Cet instrument a la même possibilité que la poire à lavement : l'action directe de la main du donneur sur l'injection du lavement .
Contrairement au bock et à la poche, qui agissent, une fois en place sans intervention, par simple effet de la pression due à la mise en hauteur du lavement contenu dans ce réservoir, poire et "poire en ligne" - pour reprendre la recommandation d'Arthur....qui n'aurait donc pas à me punir....- sont des moyens qui n'agissent que par décision d'action de la main, lorsqu'on décide de presser la poire, ou la poire en ligne.
Si on voulait évoquer les variations des plaisirs du lavement, on pourrait les définir de trois façons, à mon avis :
- par injection avec une poire à lavement, ou une poire en ligne.
le lavement n'est enfoncé, dans le ventre et le derrière ( oooh !....) que sous l'action directe de la main, avec un lien direct et sensuel, je trouve, entre la pression de cette main sur la poire et le ressenti intime de la personne lavementée qui sent en elle une pression l'envahir intimement. Il est assez jouissif aussi de savoir que cette chaleur du lavement que l'on sent en pressant la poire, la personne lavementée la sentira dans son ventre au fur et à mesure.
Deux plaisirs différents peuvent également se jouer : avec la poire, une fois vidée, il faut la retirer, la remplir, la remettre, la presser à nouveau...tout cela peut avoir beaucoup de répercussions sur les émotions du ou de la lavementé, quand par exemple, on se demande si, après le retrait de la canule, on va encore ?...remplir la poire, donc, continué, a recevoir un le lavement....Avec la poire en ligne, l'injection du lavement est continu, même s'il peut y avoir de courtes pauses....mais la canule reste en place donc...
Dans ces deux cas, le jeu de la main peut être subtil si on aime voir réagir la personne lavementée : on peut appuyer doucement pour enfoncer gentiment le lavement de manière continue; on peut presser la poire en faisant des pauses; on peut presser la poire plus ou moins fortement pour provoquer des réactions chez la lavementée. Mais dans toutes ces situations, il y a un lien direct entre la personne qui donne le lavement, et celle qui est lavementée : on la voit réagir en recevant le lavement, elle peut se tortiller ou rester de marbre, se contenir par pudeur ou pour d'autres raisons, elle peut gémir, geindre doucement, de temps en temps ou constamment, se plaindre même, et, en agissant par pression de la main sur le lavement qui entre, on peut beaucoup jouer des réactions que procure l'administration d'un lavement, comprendre, et ralentir l'injection, ou dire que "c'est comme ça ! que ça plaise ou non", ou, "qu'il le faut", etc.
- une deuxième façon de lavementer, est l'usage du bock ou du sac.
De cette façon, en donnant un lavement, on reste extérieur en quelque sorte à ce qui se passe, à ce qui arrive à la personne qui reçoit ce lavement. L'installation a été faite, l'injection commence, parfois il est préférable d'attacher les jambes pour que le lavement puisse être donné sans problème si on sait qu'il y risque d'y avoir trop de résistance.
Qu'il y ait plainte, gémissement, ou non, le lavement se fait, il faut attendre, on assiste à son bon déroulement, mais sans intervenir, en disant même qu'on n'y peut rien, que " c'est comme ça! ", en précisant peut-être, non pas la quantité déjà administrée...mais la quantité du lavement qui reste à administrer, selon d'ailleurs que l'on aura choisit de laisser hors de vue ou non du sujet, le bock ou le sac...
Il est plus facile aussi, en utilisant un bock ou un sac, de disposer la personne sur le dos, ce qui permet une surveillance du bon déroulement de la séance de lavement, avec le ventre qu'on peut voir gonfler et s'arrondir petit à petit, et de porter attention aux éventuellement réactions intimes qui peuvent survenir : érections plus ou moins fortes pour un homme, apparition de précum; mouillures et gonflements pour une femme.
Cette façon de faire- sac ou bock - permet plus facilement, en laissant les mains du donneur libres, si le jeu en est convenu, d'accompagner l'administration du lavement, pour l'aider, en donnant diverses masturbations à la personne lavementée. "Tu as mal au ventre?...". "Et comme ça, ça va mieux ?...", tandis qu'une main remue doucement au bas du ventre d'une femme, ou sur la verge d'un homme.
- la troisième façon de lavementer est l'utilisation d'une canule à double-ballonnets.
A n'utiliser qu'à bon escient, en toute connaissance, et là plus encore que pour les deux autres façons décrites précédemment, en accord de scénario dans les limites de l'usage de ce moyen.
Cette façon de faire est redoutable, parce que redoutablement efficace ! on comprend pourquoi. Elle permet de donner des lavements plus importants, plus longs à administrer, donc permet de plus longues séances. A réserver à des usages et des jeux bien particuliers, donc très forts sensuellement parlant, notamment lorsqu'il s'agit de lavement punitif, qui peuvent de ce fait rendre tous leurs effets souhaités...
J'espère ne pas avoir lassé en étant trop long, mais j'avais envie partager mon point de vue, ma façon de voir ce dont nous discutons tant sur ce site.