Vues: 8755 Created: 2011.01.29 Mis à jour: 2011.01.29

Fiévreuse

Fiévreuse

C'est un peu mon histoire et peut-être aussi la tienne, à toi de voir.

Je viens de revenir du travail. Toute la journée, je n'étais pas bien. Sensation d'être étourdie, un peu de nausée, rien de plus sauf une grosse fatigue. Arrivée ici, je me coule un bon bain chaud, je relaxe. Un peu réchauffée, je sors du bain, je m'enroule dans ma serviette. Un coup séchée, je mets mon pyjama et je m'installe devant la télé. Je suis à demie endormie quand on sonne à la porte. Je me lève, j'ouvre. C'est André. Il entre, enlève son manteau et vient me rejoindre au salon. Il me regarde et dit :

" Tu ne vas pas bien ".

Je lui dis que je me sens drôle. Il se lève, prend place à près de moi et touche mon front.Il me dit que je suis bouillante. Il veut prendre ma température, il revient avec mon thermomètre électronique, il tente de l'ouvrir mais sans succès, les piles sont à plat.

André me dit :

" Je vais te faire une petite boisson pour te détendre et faire baisser ta fièvre puis je vais à la pharmacie ".

J'accepte. Il me prépare sa recette faite de je ne sais pas trop quoi ... C'est fort mais en même temps, ça me réchauffe. Il me demande d'enlever mon gros pyjama et je ne porter qu'une petite camisole et des bobettes pour éviter de faire monter ma température. Je vais me changer puis il me fait allonger sur mon divan, il me couvre un peu, me donne un bec sur le front et il part en prenant soin d'apporter mes clefs. Je pense m'être vite endormie.

Je me réveille, j'ai l'impression d'être dans la ouate. Puis, lentement mes sens reprennent du service. Je suis allongée sur le côté, ma jambe droite pliée jusqu'à ma poitrine. On retient ma jambe et je sens un objet dans mon anus. Je tente de bouger.Je n'aime pas avoir un je ne sais pas quoi dans mon fondement intime. André me dit:

" Ne bouges pas, je prends encore ta température ma jolie. " Je me fâche.

" Ecoutes André, mon thermomètre est buccal donc pourquoi il est entre mes fesse? "

André m'annonce que la pharmacie n'avait pas de piles pour mon thermomètre et que le pharmacien lui a conseillé de choisir un modèle rectal puisque je me sentais fatiguée. De plus, le pharmacien a donné des Paracétamol à André pour moi. Il doit m'en mettre deux parce qu'il ne restait que les suppositoires d'enfant.

Enfin, il enlève le thermomètre.Malgré les suppositoires qu'il m'a insérés quelques heures plus tôt, je suis encore à 40°5; j'entend Steph parler. Il vient me voir.

" Comment vas-tu mon amour? "

Je tente de me relever un peu mais je suis prise de nausées. Steph dit:

"Je vais aller lui chercher un truc à la cuisine." Il revient avec une boîte de suppositoire Gravol. Je me mets à crier:

" Je ne veux plus qu'on touche à mes fesses, j'ai mal à mon petit trou. "

Steph s'approche de moi et je commence à ruer, à donner des cours de pieds, bref ... je me débats. Steph me dit:

" Arrêtes tout de suite ou encore tu auras la première fessée de ta vie. "

Je continue, mais comme je ne me sens pas bien, mes forces m'abandonnent vite. Steph m'attrappe par le bras, il s'assoit sur le lit et me tire à lui. Il me dit :

" Tu ne te sens pas bien mais bon, tu mérites une fessée et je vais te la donner afin que tu acceptes tes soins sans rechigner. "

Je le supplie de me laisser mais il refuse.

Steph demande à André de m'.enlever mes bobettes. La main de Steph s'abat sur ma fesse gauche mais je n'ai pas de douleur.C'est maintenant le tour de la fesse droite.La claque est plus forte. Elles sont toutes de plus en plus fortes.Je pleure. Au bout de je ne sais pas combien de temps, Steph cesse les tapes et il me demande de m'allonger sur mon lit et de mettre mes deux oreillers sous mon ventre afin que mon arrière- train soit plus haut. Je m'exécute.

