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Vues: 27342 Created: 2010.12.20 Mis à jour: 2010.12.20

Jeux médicaux avec ma cousine

Chapitre 1

Mes premiers jeux médicaux remontent à quand j'avais treize ans,pendant ma pré-adolescence. C'était chez ma tante, ma mère m'avait emmené pour quelques jours, pendant les vacances de Noël.C'était une maison assez grande où nous n'étions pourtant que quatre : moi, mon oncle, ma tante, et ma cousine Laurine. Cette dernière venait d'avoir dix-sept ans quelques mois plus tôt.

Donc ma mère me posa le soir chez ma tante, et partagea le repas avec nous avant de reprendre la route. Pendant que nous mangions, je remarquai que Laurine avait beaucoup changée, c'était devenue une très jolie fille. Elle avait de longs cheveux bruns terminés en queue de cheval, une poitrine proéminente qu'elle n'avait pas la dernière fois qu'on s'était vu, et elle avait surtout beaucoup grandit, elle me dépassait maintenant de presque deux têtes.

-On t'a installé dans la même chambre que Laurine, expliqua mon oncle après avoir dit au revoir à ma mère, celle à côté de la cuisine, parce que la chambre d'amis est en rénovation pour l'instant. Ça ne te dérange pas ?

-Non, pas du tout.

-Ok, ben tu peux aller y poser ton sac alors, si tu veux.

Je pris mon sac à dos, un autre sac de vêtements et suivis ma cousine dans sa chambre. Ma tante avait préparé un lit à côté de celui de Laurine. La chambre était bien rangée, et quelques posters de films décoraient les murs. Je posai mes sac sur le lit et Laurine s'écroula sur le sien. J'essayais de ne pas trop la mater, mais sa beauté ne me laissait pas indifférent.

-Alors, le trajet s'est bien passé, me demanda-t-elle, tu as fais une bonne route ?

-Oui, mais c'était long, ça m'a un peu épuisé je crois.

On discuta un peu tout les deux pendant une demi-heure, puis je partis en direction de la salle de bain pour prendre ma douche. Quand je sortis, en pyjama, Laurine et ses parents étaient dans le salon devant la télé.

-Je vais aller me coucher, signalai-je. Bonne nuit.

-Bonne nuit ! Me répondirent-ils tous ensemble.

Une fois sous la couverture, j'éteignis la lampe de chevet et m'assoupis doucement, fatigué du voyage. Le bruit de la porte me sortit légèrement de mon sommeil quand Laurine vint se coucher à son tour. Je ne savais pas quelle heure il était, sûrement pas très tard. Elle se dirigea vers sa garde-robe dans la pénombre et je l'entendis enlever ses vêtements pour mettre sa chemise nuit.

Mon sexe se dressa sous ma couette : je n'avais rien vu dans le noir, mais je la devinais, nue, à quelques mètres de moi, entrain d'enfiler son pyjama. Elle se glissa ensuite rapidement dans son lit et on s'endormit tout les deux.

La lumière du jour, qui entrait par la fenêtre, me sortit de mes rêves. En essayant de me redresser, je remarquai que j'avais un horrible mal de tête, et décidai de rester un peu au lit. Le lit de Laurine était déjà vide.

Ma tante toqua à la porte et entra en me souhaitant le bonjour.

-Ça va ? Bien reposé ? Me demanda-t-elle avec un sourire en me voyant réveillé.

-Je suis un peu malade, fis-je.

-Oh, c'est dommage ! À quelques jours de Noël ! Fit-elle en s'approchant de mon lit.

Elle posa sa main froide sur mon front et fronça les sourcils.

-Hum, oui, tu as l'air d'avoir un peu de fièvre. Restes au chaud dans ton lit, je vais revenir vérifier ta température.

Elle monta la radiateur et quitta la chambre, mais au bout de dix minutes elle n'était toujours pas revenue. Elle avait peut-être oublié. En tendant l'oreille de mon lit je finis par l'entendre dans la cuisine.

