J'ai promis quelques éléments sur mes expériences concernant les variations de température rectale
Entre 18 et 21 ans, étudiant sage, j'étais d'une timidité extrême avec les filles et bien sûr puceau. Je m'enfermais pendant des heures dans la salle de bain familiale pour me masturber en pensant à toutes celles à qui j'osais à peine adresser la parole.
Je prenais bien sûr ma température rectale avant, pendant et après mes masturbations et j'ai ainsi constaté que l'acte d'amour solitaire ne faisait que faiblement monter ma température ( un ou deux dixièmes). Naïvement, je me disais que ma température augmenterait sûrement plus si je faisais vraiment l'amour.
Je n'étais pas du tout sportif, mais un jour, pendant cette période, je me suis laissé entraîne à un footing dans les rues de Paris avec un groupe de copains de fac. Je suis rentré chez moi à bout de souffle, crachant mes poumons et la première chose que j'ai faite a été de vérifier la température rectale. Le résultat m'a impressionné : 38,4, résultat que je n'avais jamais obtenu en me branlant.
A 21 ans, je me suis trouvé une copine ( c'est plutôt elle qui m'a trouvé). Christine m'a dépucele en beauté. Nous avons fait l'amour plusieurs fois par jour pendant tout un été, au terme duquel elle est partie pour un an à Dublin. Tout s'est passé merveilleusement bien entre nous, même si elle était nettement plus expérimenté que moi. Une seule ombre au tableau: après quelques jours de baise frénétique, j'ai amené avec moi un thermomètre dans le but de pimenter nos ébats. Et là, Christine l'a très mal pris. Elle a énergiquement refusé que je lui mette l'ustensile entre ses fesses, tout comme qu'elle me prenne ma température rectale. Elle trouvait cela ''sale et dégoûtant'' alors qu'elle avait accepté sans difficulté la veille que je la sodomise.
Plus tard, alors que Christine était en Irlande, elle s'est déclarée choquée quand je lui ai avoué que je me masturbais en pensant à elle, avec un thermomètre dans.le rectum. Ce qui la gênait n'était pas que je me masturbe, ce qu'elle disait comprendre, mais que je le fasse avec un thermomètre dans le cul.
Bref, je restais toujours avec ma question existentielle, est-ce que faire vraiment l'amour ferrait plus monter la température que de se branler ?
La suite de ma vie m'a appris que non. Comment ? je le raconterai plus tard.