Je suis moins motivé par cette histoire Woyzeck lol.
Je comprends, ce site accueille de nombreux fétichismes différents et on ne peut pas écrire d’histoire qui plaise à tout le monde, si on tient encore compte du genre et de l’orientation sexuelle.
Je suis plus motivé d’écrire lorsque j’écris quelque chose qui m’excite. Une petite histoire qui ne m’avait pas tellement motivé, les deux premières phrases étaient imposées. Je vous la mets quand même ici, on peut dire que c'est une ébauche, toutefois sans rien de médical.
— Tu te rappelles ce que je t'avais promis, Philibert, si tu me manquais de respect ? dit Sophie devant tout le monde, dans un silence de mort, et…
— ...il a une excellente excuse, coupa calmement la voix fluette de Stanislas, à la stupéfaction de l’assemblée.
— Une excuse ? s’étonna Sophie. Et laquelle ?
— L’ambiance érotique de ce spa qui invite à la sensualité, répondit Stanislas.
— Tu prends sa défense ? Je pensais que les gays étaient moins machos que les hétéros.
— Je me faisais l’avocat du diable…
— Weinstein est un gros porc et c’est tout. Dire que les actrices étaient consentantes est une insulte faite à toutes les femmes, donc Philibert m’a manqué de respect. CQFD.
— Et ce sera quoi la punition ?
Il y avait Sophie et Philibert, un couple, Stanislas, gay comme vous le savez déjà, Gertrude, sa sœur, lesbienne comme vous ne le saviez pas encore, Jacqueline et Paul, un autre couple. Tout ce petit monde travaillait dans la même entreprise de décolletage. Ils avaient décidé de passer un week-end ensemble dans une grande ville étrangère, avec un vol à 9 € 99 (plus 50 € pour les bagages, les taxes, le pilote et un verre d’eau). Ils séjournaient dans un superbe hôtel 4 étoiles, d’une propreté exceptionnelle, et se prélassaient au spa, en peignoir, couchés sur des chaises longues.
— Je voulais lui faire subir la même chose, répondit Sophie, lui faire passer un casting humiliant devant des femmes, du CFNM en quelque sorte.
— Du CFNM ? demanda Jacqueline. C’est quoi ça ?
— Quand un mec est à poil devant des meufs, expliqua Philibert en souriant, c’est raté, nous sommes tous à poil ici…
— Ouais, admit Sophie, va falloir trouver autre chose. Venez avec moi les filles, on va y réfléchir.
Les trois femmes se levèrent pour aller discuter au bar.
— Tu as fait exprès ? demanda Paul à Philibert.
— Exprès de quoi ?
— De parler de Weinstein.
— Bien sûr, je voulais avoir ma punition.
— Tu es maso ?
— Non, je voulais juste montrer à ma femme qu’elle est ridicule de vouloir me foutre à poil devant des femmes alors que je l’ai fait spontanément au sauna tout à l’heure et qu’elles ont pu voir ma bite.
— Très belle d’ailleurs, fit Stanislas, si tu veux mon avis. Vous avez une vie sexuelle intéressante…
— Non, pas vraiment. Elle est nulle au lit.
Les trois femmes revinrent dix minutes plus tard.
— Le tribunal a délibéré, dit Jacqueline. Voici sa décision : l’accusé Philibert est condamné pour manque de respect répété envers sa femme à se faire sucer par Stanislas.
Philibert eut l’air surpris, resta coi quelques instants, puis réagit :
— Vous voulez… que Stanislas me suce ?
— Oui, répondit Sophie. Tu as aussi dit une fois que les pédés suçaient mieux que les femmes.
— Je… C’était ce que j’avais entendu dire, s’excusa Philibert, je n’ai jamais essayé.
— Assez bavardé, le tribunal a décidé. La sentence est exécutoire immédiatement.
Les trois femmes se recouchèrent sur les chaises longues. Paul hésita, puis fit de même.
— Euh, objecta Stanislas, on pourrait aller dans une chambre.
— Non, fit Sophie, ici.
— Et si quelqu’un vient ?
— On dira qu’on fait des essais pour un film porno. Je vais d’ailleurs filmer avec mon smartphone.
Stanislas s’agenouilla devant Philibert, dénoua la ceinture du peignoir, en écarta les pans, libérant le sexe long et massif. Il ne perdit pas de temps en préliminaires, il décalotta le gland et le mit dans sa bouche. Stanislas était un expert en la matière, le sucé banda rapidement.
— Oh ! s’exclama Jacqueline. Elle est grosse !
— 18,5 cm, fit Sophie.
— Celle de Paul ne fait que 13.
— Jacqueline, s’il te plaît, se fâcha Paul, pas besoin d’étaler notre vie privée en public.
— C’est vrai ou pas qu’elle fait 13 cm ?
— C’est vrai, OK.
— Je l’aime bien comme elle est, ne t’énerve pas. On va vérifier.
Jacqueline posa sa main sur l’entrejambe de Paul et commença à le caresser.
Gertrude et Sophie se rapprochèrent et leurs doigts se glissèrent sous leurs peignoirs.
Quelques jours plus tard, Philibert et Sophie se séparèrent, Philibert se mit en couple avec Stanislas, Gertrude avec Sophie. Jacqueline se contenta toujours de la petite bite de Paul. Ainsi va la vie.