênée et moi j'étais en couche culotte avec mon sèche cheveux dans la main droite. Ça aurai fait une photo assez bizarre ! Je lui dit : Je t'aide des que j'ai fini de me les démêler. Elle me dit merci un peu rassurée et reste debout comme ça à attendre. Je discute avec elle, j'essais de la décrisper. Je lui mens en inventant qu'une autre copine a déjà enfilé mes couches, je plaisante en lui disant que je ne serai pas obligé de l'attendre pour les pauses pipi réglementaires en plein milieu des films. « Ça y est ! J'ai fini !!! Bon, le plus pratique, au début, c'est d'aller sur un lit. » Je prend une couche est vais dans la chambre. Elle me suit, toujours toute nue son haut de pyjama (débardeur) sous le bras.

Je n'ai aucune attirance pour les femmes mais c'est vrai que la scène est assez excitante.

Je lui dis de s'allonger, elle s'exécute.

« Lèves tes grosses fesses » lui dis-je en plaisantant. Je glisse la couche sous elle, je la rabat en prenant mon temps, et en faisant du mieux possible. Je colle les scotchs. « C'est bon ! Tu peu te relever... » Elle se lève et commente en touchant les adhésifs de sa couche: « C'est marrant, ça fait tout drôle ». Et voila, comment on a passé la soirée. Elle a fait dedans aussi, et m'a avoué que c'était assez excitant. Elle a passé la nuit comme ça. Le lendemain matin, je me suis réveillé après elle, elle n'avait plus de couche. On n'en a plus jamais reparlé.

Je n'ai pas eue d'autres expériences très intéressantes à part celle la. Je suis rentrée chez moi et je ne porte des couches que comme ça, de temps en temps.

J'ai gardé un bon contact avec Marie et on s'appelle souvent.

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Yann Il ya 7 ans  
Yann Il ya 7 ans  
Victor G Il ya 8 ans