popoculott
2 members like this


Vues: 36044 Created: 2009.01.14 Mis à jour: 2009.01.14

La deuxième expérience de Clara

Chapitre 1

Bonjour, je m’appelle Clara, j’ai 20 ans, je mesure 1mètre 52 pour 54kg, je suis étudiante et je vis au Québec. Je vous avais raconté dans un précédent récit comment j’avais découvert mon penchant pour les couches pendant un babysitting (Voir « La première expérience de Clara ») ; c’était il y a quatre ans et depuis les couches font partie de mon quotidien, je ne peux plus m’en passer et je suis langée 24h/24 depuis que j’ai mon appartement rien qu’à moi. Les premiers jours en couche à la fac, devant autant de gens de mon âge, ont été très intimidants mais rapidement j’ai compris que personne ne faisait attention ni ne remarquait mes sous-vêtements si particuliers, et je goûtai dès lors le plaisir de ces pipis interdits, incontrôlables, trop longtemps retenus et qui tout à coup font céder les vannes ; sentir cette fontaine qui soudain réchauffe mon minou et mon entrejambe, remonte vers mon bassin et mouille mon derrière avant d’être absorbée par mon lange... Comme je suis un petit gabarit les Goodnites me vont à merveille bien que j’aie dépassé de cinq ans l’âge indiqué sur le paquet... Elles sont très discrètes et assez absorbantes si bien que je ne porte pratiquement que ça pour sortir. Les gens seraient bien étonnés s’ils savaient ce qui se cache sous mon jean ! J’aime aussi beaucoup les couches-culottes Bambino ou Libero Junior, elles sont assez discrètes et nettement plus absorbantes que les Goodnites ; j’en porte souvent quand je ne suis pas à la fac où j’ai toujours peur des contacts trop rapprochés dans les amphis et les salles de cours. Du coup je fais attention à boire suffisamment pour que mes urines soient moins concentrées et éviter ainsi toute odeur suspecte qui pourrait trahir mon petit vice. Parfois, quand mon petit ventre me travaille et que j’ai très envie de me faire plaisir, j’attends les toutes dernières minutes du cours, assise dans le noir, dans le fond d’un amphi, je soulève à peine les fesses de mon banc et je fais caca dans ma couche au milieu de 200 camarades qui ne se doutent pas un instant de ce que vient de faire juste à côté d’eux la vilaine petite fille que je suis. Et puis je file rapidement me changer chez moi le cours terminé, le rouge aux joues d’avoir sali ma couche en classe à 20 ans mais déjà aux anges en pensant à la gâterie que je vais me faire en rentrant...

Bien que mes parents soient là pour me payer mes études, j’ai continué le babysitting ; j’ai toujours bien aimé le contact des petits... peut-être parce que je suis restée une petite fille au fond de moi et puis ça me fait un peu d’argent de poche. C’est comme ça qu’un soir j’allai garder la fille d’un couple du centre ville de Montréal. Je me préparai, retouchai un peu mon maquillage, passai un jean pas trop moulant par-dessus ma couche Bambino, glissai deux changes et des lingettes dans mon sac à main, prit mes clés sur la console de l’entrée et refermai la porte derrière moi sans imaginer une seconde que cette soirée allait changer ma vie.

J’arrivai chez le couple qui m’employait ce soir-là vers 19h. C’était l’été et ils sortaient au cinéma avant de prendre la route pour rejoindre leur maison de campagne pour le week-end ; leur fils, qui sortait ce soir-là fêter l’anniversaire d’un de ses amis devait rentrer vers minuit pour prendre la relève et garder sa sœur pendant l’absence de ses parents. La petite était mignonne comme tout, une petite blondinette de 5 ans, prénommée Marine, sage comme une image... en apparence du moins, car à 5 ans cette petite demoiselle refusait obstinément de se séparer de ses couches. Ce n’était pas la première fois que je m’occupais d’enfants encore en couches mais jamais encore je n’avais eu le cas d’une enfant aussi avancée en âge sans avoir acquis la propreté. Apparemment elle refusait obstinément de se séparer de ses couches ; sa maman m’expliqua qu’elle avait essayé des tas de techniques, consulté des spécialistes de la petite enfance mais que toutes ses tentatives étaient demeurées vaines, la petite s’accrochait mordicus à ses couches et, si bien sûr je me gardai de l’exprimer à haute voix, je la comprenais comme personne. Malgré tout la maternelle avait accepté de la prendre ce qui avait été un soulagement pour les parents qui redoutaient de ne pouvoir la scolariser sans quelle fût propre. Cependant l’entrée en CP se profilait et la petite refusait toujours le pot. La maman redoublait donc d’efforts et me recommanda de faire tout mon possible pour la mettre sur les toilettes avant qu’elle n’aille au lit. Après les recommandations d’usage, elle prit le bras de son mari, et tous deux m’abandonnèrent dans leur pavillon avec la petite qui regardait un dessin animé dans le salon.