-Tiens, ça va ma chérie ?

-Oui maman.

C'était Laurine, je l'entendis se rapprocher de la chambre.

-Ah tiens, Laurine, tu ne veux pas t'occuper de ton cousin, il est un peu malade. Moi j'ai pas mal de chose à faire en cuisine ce matin. Il faudrait lui prendre sa température.

-Ok, je vais chercher la trousse de soin.

Quelques instants plus tard :

-Voilà.

-Oh, attends, tu as pris le thermomètre rectal, Laurine.

-Ah désolée, je savais pas.

-C'est pas grave, mais mets-lui dans son derrière alors.

Ma cousine marqua une pause près de la porte. Mon sang se glaça.

-Euh, ok.

La porte de la chambre s'ouvrit et je fermai les yeux comme si je dormais encore.

-Salut, fit-elle gentiment. Tu es malade alors ?

J'ouvris les yeux et découvris Laurine déjà toute habillée,ses cheveux encore mouillés de la douche. Elle tenait un thermomètre en verre dans sa main. « Comment allait-elle s'y prendre ? »J'étais super stressé. Pourtant quand on était petit on allait dans le bain ensemble sans problème, mais là elle était devenue une grande fille, je n'osais rien dire.

Elle referma la porte et vint près de moi.

-Maman m'a demandé de te prendre ta température,expliqua-t-elle. C'est le thermomètre rectal alors il faut que je le mettes dans ton derrière, d'accord.

Je ne savais pas quoi répondre. Au bout de quelques secondes qui me parurent très longues je me tournai sur le côté.

-D'accord.

Je baissai mon pantalon et elle retira la couverture, découvrant mes fesses. Je devins tout rouge. Au bout d'un moment je sentis ses mains m'écarter doucement les fesses, puis la pointe du thermomètre entra progressivement dans mon anus.

-Ça va ? Je ne t'ai pas fait mal ?

-Non ça va.

Je n'osais rien dire de plus, tellement la situation m'embarrassait. J'attendis péniblement de sentir la pointe du thermomètre se retirer et ma cousine se relever de mon lit.

-Oui, tu as de la température, en effet, remarqua-t-elle. 38,5degrés.

Elle remonta mon pantalon et ma couverture et quitta la chambre sans rien dire de plus, consciente de la gêne que je ressentais.Dans mon lit, cette situation venait de me donner une érection, et j'essayai de penser à autre chose de peur que quelqu'un revienne dans la chambre et le remarque.

Un peu plus tard dans la matinée, la porte se rouvrit. C'était de nouveau Laurine, elle m'apportait un verre d'eau et un médicament.

-Tiens, avales ça, c'est pour ta fièvre.

Je pris le comprimé et bu le verre d'eau d'une traite.

-Désolée pour ce matin, s'excusa-t-elle, pour avoir utilisé le thermomètre rectal.

Je relevai la tête et osai croiser son regard.

-C'est pas grave, tu as fais ce qu'il fallait, fis-je.

En y repensant, j'étais content de ce qui s'était passé. Le moment avait été dur à passer, mais ça promettait de me laisser un agréable et excitant souvenir.

-C'est la première fois que je fais ça, enchaîna-t-elle. Pour tout t'avouer j'ai trouvé cette expérience intéressante. J'avais jamais touché un garçon comme ça.

Après s'être regardé dans les yeux, je décidai de lui avouer moi aussi le fond de ma pensée.

-En fait, moi aussi j'ai bien aimé. C'est assez agréable finalement.

Elle me sourit. Pas un sourire moqueur, mais plus un sourire complice, comme celui qu'on avait quand on était plus jeune.

-T'as trouvé ça excitant ? Chuchota-t-elle.

-Oui, très.

Je me sentais à présent beaucoup mieux. Maintenant que je lui avais tout dit, tout le stress était partit. Laurine se pencha un peu plus sur moi et me demanda à l'oreille :

-Si tu veux on peut faire des jeux coquins nous deux, comme on ne se voit pas souvent.