André propose à Steph de me mettre le Gravol et pendant ce temps, il va préparer un petit lunch. Steph place un doigt dans le pot de vaseline, beurre ma région anale, fait entrer son doigt puis le suppositoire. Quelques minutes plus tard, André est de retour avec du jus de légumes et des craquelins pour tout. Quelques 45 minutes après ma fessée, André dit:

" Il est temps que je reprenne ta température puis que je te mette de nouveaux suppositoires .Alors vite, prends position. "

Je m'exécute. André plante le petit tube de verre dans ma lune, le place très profondément et le laisse là pour 5 minutes.J'ai encore de la fièvre, donc il m'insère mon 1er suppositoire puis le second et après, il laisse son doigt. Je lui demande de le retirer et il me dit:

" Pas question ! Seulement quand ce sera fondu. "

Je dois donc garder son doigt en moi pendant 10 minutes. André me demande comment sont mes nausées.Je dis que je me sens toujours aussi mal .Alors, il me met un autre suppositoire de Gravol. Les hommes me disent de me reposer un peu et qu'ils reviendront dans une heure pour me mettre encore une fois le thermomètre. Ils quittent la chambre.

Une heure plus tard, Steph entre dans la chambre, je dors. Et je sens le thermomètre entrer encore une fois dans ma rondelle puis, ses doigts commencent lentement à me caresser. Ils viennent chatouiller mon clitoris et j'ondule sous Ses caresses. Il m'enlève le thermomètre, baisse encore plus mes bobettes et se prépare pour me faire l'amour. Je panique un peu. Je lui dis:

" Ah non !Pas de sodomie ! "

Steph me rassure.Il veut juste me prendre par en arrière mais comme il me sens tendue, il me laisse me retourner puis son pénis commence sa danse en moi. Il a à peine le temps d'éjaculer qu'André arrive pour prendre de mes nouvelles. Les deux hommes partent à rire. Steph a oublié de lire le thermomètre. On doit donc refaire la lecture. Je dis aux hommes d'attendre quelques minutes car je veux aller à la toilette.

À mon retour, Steph me demande de me placer à 4 pattes, il veut me voir prendre le thermomètre.Je m'exécute. André fait entrer l'instrument de torture en moi et ... ma fièvre est tombée, elle n'est plus que de 40°. André me dit de dormir encore un peu. Dans deux heures, il va revenir pour reprendre ma température, me mettre deux ou trois suppositoires selon si j'ai encore mal au coeur ou non et encore une fois, on me laisse seule.

André s'approche de moi. Je ne dors pas. Il touche mon front.Je suis encore bouillante. Steph entre à l'instant, il m'apporte un bon verre d'eau. J'ai eu tellement chaud que mes vêtements sont trempés. Je bois mon eau alors que Steph regarde dans ma garde-robe pour des choses légères. Un bébédull retient son attention.Il le sort de la penderie. Je lui demande s'il est sérieux et il me répond par l'affirmative. Il me donne aussi une nouvelle paire de bobettes assorties à mon ensemble qui ... permet de voir plein de trucs. Je passe à la toilette, je me lave un peu puis je me change. Je reviens dans la chambre. André est prêt pour la température et pour les suppositoires. Je m'étire et tente de gagner du temps. Steph comprend mon manège. Il me dit:

" OK ! Etre debout te fait du bien .Alors, restes dans cette position mais baisses le haut de ton corps afin de poser les mains bien à plat sur le plancher pour ta prise de température. " Je fais ce qui est demandé et mes nausées reviennent encore plus vives. Me voilà avec un mal de coeur et un thermonètre bien enfoncé dans ma rondelle et ... pas question de bouger Je peux te dire que 5 minutes, c'est long. Le thermomètre ressort lentement, André me dit de me relever un peu.Je suis à 40°8 .C'est encore haut. Il me demande de rester debout mais je me plie pour que le haut de mon corps soit sur le bureau de travail.Je prends la position demandée. André place sont doigt dans la vaseline.Il en appplque sur la rondelle et à l'intérieur. Son doigt fait de petits cercles en moi. Il dit:

" Steph, regardes bien car ce midi, c'est toi qui va faire les traitements de ta dame puisque moi, je dois aller au travail et je reviendrai pour l'autre traitement. "

André fait entrer en moi le 1er Paracétamol et son doigt va le porter très loin dans mon fondement, il fait par la suite entrer le Gravol et là encore, il va le pousser super loin et finalement, il fait entrer le dernier Paracétamol.Là encore il le pousse le plus loin possible et laisse encore une fois son doigt. Il me dit:

