Vues: 14973 Created: 2010.06.05 Mis à jour: 2010.06.05

Doctoresse à domicile

Chapitre 1

Toute l'histoire a commencé ce matin quand j'ai été aux toilettes, et que j'ai eu mal en poussant, assis sur la cuvette. Cette douleur m'a assez inquiété et je suis tout de suite allé voir ma mère pour lui en parler.

Elle m'a demandé si j'avais quand même réussi à faire et je lui ai dit que oui, et que pour l'instant ça allait mieux. Elle a alors voulu aller me chercher un comprimé pour la douleur mais pas de chance il n'y en avait plus dans la boîte à pharmacie.

-Tu veux que je regarde ? m'a fait ma mère en reposant ses yeux sur moi.

Mais voyant mon regard gêné sans réponse, elle a tout de suite abandonné l'idée, jugeant elle aussi que finalement, ayant presque atteint la majorité j'avais droit moi aussi à mon intimité. Elle a donc décroché le téléphone et passé un appel de quelques minutes.

-Voilà, j'ai appelé un docteur qui va venir à la maison, m'a-t-elle dit. C'est mieux que ce soit quelqu'un de compétent qui regarde ce que tu as.

J'ai continué de prendre mon petit- déjeuner devant la télé quand on a sonné à la porte d'entrée. Ma mère est revenue peu après, accompagnée par une femme qui avait une vingtaine d'années environ.

-Voilà la doctoresse, a-t-elle annoncé en nous présentant, puis elle s'est assise sur une chaise à côté de nous pendant que la doctoresse prenait place à côté de moi sur le canapé.

-Ta mère m'a dit que tu avais eu mal en allant aux WC ce matin, c'est ça ? M'a demandé celle-ci.

Je lui ai fait signe que oui, et elle a posé la même question que ma mère : "et tu as réussi à faire ou pas ?"

Je lui ai répondu aussi que oui et elle a eu l'air d'approuver.

-Ok, ben je vais regardé ça d'un peu plus près alors, ok ?

Elle a attendu que ma mère quitte le salon et m'a demandé d'enlever mon pantalon. J'étais très gêné quand je me suis retrouvé uniquement vêtu d'un haut de pyjama devant cette jolie femme, et j'ai eu un début d'érection mais elle n'a rien dit du tout, juste de me coucher sur le côté, sur le canapé. Elle a ensuite replié ma jambe supérieure vers mon ventre.

-Voilà, restes comme ça maintenant.

J'ai d'abord senti qu'elle écartait mes fesses et elle m'a demandé si j'avais toujours mal, mais j'ai fait signe que non.

-C'est juste quand j'ai poussé ce matin, ai-je expliqué.

-D'accord.

Elle m'a laissé comme ça un moment en fouillant dans son sac. Moi je suis resté à regarder la direction opposée car j'étais trop gêné pour la regarder. Puis elle a de nouveau écartée mes fesses.

-Vas-y, pousses un peu comme quand tu étais aux toilettes ce matin, maintenant.

J'ai fait ce qu'elle m'a demandé, la douleur n'étais presque plus présente, et j'ai senti son doigt rentrer dans mon cul, avant de se retirer. J'avais poussé un cri de surprise au moment où elle avait poussé son doigt car je m'attendais juste à ce qu'elle regarde.

-Désolé, je t'ai fait mal ? m'a-t-elle demandé, un peu inquiète.

-Non, c'est juste que c'est froid, fis-je.

-Oui, je t'ai mis un suppositoire. ça va t'aider à retourner aux toilettes, et on verra pourquoi tu as mal.

C'était donc ça le froid : elle m'avait mis un suppo, elle n'avait rien dit avant sûrement pour éviter une discussion inutile qui l'aurait peut-être obligé à me le mettre de force. J'éprouvai à l'idée du geste qu'elle venait de faire une grande excitation, et je ne pus empêcher mon sexe de se tendre complètement.

Cette fois elle le remarqua et me demanda en restant sérieuse si ça m'avait fait plaisir.

Je priai pour que ma mère ne soit plus là pour entendre sa question, mais elle devait être de nouveau dans son bureau en train de compléter des papiers, à l'autre bout de la maison.

-Un peu, ça m'a fait tout bizarre, ai-je répondu à la doctoresse.

Elle n'a rien ajouté, juste hoché la tête.

Après plusieurs minutes pendant lesquelles elle m'avait demandé de rester allongé sur le canapé, elle m'annonça qu'on allait pouvoir se diriger vers les toilettes. Je suis allé à celles du premier étage, près des chambres, la pièce servait à la fois de salle de bain et de WC.

-Vas-y, installes-toi sur la cuvette. Ne te forces pas à pousser, ça va venir tout seul, m'a-t-elle expliqué en entrant derrière moi.

Puis elle a ajouté :

-J'attends dans le couloir, appelles-moi quand tu as fini, ok?