Sa main glissa sous la couverture, et atteignit mon sexe encore tout dur qu'elle toucha à travers mon pantalon.

-Ok, mais tes parents ?

-T'inquiètes pas, ils s'en vont faire des courses cet après-midi,on aura la maison pour nous deux.

Elle retira sa main et se releva.

-Bon allez, conclut-elle. Habilles-toi, on va bientôt manger.

Le repas de midi sembla durer une éternité, je n'avais plus qu'une seule idée en tête : retourner dans la chambre avec Laurine.

On dû attendre le dessert, puis les préparatifs de course, avant de les voir enfin partir en voiture.

-Bon voilà, on peut y aller, fit Laurine en posant ses deux mains sur mes épaules.

Elle me guida dans sa chambre et me fit asseoir sur son lit.J'étais très excité, j'allais probablement bientôt la voir toute nue.

-Alors, qu'est-ce que tu veux faire en premier ? Me demanda-t-elle.

J'avais déjà réfléchi à cette question pendant le repas.

-Je veux bien que tu reprennes ma température, avouai-je.

-Ok, je vais chercher le thermomètre.

Elle quitta la chambre trente secondes et revint avec la tige de verre entre ses doigts. J'étais déjà allongé sur le ventre, sur le lit, mais elle me proposa d'aller me pencher sur ses genoux, ceque j'acceptai volontiers. Une fois en position, elle baissa mon pantalon jusqu'aux chevilles et entrouvrit mes fesses. Un contact différent de celui de ce matin apparut au niveau de mon anus et je compris que c'était le doigt de Laurine.

-J'ai prit un peu de vaseline cette fois, c'est un lubrifiant,expliqua-t-elle.

Elle continua de caresser mon petit trou pendant un bon moment, ce qui me fit avoir une grosse érection qu'elle sentit au niveau de ses cuisses. Elle enchaîna en entrant cette fois son doigt de plusieurs phalanges dans mon cul. Son massage était très agréable,malheureusement elle finit par sortir son doigt et le remplacer parle thermomètre.

-Tu as encore de la température, annonça-t-elle plus tard en le retirant. Alors, tu as aimé ?

-Oui, surtout le petit massage au début, répondis-je.

-Tu veux t'occuper du mien maintenant ? Interrogea-t-elle.

Je me relevai et elle se coucha sur le ventre, m'invitant à aller voir ses fesses. Je n'attendis pas plus longtemps et tirai sur son pantalon, puis sa culotte, pour admirer sa jolie paire de fesses un peu pâles.

Elle avait laissé sur le lit le thermomètre et la vaseline. Je mis un peu de lubrifiant sur mon index et écartai ses fesses jusqu'à apercevoir son petit orifice brun tout serré. Je fus un peu moins patient qu'elle et entrai très vite mon doigt entièrement dans son cul. C'était tout doux et tout chaud à l'intérieur. En continuant mon massage, j'observai la partie visible de son sexe : il avait l'air bien épilé. Mais je n'osai pas toucher cette zone pour l'instant.

Je retirai mon doigt dans un bruit de succion et le remplaçai parle thermomètre. Elle n'avait rien dit pendant toute l'opération.

En regardant mon doigt je constatai qu'il y avait quelques traces brunes dessus.

-Attends un peu là, je vais me laver les mains.

Je revins peu après pour enlever le thermomètre et découvris également des traces dessus.

-Tu as 37,2, c'est bon ?

-Oui, c'est normal je crois, fit-elle en se retournant.

-Par contre, je crois que tu n'as pas encore été aux toilettes ce matin.

Elle devint toute rouge en voyant le thermomètre.

-Si tu veux, je peux te mettre un suppositoire, si tu en as.

-Oui, d'accord. C'est dans le frigo, tout en haut je crois.

Je partis dans la cuisine et découvris les petits suppositoires jaunes que me mettait ma mère quand j'étais petit. Je revins dans la chambre avec un des médicaments et écartai de nouveau les fesses de Laurine. Je n'eus qu'à appuyer légèrement et le suppositoire fut comme aspiré dans son petit trou.

