Tout au long de ma vie, j'avoue avoir pris plaisir à mesurer ma température (rectale) avant, parfois pendant, et après mon activité sexuelle.
Cela a commencé avec les masturbations de ma jeunesse, à partir de 13-14 ans. J'associais souvent le thermomètre à ces exercices et je me masturbais au moins une fois sur deux avec un thermomètre dans le rectum, ce qui augmentait notablement mon excitation. Le résultat affiché par le thermomètre m'apparaissait déjà décevant, un ou deux dixièmes d'augmentation ( je prenais soin de vérifier ma température avant) même après une séance qui m'avait apporté une satisfaction intense.
Je suis resté vierge jusqu'à 21 ans, situation un peu paradoxale dans le contexte de libération sexuelle de mes années de jeunesse (70) due à la timidité extrême et mon manque de confiance en moi. Je rêvais du jour où j'aurais une copine à qui je pourrais prendre la température.
Ma première copine n'a jamais voulu entendre parler de temperature rectale. Le jour où j'ai amené un thermomètre rectal pour ''pimenter'' nos ébats a failli provoquer une rupture et Christine n'a jamais voulu ni me laisser lui prendre la température, ni me la prendre . Cette relation a duré plus de trois ans et était assez particulière puisque, après un été merveilleux à Paris, Christine est parti étudier à l'étranger et nos périodes de vie commune n'ont jamais excédé quinze jours.
Pendant toute cette période, je continuais à me masturber en pensant à Christine avec qui je croyais vivre un grand amour . Ce qui choquait alors ma copine n'était pas tant le fait que je me masturbe, mais que je le fasse avec un thermomètre dans mon cul. J'aurais rêvé à cette époque pouvoir monitorer les températures respectives de ma bien-aimée et de moi-même pendant nos actes sexuels, mais cela était bien sûr impossible.
Ma deuxième copine fut tout a fait à l'opposé et Maria avait une relation à la température rectale proche de la mienne,sinon ''pire''.
Dès notre ''première fois'', Maria m'a imposé une véritable visite médicale, avec auscultation et prise de temperature rectale, avant d'accepter ne serait-ce que d'ôter ses habits devant moi. Ensuite, chaque fois que nous faisions l'amour, Maria, passablement medfet, vérifiait ma température et acceptait la réciproque de ma part. J'ai alors pu constater que nos températures ne variaient pas tellement avec l'acte sexuel, tant pour Maria que pour moi.
Par la suite, j'ai connu quelques femmes, dont l'attitude vis-à-vis de la température rectale a varié du rejet brutal comme Christine, au manque d'intérêt affirmé ( peut-être pire, '' et ça t'excite vraiment, un thermomètre dans ton cul'') à une adhésion totale à mon intérêt pour la chose. Là encore, les quelques mesures que j'ai pu faire, sur moi et mes partenaires ont confirmé une faible augmentation de la température lors des rapports sexuels
Aujourd'hui, j'ai la chance de vivre avec une femme qui partage ma passion et les thermomètres jouent un grand rôle dans notre vie sexuelle. Nos températures confirment toujours cette faible augmentation ( un à deux dixièmes) de la température après nos ébats. Ma copine tient le journal de nos prises de température sur son smartphone.
D'autres zitynautes auraient-ils fait le même genre d'observations ?