Ne voulant pas la laisser seule je la rejoignis donc et tandis qu’elle demeurait assise dans le canapé, je pris place à ses côtés et me mis à bouquiner. Une demi-heure plus tard, son dessin animé terminé, je me mis en devoir de la préparer pour aller au lit. Je la pris donc dans mes bras et l’emmenai dans sa chambre à l’étage dont elle me montra le chemin. Je la déshabillai et vit qu’elle portait effectivement une couche-culotte, un pampers taille 6 qui aurait été à peine trop petit pour moi. Je passai ma main mais il était sec. Comme sa mère me l’avait demandé, avant de lui enfiler son pyjama, j’emmenai la petite dans la salle de bains, détachai les scratchs de sa couche et l’assis sur les toilettes. Elle se laissa faire mais rien ne vint.

- Tu n’as pas envie de faire pipi Marine ?

Elle fit non de la tête. Je n’eus pas le cœur d’insister. La table à langer était juste à côté et après lui avoir remis sa couche je la ramenai dans sa chambre et lui passai son pyjama. Nous redescendîmes ensuite au salon où elle se remit devant un nouveau dessin animé en attendant l’heure définitive du coucher. Quelques minutes plus tard, tandis que j’étais à nouveau plongée dans ma lecture, je vis la petite commencer à se tortiller et à mettre les mains entre ses jambes... attitude sans équivoque.

- Tu veux retourner aux toilettes Marine ?

Pour toute réponse la petite se leva d’un bond du canapé et courut jusqu’à l’escalier qu’elle grimpa quatre à quatre.

Surprise je lâchai mon bouquin et me levai pour la suivre. - Attends-moi Marine ! Criai-je, je vais t’aider à enlever la couche !

Pensant qu’elle était allée directement aux toilettes, je me dirigeai vers la salle de bains mais ne l’y trouvai pas.

- Marine ? Appelai-je. Marine où es-tu ?

J’eus la réponse quelques secondes plus tard. Au lieu d’aller aux toilettes comme je l’avais d’abord imaginé, la petite avait foncé jusque dans sa chambre et se tenait debout, au milieu de la pièce, les genoux fléchis, poings serrés, le visage rouge pivoine occupée à une besogne qui ne laissait pas de doute : mademoiselle était tranquillement en train de pousser dans sa couche et une odeur flotta bientôt dans l’air qui trahissait la nature de l’événement. Si cela suscita chez moi une certaine empathie accompagnée d’un soupçon d’excitation, je lui fis tout de même remarquer en l’emmenant au change que sa maman aimerait bien la voir utiliser les toilettes plutôt que salir ses couches comme un bébé, ne croyant pas moi-même ce que je lui disais, poussant même le vice jusqu’à mouiller ma couche pendant que je changeais la sienne en lui faisant ces remontrances.

Puis je mis la petite au lit et me mis à attendre le retour de son frère prévu pour minuit.