-Voilà.

Elle remonta son pantalon et s'accroupit sur le lit en face de moi.

-Et toi, tu as déjà été aux toilettes ce matin ?

-Non, fis-je en m'apprêtant à recevoir aussi un suppositoire.

-Ok, alors je vais te faire un lavement.

-Un lavement ? C'est quoi ?

-Tu vas voir, c'est encore mieux qu'un suppositoire. Ma mère m'en faisait quand j'étais petite.

Elle m'expliqua qu'elle avait besoin d'aller chercher du matériel,et me laissa seul dans la chambre. J'étais impatient de découvrir ce nouveau traitement. Laurine apporta une bassine et un récipient qui était attaché à un tube terminé par un long embout blanc.Elle n'eut pas besoin de m'expliquer plus en détails car je compris tout de suite en quoi consistait le lavement.

-Attends encore un peu, dit-elle. Je vais aux toilettes et je reviens, le suppositoire a fini d'agir je pense.

Elle s'absenta plusieurs minutes aux wc et revint dans la chambre pour me faire mon lavement. Cette fois elle me fit enlever complètement mon pantalon et me demanda de me coucher sur le dos,les jambes relevées, et les fesses au bord du lit.

Je la vis se placer en face de moi, et elle me proposa de laisser mes jambes appuyées contre elle. Mon sexe était tout droit, pointé vers le haut, et Laurine le prit dans sa main pour me masturber doucement. J'étais au comble du bonheur.

-Je te refais un petit massage avant de faire ton lavement,avertit-elle.

Son doigt pénétra sans problème mon anus encore lubrifié, et vint s'enfoncer plus en profondeur qu'avant. Son autre main s'occupait lentement de mon pénis.

-Tu aimes, ça se voit, remarqua-t-elle.

-Oui.

-Tu veux que j'essaye de mettre un deuxième doigt ?

-D'accord.

Dans son mouvement, je sentis un autre doigt pousser pour entrer aussi, et il y parvint sans problème. Ça tirait un peu au début,mais je m'habituai au bout de quelques dizaines de secondes. Je ressentis une petite impression de soulagement quand elle arrêta son massage.

-Voilà, je vais commencer. J'ai mit un litre d'eau.

Elle attrapa l'embout et me le planta délicatement dans le derrière, en me demandant si je n'avais pas eu mal. Quand elle leva le récipient plus haut que le lit, je sentis l'eau m'envahir.C'était très agréable.

-Tu aimes aussi les lavement ? Me demanda-t-elle.

-Oui, ça fait du bien.

Elle fit bouger l'embout dans mon derrière pour me taquiner, et me demanda de bien rester ainsi jusqu'à la fin. Ce fut de plus en plus dur de ne pas essayer d'expulser le liquide, heureusement Laurine tenait fermement l'embout.

-Bon, c'est bientôt fini. Essayes de serrer les fesses pendant que j'enlève la canule.

Cela se passa sans problème, sans aucune fuite.

-Tu vas réussir à aller aux toilettes, ou tu veux faire dans la bassine ?

-Non, c'est bon, je vais aller aux toilettes.

Elle m'aida à me relever et je courus sur la cuvette en gardant les fesses serrées. Le lavement avait bien fonctionné : j'expulsai tout pendant une bonne minute. La sensation de soulagement était tellement bien que j'avais déjà envie de recommencer.

Une fois dans la chambre avec Laurine, elle me demanda par quoi on continuait et je lui demanda si elle voulait bien se déshabiller.Elle accepta et retira tout ses vêtements un par un pendant que je contemplais ses fesses, son sexe et ses seins. J'en fis autant avec mes vêtements. Elle s'allongea ensuite sur le dos et je vins la chevaucher pour lui caresser sa poitrine. Elle promena ses mains dans mon dos et descendit me titiller mon anus sans entrer dedans.

