Voici une histoire imaginée d'un examen annuel…
Convocation :
Mr,
Veuillez vous présenter le 23 juin à 8h30 au 3 rue ..., guichet no. 5 avec la présente convocation.
Un flacon pour l'analyse d'urine vous sera remis. Nous vous prierons de le remplir et de le ramener au guichet no. 12. Merci de boire au moins un litre d'eau et de ne pas uriner avant de venir.
L'emploi du temps indicatif de la journée est le suivant :
MATIN
- Accueil
- Analyse d'urine
- Prise de sang
- Entretien
- Tests d'effort
- Déjeuner (pris en charge au restaurant universitaire)
APRES-MIDI
- Visite généraliste
- Radiologie
Fin de la visite vers 19h
J'étais horrifié par la longueur de la visite.
Le matin du 23 juin, je me levai à 6h30 et eut du mal à déjeuner. Je passai beaucoup de temps à me laver. Je bus beaucoup d'eau en priant pour que la vessie ne me fasse pas mal dans le métro.
Puis, je fis le trajet en métro, de près d'une heure, dans un wagon bondé. Au fur et à mesure que j'approchais de la station, mon coeur battait plus fort et le stress montait. Ma vessie pleine me faisait mal.
Enfin, je descendis du métro et trouvai la rue. Le bâtiment en question était un vieux bâtiment du siècle dernier, délabré. Il était attenant à l'université et je croisai sur le trottoir beaucoup d'étudiants et d'étudiantes. Comme on était fin juin, beaucoup de ces jeunes filles étaient jambes nues. Avec la mode du croptop, beaucoup montraient leur ventre. Mais le stress de la visite médicale m'empêchait de profiter de ces visions excitantes.
Je me présentai au guichet no. 5 où on m'accueillit froidement et on me remis le flacon. Je cherchai des toilettes et n'en trouvant pas je m'adressai à une dame de ménage qui m'indiqua d'un air énervé d'aller au couloir no. 4. Je marchai assez longtemps dans un labyrinthe avant de trouver, dans un couloir désert, des toilettes plutôt vieilles et peu entretenues. Mais j'avais une envie tellement urgente d'uriner que n'importe quoi m'irait. Il y avait là des urinoirs et deux toilettes dont les portes étaient fermées et scotchées avec un écriteau : "En réparation". Un homme était debout devant l'un des deux urinoirs, son pantalon baissé sur les chevilles, la chemise remontée jusqu'à l'estomac, le flacon dans la main gauche et la verge dans la droite. L'homme avait une allure un peu curieuse, dans la cinquantaine, chauve et assez costaud, jeans et veste en cuir. Alors que j'arrivai il se tourna un peu vers moi, me montrant son ventre un peu rond et son sexe poilu et assez gros. L'urine en coulait alors et remplissait le flacon. Une fois plein, il le ferma et le posa à ses pieds et continua d'uriner dans la cuvette, sans main faisant de petits aller-retour sur sa verge.
Ne sachant que faire, je défis à peine mon pantalon et sortis mon sexe mais ma vessie était si pleine que mes muscles ne se relâchaient pas. La présence du bonhomme à côté n'arrangeait rien à part qu'au bout de quelques secondes, cela m'excita et mon sexe se mit à enfler légèrement. L'autre qui me lorgnait du coin de l'oeil me fit un signe du pouce et accéléra ses va-et-vient sur son sexe qui se mit en érection et qui était impressionnant. Soudain, il se mit à bouger le bassin et à respirer plus fort et éjacula en gros jets épais dans la cuvette. C'était la première fois que je voyais de mes yeux du sperme sortir d'un gland turgescent.
- Ca fait du bien, dit-il. Vu la journée qui nous attend...
Il remonta son slip, rabattit sa chemise et remonta son pantalon qu'il ajusta. Puis, il alla se laver les mains et sortit avec son flacon.
Après quelques minutes je parvins à uriner. Je retournai comme demandé au guichet pour donner mon flacon et on m'indiqua une salle d'attente. Le type qui avait éjaculé aux toilettes était occupé à lire.
Une infirmière vint le chercher. Il revint quelques minutes plus tard. On m'appela alors et on me fit une prise de sang. Quand je revins dans la salle d'attente, l'autre type n'y était plus. Peu après, on m'appela pour le premier entretien.