Le spectacle de cette petite fille espiègle consciencieusement occupée à faire dans sa culotte occupait mes pensées et je ne parvenais plus à me concentrer sur ma lecture. Repoussant mon livre je me mis à regarder distraitement la télévision. Une heure s’écoula quand mon ventre se rappela à moi. Je n’avais pas fait depuis plus d’une journée et une grosse envie de caca se faisait désormais sentir. J’attendis un peu mais l’envie devenant pressante et me remémorant l’image de Marine, si innocemment occupée à faire dans sa culotte, je me levai du canapé et me mis à danser d’un pied sur l’autre au milieu de la pièce. Mon envie montait de plus en plus, je sentais mon caca presser pour sortir jusqu’à me faire mal. Un quart d’heure s’écoula encore ainsi et puis l’envie mêlée à mon excitation fut la plus forte et n’y tenant plus je pris la position de Marine tout à l’heure et, fléchie sur mes jambes je poussai à mon tour de toutes mes forces et un gros caca, bien dur se mit à gonfler l’arrière de mon pantalon, à s’étaler sur mes fesses dans le fond de ma couche tandis que je me remettais à faire pipi. Mais je n’avais pas fini et je me remis à pousser, je poussai de toutes mes forces dans ma culotte quand soudain une voix à côté de moi me ramena d’un seul coup à la réalité.

- Bonsoir ! Ca s’est bien passé ?

Horreur ! C’était le frère de Marine. Il était rentré plus tôt que prévu et je n’avais pas entendu la porte s’ouvrir qu’il était déjà dans la pièce et s’arrêtait net devant moi ; courbée en deux, fesses en arrière, poings serrés, rouge comme une pivoine et cette petite odeur qui malgré tout ce que la scène avait d’improbable ne laissait aucun doute sur le forfait en cours... J’étais littéralement paralysée de stupeur et de honte. Moi, la babysitter, jeune femme de 20 ans, j’étais là, debout au milieu du salon, occupée à pousser dans ma culotte ! Double surprise, quand j’eus levé les yeux sur lui, aussi interloqué que moi par la scène, voilà que je m’apercevais avec horreur que je le connaissais ! Pire, c’était Lucas, ce beau mec sur lequel je flashais depuis presque un an sans oser faire le premier pas ! En voyant le nom des parents, patronyme assez répandu, je n’avais pas soupçonné cela un instant ! Et voilà qu’un camarade que je fréquentais régulièrement, sur lequel je craquais littéralement, voilà qu’il me découvrait, chez lui, courbée en deux, rouge tomate en train de faire dans ma couche comme un bébé de deux ans...

À ce moment j’aurais voulu être morte. Les larmes me montèrent instantanément aux yeux mais je ne pouvais aller nulle part, il s’interposait entre la porte et moi. C’est alors que l’incroyable se produisit. Tandis que de grosses larmes se mettaient à dévaler mes joues, il s’approcha de moi tout doucement et me prit dans ses bras. J’éclatai en sanglots. Me serrant contre lui, il me berça et me dorlota durant dix bonnes minutes avant que je ne commence à me calmer un peu. Malgré sa réaction pleine de douceur je n’osais pas lever les yeux vers lui mais il m’y invita, plaçant son index sous mon menton, un doux sourire aux lèvres il plongea son regard dans le mien, déposa un baiser sur mon front et, passant sa main sous mes fesses me glissa tout bas.

- Je crois qu’il faut changer notre petite babysitter. Comme je me remettais à pleurer il m’emmena vers le canapé, s’assit et me prit sur ses genoux. En m’asseyant je sentis mon gros caca s’étaler davantage dans ma couche et remonter vers mon intimité et le haut de mon derrière. Me prenant les mains, il m’avoua qu’il était amoureux de moi depuis un bout de temps mais qu’il n’avait jamais osé me l’avouer ; il avait remarqué récemment que je portais des couches, un jour que le haut de mon pull ups avait dépassé la ceinture de mon jean et cela l’avait intrigué et excité. Depuis longtemps il était lui aussi attiré par les couches-culottes et cette découverte n’avait fait que renforcer ses sentiments et son désir pour moi. Tandis que je l’écoutais et que je découvrais ses mots adorables je sentais de nouvelles larmes monter à mes yeux ; des larmes de joies celles-là, une joie, un bonheur indicible se mit à m’envahir et je me jetai contre lui et me cramponnai à son cou, secouée de gros sanglots ; sanglots de soulagements et larmes de joie. Je ne pouvais croire ce qui était en train de se passer. Doucement il me caressa les cheveux, me racontant mille choses au creux de l’oreille alors que mes pleurs se calmaient peu à peu.