Au bout d'un moment, sous le coup d'une pulsion, je me reculai un peu et pris mon pénis en main pour le diriger vers son sexe, mais elle m'arrêta dans mon élan en plaçant ses mains à plat sur mon ventre.

-Non, désolée, pas ton sexe. Si tu veux tu peux toucher avec tes doigts, mais c'est tout.

-D'accord. Excuses-moi.

Je me dégageai d'elle et elle écarta ses jambes pour me laisser la toucher. Son sexe était bien humide, et mon doigt entra sans problème. Je réussis à en mettre deux de plus mais Laurine finit par se dégager d'elle-même.

Une fois debout, je promenai mes doigts entre ses fesses, à la recherche de son petit trou, mais quand je le trouvai, elle éloigna doucement ma main.

-J'ai envie d'arrêter là, expliqua-t-elle. Mais si tu veux on peut s'amuser encore ce soir comme on est dans la même chambre.

-Ok.

Laurine et moi, on passa le reste de l'après-midi à lire et à regarder la télé, sans reparler de ce qui s'était passé dans la chambre. Je patientais tranquillement en attendant que tout le monde aille se coucher pour regagner la chambre avec elle.

Une fois que ma tante et mon oncle partirent dormir, je pris une douche rapide et rejoignis Laurine dans la chambre. Elle était déjà couchée dans son lit, sous sa couette, et les lumières étaient éteintes.

-Tu es réveillée, Laurine ? Chuchotai-je.

Sa lampe de chevet s'alluma.

-Oui.

-Tu veux continuer comme tout à l'heure ? Fit-elle.

-D'accord.

Je la sentais un peu moins motivée qu'avant.

-Tu veux faire quoi ? Me demanda-t-elle.

-Un petit massage, encore, s'il-te-plaît.

Elle se redressa légèrement sur son matelas.

-Ok. Viens près de moi, et retournes-toi.

Je lui obéis, me plaquant contre son lit en lui tournant le dos,et baissai mon pantalon pour lui montrer mon derrière. Elle m'écarta les fesses d'une main, et de l'autre, elle appuya son doigt sur mon anus.

-J'arrive pas à rentrer mon doigt, ton trou est tout sec,fit-elle.

En effet, elle exerçait des pressions, mais sans me « percer ».La douche avait dû enlever tout le lubrifiant que j'avais.

-J'arrête sinon je vais te faire mal, enchaîna-t-elle en enlevant ses mains.

-Non, vas-y, fis-je en restant dans la même position. Tu peux forcer un peu si tu veux.

Elle écarta à nouveau mes fesses, regardant mon anus tout crispé.

-Sûr ?

-Oui, vas-y.

Je sentis alors son doigt pousser très fort sur mon orifice, si fort qu'elle me fit faire un pas en avant. Elle me reprit en plaquant une main sur mon ventre et poussa une nouvelle fois. Cette fois-ci je sentis une phalange entrer de force. Je fus assez surprit par l'intrusion et poussai aussitôt pour faire sortir son doigt, mais Laurine en profita pour l'enfoncer encore plus.

-Et bien, c'est moins facile que tout à l'heure, commenta-t-elle à vois basse.

Elle enchaîna avec un petit massage, mais c'était moins agréable en l'absence de lubrifiant. Elle sembla le remarquer et sortit son doigt assez vite, à mon soulagement.

-À moi, maintenant, fis-je.

-Ok.

Elle se retourna de l'autre côté en restant couchée dans son lit. Je lui remontai sa robe de nuit jusqu'au milieu du dos et remarquai qu'elle ne portait pas de culotte. Une fois ses fesses assez ouvertes pour repérer son petit trou, je posai mon doigt dessus. Celui-ci était encore bien gras et j'y entrai sans difficulté. Son rectum était encore doux et chaud. J'étais content de faire ça à une grande et jolie fille comme elle. Je fis tourner mon doigt tout en faisant de petits aller-retours pour lui faire son massage.