" Tu ne dois pas bouger .Je veux être certain que tout reste en place et que tu ne vas rien faire ressortir et dans quelques minutes, je vais te remettre le thermomètre très profondément pour que les médicaments t'aident à prendre du mieux. Pendant que tu dormais, j'ai revu ton pharmacien et je lui ai dit que je trouvais que les suppositoires n'allaient pas très profondément en toi.Il a été à l'arrière- boutique et m'a rapporté un modèle qui fera le travail. Il est très long, un peu plus de 30 cm mais le hic et je sais que tu vas chialer, c' est qu'il est un peu plus volumineux que les autres.En fait, il est le double de grosseur. Ton pharmacien a dit que si nous pouvions t'introduire les suppositoires, on pouvait aussi te soigner avec ce thermomètre. "

André retire son doigt, plante le nouveau suppositoire dans le pot de vaseline et lentement, fait entrer ce truc tellement long dans ma petite lune toute chaude et ça rentre.Il pousse, pousse et pousse encore. Je lui dis que c'est assez mais il affirme que le pharmacien a dit qu'on devait l'entrer jusqu'au 3/4 et même jusqu'au 9/10. Je lui dis d'arrêter car il me fait un peu mal mais Steph lui dit :

" Pousses encore André et si elle chiale ou bouge elle va recevoir une nouvelle fessée . "

A ces mots, je me tais. Je thermomètre ne bouge plus. André le ressort enfin.Je suis à 40°5 de température. Steph essuie un peu mon petit trou, il remonte mes culotte et me met au lit en me promettant de venir me voir toutes les deux heures pour prendre ma température et m'ontroduire mes médicaments toutes les 4 heures. André pose un bec sur mon front et me dit :

" A plus tard ma douce ! "

Steph a laissé André partir . Il se penche vers moi, caresse un peu mes seins à peine cachés par le tissu qui me vêt actuellement,me donne un bec sur la bouche et me dit :

" Bon dodo, je reviendrai ! "

Pendant le 5 jours suivants, j'ai eu l'un après l'autre le thermomètre, les suppositoires et encore le thermomètre. Mais les jours passant, je me sentais de mieux en mieux et un matin, je me suis vivement opposée à André. Je lui disais me sentir mieux et je voulais manger avant qu'il prenne ma température. Steph était encore à la maison, je ne le savais pas. Il est entré dans la chambre, il était rouge de colère. Il m'a dit:

"Madame va mieux mais elle n'est pas guérie, comme elle joue au bébé eh bien, on va la traiter en bébé."

Il m'a attrappée par le bras, il m'a fait coucher encore une fois sur ses genoux et la fessée a commencé, encore une fois. Quand j'ai assez quémandé qu'on cesse de me claquer les fesses et que j'ai fait mes excuses, Steph a dit à André:

"Je la garde sur mes genoux, commence tes traitements et débute par le gros thermomètre, on va voir si elle reste tranquille."

Je n'ai pas bougé.J'ai eu encore une fois mes 2 paracétamol puis à nouveau le suppositoire. Les hommes m'ont refait un traitement aur l'heure du dîner, au souper puis en fin de soirée. Le dimanche matin, gros progrès : pas de fièvre ... Je n'ai donc pas eu mes suppositoires. Les prises de températures régulières ont été faites pendant 3 jours et j'étais toujours correcte. Alors, j'ai pris la décision de revenir au travail.

En arrivant, mon patron me dit que ma visite médicale a été devancée.La compagnie ne veut pas prendre de risque avec la grippe .Je dois donc me rendre au 8è étage et ce illico-presto. Je ne suis pas vraiment contente. J'arrive.Une secrétaire me donne une jaquette, elle me dit de retirer tous mes vêtements, elle me donne un petit pot pour faire pipi puis me dit de revenir la voir quand ce sera fait. Elle me fait quelques prises de sang et me demande si j'ai envie d'aller à la selle ... Ils veulent faire une analyse de celle-ci.Je lui dit non. Elle me dit alors:

"C'est bien .Le docteur fera un prélèvement à la fin de son examen".

Le médecin entre. Il me fait un sourire et me demande d'aller me placer dans la salle. Il me pèse puis il me fait asseoir. Il m'ausculte, palpe mes ganglions puis me pose des questions sur ma récente maladie et sur les traitements que j'ai eus. Quand je lui parle des paracétamol et du thermomètre rectal, il a un large sourire et me dit que mon copain a probablement eu beaucoup de plaisir.Je ne mentionne pas mes quelques fessées.

Le docteur me fait enlever graduellement la jaquette. En premier, le haut pour palper mes seins puis mon ventre.Il regarde mes aines, mes aisselles ... bref, il fait presque mon corps au complet. Il me dit que ma compagnie a demandé un bilan complet et que je dois,évidemment avoir un examen gynécologique complet. J'accepte.il fait l'examen au spéculum puis le toucher vaginal et finalement un toucher recto-vaginal. Il me demande de m'asseoir et me demande si j'ai besoin d'aller à la selle, je lui réponds que non. Il me dit que dans ce cas, je vais trouver la dernière partie de l'examen un peu pénible mais qu'elle est obligatoire. Je dis OK, je n'ai pas vraiment le choix.