Je ne sais pas combien de temps s’était écoulé depuis qu’il m’avait trouvée, poussant dans ma couche au milieu du salon... tout semblait tout à coup suspendu en un moment de grâce. Après quelques minutes de silence, il m’allongea doucement dans ses bras et nous échangeâmes un long et doux baiser passionné au goût de sel qu’avaient laissé mes larmes sur mes lèvres.

Après une longue séance de câlins, il me glissa au creux de l’oreille que sa petite fille ne sentait pas très bon et avait besoin d’être changée.

Honteuse je refusais d’abord mais il insista, plongeant ses beaux yeux bleu gris dans les miens.

- Laisse-toi faire ma petite babysitter chérie.

- Mais... mais j’ai pas fini mon caca... dis-je, toute penaude.

- Eh bien vas-y mon bébé, fais ton caca.

Alors je plongeais ma tête dans le creux de ses bras et achevai de pousser dans ma couche mon gros popo qui s’étala complètement sur mon derrière.

- Ayé... dis-je tout bas et toute honteuse et rougissante.

Il me prit alors dans ses bras, nous montâmes l’escalier et il m’emmena ainsi jusqu’à la salle de bains.

- Tu vois, dit-il en m’asseyant sur la table à langer, il y a déjà tout ce qu’il faut pour que je m’occupe de toi.

Je lui souris en retour et lui indiquai qu’il trouverait des langes propres dans mon sac. Il redescendit rapidement les chercher et m’allongea sur la table après avoir défait mon pantalon. Me faisant lever les jambes, il me le retira et découvrit ma couche, jadis toute blanche.

Méticuleusement il détacha les attaches et ouvrit le change.

- Notre petite babysitter est une coquine, me glissa-t-il, elle a fait un gros caca dans sa culotte. Heureusement qu’il y avait la couche.

Après avoir essuyé le plus gros avec le rabat de mon change tout sale de petite fille attardée, il le roula en boule et le mit à la poubelle, puis, saisissant une éponge savonneuse et une petite bassine d’eau chaude il se mit en devoir de me nettoyer, mes petites fesses d’abord, puis mon petit minou. Quand il passa l’éponge à cet endroit précis je ne pus réprimer un soupir d’aise.

- Tu aimes ça mon petit bébé ? Me demanda-t-il avec un sourire.

- Oui, j’adore ça ! Répondis-je tandis qu’il me saupoudrait l’intimité de talc et plaçait une couche toute propre sous mes fesses. Plaçant doucement le coussin entre mes jambes il rabattit le devant de la couche sur mon ventre et ajusta les adhésifs.

- Et voilà, tu es toute propre, ma princesse, il n’y a plus de vilain caca sur tes petites fesses de bébé.

Je me pendis à son cou et me mis à l’embrasser fougueusement. Debout désormais l’un contre l’autre, nos mains se mirent à parcourir nos corps ; je glissais les miennes sous ses vêtements, il laissa courir les siennes sur mon corps à demi nu, juste revêtu d’un petit chemisier et de ma couche. J’avais envie de lui, j’étais excitée comme jamais je ne l’avais été auparavant et lui également. Sans attendre davantage je jetai mon chemisier par terre tandis qu’il laissait tomber son pantalon et lui retirai sa chemise en demeurant collée à ses lèvres. Son caleçon ne fut pas long à suivre. Ma couche qu’il venait à peine de me mettre tomba à mes pieds il me prit, là, contre la douche, sur la machine à laver, contre la table à langer... s’en suivit une partie de jambes en l’air mémorable et un orgasme monumental qui m’arracha des cris qui heureusement ne réveillèrent pas la petite dont la chambre était à l’autre bout du couloir... Elle fut seulement un peu surprise de trouver le lendemain matin au petit déjeuner, sa babysitter en chemisier, assise sur les genoux de son grand frère, et seulement vêtue d’une couche-culotte bien mouillée. Quelques instant plus tôt, j’avais fait mon gros pipi du matin, dans ma couche, sur les genoux de mon Lucas chéri, aux anges de voir et de sentir son bébé se mouiller contre lui.

Depuis un an, Lucas et moi nous ne nous quittons plus. Nous avons emménagé ensemble il y a quelques mois et il peut désormais s’occuper tant qu’il veut de son petit bébé qui rentre souvent la couche sale.

Comments

lafont francois Il ya 8 ans  
bbtyty Il ya 10 ans