-Et toi, tu as déjà prit des lavements ? Lui demandai-je en continuant de bouger mon doigt.

-Oui. C'est ma mère qui m'en donnait quand j'étais petite.

-Jusqu'à quel âge ?

-Euh, ça fait longtemps. Peut-être dix ou onze ans.

À chaque poussée, je sentais son muscle anal se serrer sur mon doigt. Heureusement, la vaseline me permettait de progresser en douceur.

-Et toi, pour les suppositoires ? Jusqu'à quel âge ?Demanda-t-elle à son tour.

-C'était surtout quand j'étais petit, mais j'ai reçu mon dernier l'année dernière, par ma mère. J'avais douze ans.

On continua de discuter ainsi pendant plusieurs minutes, puis Laurine me demanda d'arrêter.

-Enlèves ton doigt, s'il te plaît. Ça me donne envie d'aller aux wc.

Je sortis mon index et lui fis une caresse sur ses fesses avant d'enlever ma main.

-Tu veux que je te soulage avant d'aller te coucher ?Demanda-t-elle en désignant mon érection.

J'acceptai et elle me demanda d'aller me coucher sur mon lit, sur le dos. Ensuite elle éteignit la lampe, enleva mon pantalon et s'accroupit à cheval sur mes jambes. Je me laissai faire, elle attrapa mon pénis et commença à faire des va-et-vients avec. Assez vite je glissai mes mains sous sa robe de nuit et atteignis ses seins pour les masser, ils étaient tout durs.

Après avoir accéléré son geste elle me fit jouir et envoyer ma semence, elle en reçu un peu sur ses cuisses et s'essuya sur la couverture, puis me souhaita bonne nuit en regagnant son lit.

Le lendemain matin, ce fut Laurine qui me réveilla, en me secouant l'épaule.

-Allez, on se réveille, fit-elle de bonne humeur.

-Il est quelle heure ? Demandai-je et essayant de regarder ma montre.

-C'est dix heures passées, grand dormeur ! Ma mère m'a demandé de prendre ta température pour voir si tu allais mieux ou si elle devait aller à la pharmacie.

Elle retira ma couverture et remonta mes jambes contre elle, puis commença à tirer sur mon pantalon.

-Ok, tu peux le mettre dans mon derrière, fis-je en relevant les fesses pour l'aider à enlever mon pantalon.

Elle eut un petit sourire en me regardant.

-De toute façon, tu n'as pas le choix : ma mère veut que je reprenne ta température de la même manière qu'hier.

Je la sentis m'étaler de la vaseline sur mon trou, puis plonger plusieurs fois son doigt dedans. Elle planta ensuite le thermomètre et me taquina avec. Quel agréable réveil !

-Ah, on dirait que tu va beaucoup mieux. 37,5 degrés. Ta température a baissé, fit-elle après avoir retiré l'instrument.

-Ah, et au fait..., continua-t-elle en baissant les yeux vers mes fesses.

Je sentis son doigt remonter assez profondément dans mon rectum, mais le toucher était un peu différent.

-...un suppositoire pour commencer la journée, expliqua-t-elle avec le sourire.

-Beurk, je vais avoir la chiasse, commentai-je à voix basse.

-Allez, lèves-toi et viens prendre ton petit-déjeuner, maintenant.

Je m'habillai en vitesse et sortis de la chambre. Avant d'aller manger, je décidai d'aller pousser aux toilettes pour expulser le suppositoire avant qu'il ne fonde, mais je n'y arrivai pas : Laurine l'avait poussé trop loin. Je dû me résoudre à attendre qu'il agisse complètement pour l'évacuer dans la cuvette.

L'après-midi, quand ses parents furent partis, Laurine invita un ami à elle à la maison.

-Je te présente Ben, m'expliqua-t-elle quand il arriva.

Le garçon devait avoir son âge, et était un peu plus grand qu'elle. Elle nous guida tout les deux dans sa chambre et referma la porte. Ben semblait un peu mal à l'aise en me voyant. Je me demandais ce qu'on allait faire tout les trois, cet après-midi. Là, Laurine enleva son t-shirt, puis ses chaussures et son pantalon, se retrouvant en sous-vêtements.