Dans la salle, il y avait deux jeunes femmes. L'une devait avoir la trentaine et portait une blouse blanche et l'autre était certainement étudiante et d'allure très adolescente. Peut-être même une stagiaire. Elle portait de grandes lunettes et des cheveux longs, un débardeur qui laissait ses bras longs et fins nus jusqu'aux épaules et une jupe laissant voir ses mollets. Elle avait l'air très timide et me regardait avec intensité. On m'invita à m'asseoir au bureau et la plus âgée me posa des questions sur ma vie, ma profession, étais-je marié, avais-je des enfants, opérations, etc. La petite stagiaire notait des choses. Enfin, on me demanda d'ouvrir ma chemise et d'aller m'allonger sur la table d'examen. Les deux femmes se levèrent.
Je m'allongeai donc, la chemise ouverte sur la table. La plus âgée ajusta son stéthoscope et m'ausculta rapidement puis invita la stagiaire à répéter le geste avec son stéthoscope. Puis, la première palpa rapidement mon ventre, et, après m'avoir demandé de défaire le bouton de mon pantalon, voulut constater les cicatrices de mon appendicite et de ma hernie inguinale, toutes deux dans mon adolescence, dont il y a près de trente ans.
A ce stade, ma vessie s'était de nouveau remplie et recommençait à me faire mal. De plus, j'étais encore un peu chamboulé et excité d'avoir vu ce type se masturber et éjaculer près de moi il y avait tout juste une demi-heure. Les bras fins de cette stagiaire qui palpèrent mon ventre et ceux, plus matures, de la doctoresse qui traînèrent sur mon bas-ventre à chercher les cicatrices, commencèrent à m'exciter de nouveau. Heureusement, cela cessa rapidement. On me prit la tension, on me pesa et me mesura et on me renvoya en salle d'attente où j'attendis longtemps.
De nouveau, on m'appela et on me dirigea dans un couloir et une salle pour le test d'effort. Il y avait dans la salle un monsieur assez âgé en blouse blanche et une jeune femme, certainement une étudiante. Le monsieur ne parlait pas et ne me salua même pas, il était occupé à consulter des papiers. La jeune femme me demanda de me mettre en slip. Je m'exécutai. On me fixa des électrodes sur la poitrine et on me fit monter sur un vélo. Je dus pédaler un quart-d'heure tandis que la jeune femme modulait parfois la résistance du vélo. Cela me fatigua et me fit du bien. A la fin, elle sourit et me dit que tout allait bien. C'était la première personne sympathique que je rencontrai de la journée. Le monsieur, certainement un professeur, n'avait pas dit trois mots et ne m'avait pas regardé du tout.
On me renvoya au guichet et on m'y signala qu'il y avait possibilité de passer à la radio des poumons tout de suite. J'y allais donc et une jeune homme me fit passer la radio, torse nu.
Il était onze heures et j'avais du temps à perdre avant le déjeuner. En sortant sur le perron du bâtiment, j'y trouvai le type des toilettes qui fumait une cigarette. Il m'en proposa une et me dit :
- Excusez-moi pour tout à l'heure mais j'avais une envie terrible.
- Oh, c'est pas grave.
- D'habitude, je fais cela avant de partir de chez moi mais ce matin je n'avais plus le temps...
Puis, après avoir fumé quelques bouffées :
- Vous la trouvez comment la petite stagiaire ? Moi, je lui rentrerai bien mon engin dans le derrière.
J'acquiesçai. Ce n'est pas ma nature de parler comme ça mais je pensais la même chose que lui et ce bonhomme, bien qu'un peu rustre et cochon, me paraissait finalement gentil. Repensant alors à la fois à l'épisode des toilettes et aux bras fins de la petite stagiaire trottant sur mon ventre, je sentis mon sexe pousser dans mon pantalon. Et il rajouta :
- Je suis sûr qu'elle le fait avec son petit-ami.
Puis il reçut un message sur son portable et me fit un signe et s'éloigna.
J'allais déjeuner à l'endroit indiqué sur la convocation, dans une grande salle bruyante entourée d'étudiants. Je trouvai un coin solitaire et m'aperçus que la petite stagiaire déjeunait aussi avec la toubib qui m'avait examiné et une autre dame plus âgée. Nos regards se croisèrent et elle baissa la tête d'un air gêné et timide, ce qui la rendait encore plus excitante...
