J'ai déjà indiqué que Maria, ma deuxième copine m'avait, au cours des pseudos visites médicales dont elle me gratifiait, plusieurs fois, mesuré le pénis.
J'ai gardé un souvenir vivace de la première fois où ma copine s'est lancée dans cet exercice.
C'était un jour où nous étions tous les deux passablement excités et avions très envie de faire l'amour et c'était toujours ce type de circonstances que Maria choisissait pour imposer ses ''preliminaires'' un peu particuliers. Maria m'avait demandé de me mettre en slip alors qu'elle-même, à ce stade, gardait ses vêtements. Ensuite, après avoir joué quelques instants avec mes tétons déjà en érection, un rituel chez elle, pendant un temps assez long, elle m'ausculta le torse. Malgré mon hypocondrie maladive, comme je savais qu'elle n'y connaissait rien en cardiologie et n'aurait pas pu diagnostiquer quoi que ce soit, je n'étais pas trop inquiet alors qu'elle déplaçait le disque du stéthoscope sur ma poitrine et me félicitait de la douceur de ma peau. Et je fus aux anges quand elle me proposa d'écouter mon propre coeur, puis plus encore, lorsqu'elle entrouvrit son chemisier pour que je puisse écouter son cœur à elle. La vue des petits seins galbés de Maria dans l'échancrure de son soutien gorge de marque augmenta encore mon excitation.
Laissant son stéthoscope, Maria s'assit au bord du lit et d'un geste, m'invita a m'approcher d'elle. Toujours debout, mon bas-ventre était au niveau de sa tête. Elle apprécia la fermeté de mon érection a travers l'étoffe de mon slip et me lança un regard coquin. Elle posa alors ses mains sur l'étoffe de mon slip et le fit glisser jusqu'à mes chevilles. Mon sexe se dressa en une belle érection. Ce jour-là, elle m'epargna ses commentaires fréquents du style'' c'est moi qui te fait bander comme ça''. A son habitude, Maria se lança dans de savantes et sensuelles caresses de mon pénis, puis de mes testicules, qui m'amenaient toujours au bord de la jouissance.
Ensuite, ma copine me dit simplement : ''tourne toi mon amour'' et je savais ce qui allait se passer. Excité par les circonstances, je sentis Maria m'écarter les fesses au maximum, puis je réalisai que quelque chose de dur, long et froid se glissait entre les fesses, trouvait l'anus, forçait le sphincter et pénétrait profondément mon rectum. Je m'attendais à un moment de pur bonheur, de plénitude quand Maria commencerait a jouer avec le thermomètre dans mon petit cul .
Mais ce jour, le scénario changea. Sitôt le thermomètre en place, Maria m'invita une nouvelle fois à me retourner face à elle, ''mais ne laisse pas le thermomètre tomber, hein''. Peu de risque de ce côté, elle l'avait bien enfoncé, la salope. J'obéis à ma copine, un peu surpris et un peu déçu qu'elle ne s'occupe pas du thermomètre.
Alors, avec un sourire quelque peu pervers, Maria me demanda de m'approcher d'elle, ferma ses doigts sur ma verge toujours en érection, et sortit de sa trousse médicale un mètre de couturière.
Sans explications, Maria entreprit de mesurer la longueur de mon sexe avec son instrument. Interloqué par son geste, je lui demandais: ''Mais que fais-tu ?" Elle dit simplement : ''ne bouge pas, reste juste
bien dur''. Pas de souci de ce côté-là, malgré ma surprise, l'excitation que me procurait la scène faisait que ma queue restait vaillamment dressée.
Elle annonca: 17cm et commenta ''pas mal'' avec un sourire en coin. Puis nous sommes revenus aux ''affaires courantes''. Elle m'a fait me retourner une nouvelle fois, elle a retiré le thermomètre et annoncé un 37,2 normal avant de me laisser la déshabiller et lui faire l'amour.
Alors que nous récupérions après avoir joui, et plutôt bien, Maria est revenu sur sa mesure de mon pénis : ''17 cm, tu en as une belle, tu sais''. Je risquais une question : '' Mais, pourquoi as-tu fait ça ?". ''pour mettre cette information importante dans mon journal'' répondit-elle avec un sourire moins qu'ambigu. '' Et tu me laisseras lire ton journal ? ''repliquais- je
''Jamais''
proclama-t-elle.
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