-Qu'est-ce que tu fais ? Commençai-je.

J'eus assez vite ma réponse. Ma cousine se pencha en avant sur son lit, et Ben alla se placer derrière elle.

-Avec Ben, on fait de temps en temps des trucs, euh..., « coquins », expliqua-t-elle. Mais c'est juste un ami, précisa-t-elle. On fait ça pour se faire plaisir.

Ben tira sur sa culotte et la baissa jusqu'aux genoux. Il devait avoir une parfaite vue sur ses fesses à présent. J'étais un peu jaloux.

-Si ça te gêne, tu peux attendre dehors le temps qu'on termine, fit-elle. Mais si tu veux rester, tu peux regarder, je lui ai dit et il est d'accord.

Je ne savais pas vraiment quoi faire. J'étais un peu mal à l'aise de la voir avec un autre garçon. Finalement, je décidai de rester dans la chambre, mais restai pour le moment face à Laurine. Celle-ci attendait patiemment pendant que Ben avait l'air de lui toucher le petit trou. J'observai la scène avec attention, mais n'osai pas aller derrière Laurine regarder.

Ben baissa ensuite son pantalon et son caleçon d'où surgit un pénis assez grand en érection, il le prit en main pour le diriger contre Laurine, et passa son autre main devant elle, au niveau de son ventre. Je compris ce qu'ils allaient faire, et un instant plus tard, Ben la tira contre lui et Laurine eut comme un sursaut.

Il remua en elle un bon moment avant de s'arrêter et de se retirer.

-Tu le fais depuis longtemps ? Demandai-je à Laurine quand ils eurent terminé.

-Non, répondit-elle. Depuis cette année. Il m'a dépucelé le derrière cet été la première fois.

Cette fois, je me levai et la contournai pour voir ses fesses. Elles étaient encore écartées de part sa position. Au milieu, son anus d'habitude tout serré était légèrement ouvert, et se refermait petit à petit. J'avais encore un peu de mal à croire à ce qui venait de se passer.

Voyant que je ne la touchais pas, Laurine se releva et remonta sa culotte. Elle alla vers Ben et lui parla discrètement.

-Je pense que tu devrais y aller. On se reverra une autre fois.

Il hocha la tête, et se rhabilla pour quitter la chambre.

Une fois tout les deux, je me glissai contre elle.

-Je peux essayer aussi ? Lui demandai-je.

Elle eut l'air un peu embêtée.

-Désolée, j'aime bien ce qu'on a fait ensemble, mais je pense que tu es un peu jeune pour ça encore. On ne devrait pas aller plus loin que les jeux sexuels pour l'instant. Mais quand tu seras plus grand, si tu veux, on en reparlera, ok ?

Je hochai la tête, un peu déçu quand même.

Pour me réconforter, elle me prit dans ses bras dans son lit pour me faire un câlin, et glissa sa main dans mon pantalon pour faire quelques attouchements. Sa poitrine s'écrasait sur moi, c'était assez plaisant.

-Dis, Laurine. Ça fait mal la sodomie ?

-Non, quand on se prépare bien c'est agréable. Je me suis étalé du gel ce matin après ma douche.

En entendant sa phrase, ma main se promena instinctivement en direction de sa culotte et glissa vers son petit trou. Une simple pression du doigt me confirma ce qu'elle venait de dire.

On continua de s'amuser tout les deux dans son lit pendant presque une heure. À la fin, mon anus commençait à être douloureux à force de recevoir ses doigts.

Mon oncle et ma tante revinrent ensuite à la maison et je dû préparer mes affaires car ma mère revenait me chercher ce soir.

Au moment de partir en voiture, ils me demandèrent si je m'étais bien amusé.

-Oui, bien, fis-je avec un regard complice en direction de Laurine. À la prochaine !

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