Il me fait mettre à quatre pattes sur la table d'examen.Je dois coucher la tête sur la table et ainsi avoir les fesses bien remontées. Il m'enfonce propondément les doigts, il me dit qu'il lubrifie mon anus et qu'il met en même temps un petit analgésique local. Puis il fait entrer un rectoscope, il dit que tout est beau pour le reste de l'examen, je ne dois pas bouger. Un spéculum est inséré dans mon fondement intime, une tige est entrée en moi, il prend un échantillon de mes selles mais il y va profondéement.Il dépose le tout dans un petit bocal. Je ne bouge pas.J'ai encore les instruments en moi. Il m'enlève l'attirail, il essuie un peu ma petite lune, me donne une petite tape sur les fesses et me dit que je peux retourner m'habiller. S'il y un problème, il va communiquer avec moi mais à première vue, tout est OK.

Je suis donc de retour au travail. Je raconte à Christine la routine de vie que j'ai eu pendant ma grippe. Elle me demande si mon copain m'avait déjà donné la fessée par le passé et je lui dis que non. De son côté, elle me raconte qu'elle a souvent des soirées fessée avec son mari. Il ne se sert que de ses mains, elle dit aimer ces traitements. Je me demande si nos hommes avaient parlé de ça ... La journée se termine et j'oublie tout ça.

A mon entrée à la maison, Steph m'attend, il me dit d'aller prendre un bon bain puis qu'il va prendre ma température après. Je suis dans la baignoire, on sonne à la porte.C'est Christine et son mari. Je me hâte de sortir du bain. Steph commande un petit souper pour 4. Je m'habille et je viens les rejoindre au salon. J'ai oublié le fameux thermomètre. Steph n'a rien oublié.Il me demande d'aller m'allonger pour qu'il vérifie si tout est encore OK, je lui dis qu on le fera quand nos amis seront partis ... Mauvaise idée. Christine et son mari disent à Steph que selon eux, je mérite une belle correction et qu'ils aimeraient y assister et même ... y participer. Je refuse. Steph s'avance vers moi et me demande de coopérer.Je ne veux pas. Le mari de Christine m'attrape par l'arrièr. Il me lève dans les airs, baisse mes culottes et me dépose sur le parquet et de force, il me fait baisser le torse et le placer sur le haut du divan. Steph est tout à côté et il débute ma fessée. Il demande à son ami de se soulager et me donnant quelques giffles sur les fesses lui aussi et finalement, ils donnent leur place à Christine.Comme je pleure, mon amie me caresse plus qu'autre chose et son mari se fâche et lui promet une fessée à elle aussi dès que ma température sera prise. Steph s'asseoit. Il me demande de me placer sur ses genoux.Je lui dis non, et il m'attrape et me donne encore quelques tapes.J'accepte donc le thermomètre. Il m'insère le gros format, et alors que nos amis ne voient rien, il me caresse le clitoris.C'est bon. Au bout de 5 minutes, Christine enlève le thermomètre.Il indique 39°. Elle dit que c'est probablement parce que j'ai pleuré mais que nous ne devons pas perdre de chance, alors ... deux suppositoires contre la fièvre me sont encore introduits dans la lune puis à nouveau le thermomètre pour 20 minutes soit le temps que les suppositoires soient fondus. Le mari de Christine aime bien cette routine.Il dit que ça lui donne des idées. Mes 20 minutes de tortures au thermomètre sont terminées, le souper arrive. J'avais oublié la fessée de mon amie. Avant d'aller servir, le mari de Christine me demande de placer le repas au four car pour lui, il est important que mon amie ait sa fessée tout de suite. Il lui demande de prendre la position. Elle vient se placer sur les genoux de son chéri.Elle remonte sa jupe, baisse ses petites culottes et elle commence à compter les claques. Elle en a eu 100. Son mari lui demande si elle accepte de prendre le thermomètre et je suis surprise de l'entendre dire oui ... Elle n'a pas de température.`

A vous de deviner la suite.

Amitié.

Comments

clyso Il ya 12 ans  
excalibur89 Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans  
zebochat Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans  
patou39 Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
pitchoun Il ya 13 ans  
patou39 Il ya 13 ans  
pitchoun Il ya 13 ans  
madame Il ya 13 ans  
pitchoun Il ya 13 ans  
patou39 Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans