Dans le cadre de mes activités professionnelles, voici la dernière aventure en date, vers fin mai, début juin.
Je devais me rendre chez une dame qui a perdu son époux il y a dix mois, et mon travail consistait à essayer de lui ouvrir ses droits à une pension de réversion. A l'heure du récit, cette dame, que j'appellerai Simone est en soin de suite dans une clinique privée, conséquence d'une intervention sur le genou. Je ne suis pas étonné quand je la rencontre, de la voir sur un fauteuil.
J'entre dans sa chambre et elle me prie de fermer la porte. Elle ne veut pas que les infirmières ou autres écoutent notre échange. Elle a raison, il faut savoir rester discret.
Je fais ce qu'elle me dit, et une fois entré, je prends soin de refermer la porte derrière moi. Simone de son côté, me fait signe d'avancer vers elle. Elle est tout au fond de sa chambre, près de la fenêtre ouverte à cause des grandes chaleurs. Je me présente à elle, et je lui rappelle quel est l'objet de ma visite. Simone me demande d'approcher, plus près, mettant une main près de son oreille, me faisant comprendre qu'elle n'entend pas... Je m'approche, je suis à 3 ou 4 cm d'elle. Elle me dit :
- Je suis content de vous voir, Monsieur. Je suis si seule. Je suis vraiment contente quand quelqu'un vient me voir. Je vous en prie, approchez. Je vais vous prendre dans mes bras et vous embrasser.
Je me plie aux désirs de Simone et elle me sert dans ses bras, m'étreint, m'embrasse sur les deux joues. Je me laisse faire, n'y voyant rien d'offusquant ou de malsain... quand je sens quelque chose entre mes jambes. Je n'ai pas le temps de regarder que Simone me dit :
- Chut ! laissez-moi vous toucher. Je ne l'ai plus fait depuis des années, mon mari ne voulait pas.
J'essaie de me dégager de son étreinte, mais je n'y arrive pas. Je n'aurai pas cru qu'une bonne femme, aussi frêle en apparence ait eu autant de force ! et de surcroît, dans un fauteuil !
Et la voilà partie pour une caresse pesante et prolongée sur mes parties intimes. Elle est allée jusqu'à ouvrir ma fermeture à glissière et y a fait entrer une de ses mains qui est passée deux ou trois fois sur mes bourses par dessus le slip.
Simone a relâché son étreinte, mais je n'ai pas osé réagir : je l'ai laissé faire. Ce qui m'a surpris, c'est que j'ai eu une érection, légère peut-être, mais tout de même....
Simone a sorti sa main et a pris de refermer ma braguette. J'ai été troublé, désarçonné... Je ne savais plus ce que je faisais ici et pourquoi j'étais là... C'est Simone qui m'a remis sur les rails, me demandant comme si de rien n'était :
- Alors, il est où ce dossier ?
J'ai poursuivi ma tâche sans rien dire tellement j'étais perturbé. L'ayant compris Simone me dit :
- N'allez pas raconter ça, je compte sur vous. Sinon, je dirais que c'est vous qui m'avez forcé à mettre ma main dans votre slip.
J'ai fait oui de la tête, et j'ai poursuivi mon travail. Je sentais encore sur moi le poids de sa main, ses caresses...
Mon travail terminé, je prends congé, mais Simone me lance, sur un ton enjoué :
- Un bisou à l'arrivée, un autre à la sortie.
J'ai hésité. Je ne voulais pas retomber dans le même piège.
Simone revient à la charge :
- Allez, venez quoi ! Je ne vous toucherai pas.
Je cède et je m'approche de Simone pour lui apposer un bisou sur les joues.
Simone n'a pas tenu parole : elle a remis sa main sur mes parties, sans défaire la braguette. Elle m'a encore une fois serré très fort mais j'ai pu dégager son étreinte. Je ne sais où elle serait allé si je n'avais pas pu m'en aller.
- Attention si vous racontez ce que je vous ai fait. Je porte plainte contre vous.
J'ai vite quitté cette chambre d'hôpital, je me sentais honteux, sali... Une infirmière m'a même demandé si je me sentais bien, si je n'avais pas besoin de quelque chose.
Pour me remettre de mes émotions, elle m'a apporté un verre d'eau avec un carreau de sucre.
Je ne suis plus retourné chez Simone, et j'espère qu'on ne me renverra plus chez elle.