J'ai posé cette question en repensant à l'attitude vis-à-vis de la température rectale de mes différentes compagnes.
Ado, puis étudiant dans la période de la "révolution sexuelle", je suis, du fait de ma timidité maladive, resté puceau jusqu'à l'âge de 21 ans. C''est Christine, ma première "copine", qui m'a dragué et qui m'a tout appris. Cependant,concernant la température rectale, elle se montrait plus que rétive. Après quelques jours de joyeux ébats dans le vaste appartement de ses parents, j'ai eu l'idée d'apporter un thermomètre pour pimenter nos relations. Christine s'est déclarée choquée et a par la suite toujours refusé aussi bien de me prendre la température que de me laisser prendre la sienne, alors qu'elle me laissait lui faire l'amour de toutes les manières envisageables, y compris pénétrer son petit cul . Une fois, alors que j'étais vraiment malade, elle a rejeté ma demande de me prendre la température en me disant: "je ne suis pas ta maman". Elle regrettait également que je me masturbe en stimulant mes érections avec un thermomètre. Elle y voyait un signe de tendances homosexuelles inavouées.
Ma deuxième copine (qui a largement inspiré l'histoire qui porte ce titre, cf à la bibliothèque du site) était, Dieu merci, tout à fait à l'opposé dans son attitude vis-à-vis de la température rectale. Après plusieurs mois d'une amitié de plus en plus ambigüe, nous avons entamé une liaison qui a duré deux ans par un week-end au cours duquel Maria a commencé par m'ausculter (elle était sérieusement "medfet" en plus), puis me prendre la température(rectale) avant de me laisser lui faire l'amour. Par la suite, le thermomètre a joué un rôle important dans notre relation, Maria voulait toujours vérifier nos températures respectives, notamment avant, pendant et après l'amour, et, par exemple, puisque nous étions tous deux de grands lecteurs,, quand l'un de nous lisait, c'était rarement sans que l'autre en profite pour lui glisser un thermomètre dans le rectum.
Par la suite, l'attitude des femmes avec lesquelles j'ai vécues (pas tant que ça, finalement) s'est toujours trouvée entre ces deux extrêmes. Mon actuelle compagne, nettement plus jeune que moi, pour mon plus grand bonheur, se rapproche plutôt de ma deuxième copine. Un exemple: je ne suis pas du tout sportif, mais Deborah aime aller courir une heure ou deux le dimanche matin. Je lui prends alors la température avant son départ, puis quand elle revient, hors d'haleine. Elle se jette alors sur le premier canapé qu'elle trouve et me laisse lui baisser son short moulant, puis sa petite culotte imprégnée de sueur, pour lui glisser un thermomètre entre ses fesses fermes. Nous constatons que, à ce moment, sa température est nettement plus élevée que d'habitude ( entre 38,0 et 38,5), ce qui nous donne un prétexte pour vérifier le retour à une température normale, une heure plus tard.