Je me suis assis tranquillement et en effet après quelques minutes l'envie de faire survint.

La jeune femme entra quand je lui dis que c'était fini et me demanda de me relever et de me pencher en avant pour qu'elle m'examine à nouveau. Elle écarta mes fesses, m'essuya et me demanda comment ça s'était passé.

-Ça a fait un peu mal au moment de faire, ai-je répondu simplement.

-Ok.

J'avais toujours le pénis tout dur, tendu devant moi, et elle comprit la gêne que je ressentais dans cette position.

-Attends, m'a-t-elle dit. Mets-toi devant le cuvette, on va commencer par te soulager de cette érection, tu te sentiras mieux pour continuer, tu seras plus détendu.

Une fois en place, face à la cuvette, elle me demanda de me masturber, et le geste vint presque tout seul, je serra ma main sur mon pénis et commença à l'agiter d'avant en arrière, en ne pensant presque pas à la doctoresse qui se tenait derrière moi, tellement l'envie de me soulager était forte. Au bout d'un moment, voyant que ça mettait du temps à venir, elle exerça plusieurs pressions sur mon anus, le titillant sans rentrer son doigt. Cela m'excita encore plus fort et pour finir elle enfonça profondément son doigt qu'elle laissa dedans un moment jusqu'à ce que ce soit fini.

-Et voilà, tu te sens un peu mieux, maintenant ? Demanda-t-elle en retirant son index.

Je ne savais pas trop quoi répondre, j'étais encore troublé par ce qui venait de se passer entre nous.

-Oui, ..., merci, répondis-je simplement.

Après ce petit exercice, mon sexe était encore tendu mais j'étais en effet soulagé et plus calme.

La doctoresse ouvrit le robinet et se lava les mains, puis me dit que je pouvais l'attendre dans ma chambre pour la suite.

-Je descends chercher mon sac et je reviens m'occuper de toi, fit-elle.

Je m'étais assis sur mon lit en attendant la doctoresse. Quand elle me rejoint, elle posa sur mon armoire mon pantalon de pyjama que j'avais laissé en bas dans le salon. Elle ferma la porte de ma chambre pour éviter des coups d'œil indiscrets et sortit un tube de crème qu'elle posa sur le lit.

-Je pense que tes muqueuses sont irritées, c'est pour ça que tu as mal. J'aurais besoin de savoir, mais rassures-toi ça restera entre nous, si tu t'es mis des objets dans le derrière ces derniers temps. Ça pourrait être la cause de tes douleurs.

Elle resta en face de moi à attendre la réponse. Je lui répondis précipitamment que non.

Il m'étais effectivement arrivé de jouer avec des stylos, mais ça faisait trop longtemps pour que ce soit ça.

-Bon, ok, fit-elle. Je vais t'appliquer une crème apaisante dans le derrière. Ça va te soigner assez vite normalement.

Elle m'installa rapidement sur le ventre, les jambes légèrement écartées, et commença à étaler la crème froide autour de mon petit trou. Puis elle en rajouta et enfonça plusieurs la crème dans mon cul à l'aide de son doigt, tout en essayant d'aller doucement pour ne pas me faire mal.

Malgré mon érection toujours présente, je trouvais à présent cette pratique un peu dérangeante, et à chaque fois qu'elle retirait son doigt, je serrais mon anus en pensant que c'était fini mais elle repoussait encore de la crème qu'elle étalait sur tout le contour de mon rectum.

L'opération se termina plusieurs minutes après, qui me parurent beaucoup plus longues, la crème était froide et j'avais l'impression qu'elle en avait mis tout plein.

-Restes allongé, me dit-elle en voyant que je commençais à me redresser. Tu as encore plein de crème entre tes fesses, je vais l'essuyer.

Elle me nettoya rapidement à l'aide d'un mouchoir avant que je puisse me rhabiller.

De nouveau en bas dans le salon, avec ma mère et la jolie doctoresse, cette dernière expliqua qu'elle m'avait mis une crème pour me soigner et fit une ordonnance pour en acheter un deuxième tube pour nous.

-Voilà, dit-elle en posant l'ordonnance. D'ici cinq bonnes heures il faut que tu prennes ta température rectale, si elle est trop haute je t'ai prescrit des suppositoires, il faudra en prendre un. Et ce soir avant de te coucher il faudra à nouveau te mettre la crème.

-Ok, fis-je, un peu gêné devant ma mère qui prit l'ordonnance.

Ce sur quoi la doctoresse nous salua ma mère et moi pour prendre congé.

(la 2eme partie devrait être disponible dans les prochains jours je pense)

Comments

Drzakou Il ya 5 ans  
frenchyslave4woman Il ya 12 ans  
stefanie Il ya 12 ans  
pitchoun Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans  
clyso Il ya 14 ans  
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clyso Il ya 14 ans  
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