Après le déjeuner, je cherchai des toilettes. J'en trouvai des propres et où je pus m'enfermer. Je sortis et marchai un moment dans les couloirs où je ressassai les évènements et me demandai ce que la visite généraliste allait être. Je redoutais une excitation causée par une stagiaire... Mon sexe durcit dans mon pantalon et je me demandais si je ne devrais pas me masturber. Mais l'heure avançait et je devais me présenter au guichet.
La visite avait lieu dans une aile reculée du bâtiment. Il y faisait presque froid. J'attendis près d'une heure dans la salle d'attente où il y avait plusieurs personnes, hommes et femmes, dont le type des toilettes. Plusieurs portes donnaient sur plusieurs salles et parfois une s'ouvrait. Un docteur ou une doctoresse appelait alors quelqu'un. A un moment, ce fut mon tour. La doctoresse en question était celle que j'avais vue à table. Elle devait avoir la cinquantaine, les cheveux assez longs et épais et noirs, des lunettes et un visage très beau. Soudain, je sursautai : assise au bureau se tenait... la petite stagiaire. La doctoresse ma la présenta : elle s'appelait Coralie.
Elle me reposa les mêmes questions que ce matin mais là où ce matin j'avais dû ouvrir ma chemise, je dus cette fois-ci me mettre en slip. La visite allait être visiblement plus approfondie. Une fois allongé, on me prit la tension, on m'ausculta la poitrine et le dos, on m'observa les oreilles, le nez et la gorges, puis les yeux, puis on souleva mes jambes, testa mes réflexes et enfin on commença à me palper le ventre. La doctoresse, dont les bras étaient ronds et un peu bronzés, appuyait très fermement. Une fois palpés l'estomac, le foie, les reins et le colon, elle sembla s'intéresser à la vessie parce qu'elle appuyait rudement juste au-dessus du pubis. Puis, sans prévenir, elle baissa mon slip jusqu'à mi-cuisse et tout cela devant Coralie. Une main remonta ma verge sur mon ventre et l'autre palpa mes testicules, les tâtant, les tirant un peu, regardant dessus et dessous. Puis on palpa mes plis inguinaux, et tout cela fit que mon sexe durcit.
- Vous urinez sans problème ? Je veux dire, vous urinez souvent par petites quantités ?
- Euh... oui, enfin...
Je ne savais pas trop quoi répondre car il est vrai que je me lève souvent la nuit.
- Quand vous avez l'impression d'avoir fini, est-ce que vous avez parfois besoin d'y retourner ?
Je répondis oui.
Elle regarda Coralie et dit à mi-voix :
- On va faire un TR.
Puis, s'adressant à moi :
- Enlevez votre slip complètement, s'il vous plaît. Puis, ramenez bien vos jambes pliées et écartées.
Je m'installai comme on le ferait chez un gynécologue sans les étriers, le sexe à l'air, semi-erigé et les fesses accessibles. La toubib enfila des gants en latex et mit du lubrifiant. Puis, elle plongea un doigt entre mes fesses et je le sentis entrer dans mon anus. Elle appuya fortement vers le haut, ce qui me fit à la fois un peu mal et comme une sensation qu'un liquide coulait dans ma verge. De l'autre main, elle appuya sur mon bas-ventre vers le bas, ce qui accentua la pression sur la prostate. Je me relâchai : tant pis si mon sexe se dressai. Je regardai les bras nus, les épaules nues, le petit décolleté et le beau visage de Coralie. Je dis en faisant allusion à mon érection :
- Excusez-moi.
- Pourquoi, je vous fais mal ?
- Non, je veux dire... et je montrai du doigt mon sexe.
- Ne vous inquiétez pas, c'est normal. Et votre prostate est normale. Coralie, passe-moi du sopalin, s'il te plaît et essuie l'anus. Essuie aussi le gland.
Et ce fut Coralie qui, de son air timide et gauche, passa du sopalin sur mon gland rougi. Je ne sais pas comment je fis à ne pas éjaculer à ce moment-là.
Une fois que les deux femmes étaient retournées à leur bureau, je me rhabillai. Puis, la doctoresse m'indiqua d'aller en salle no. 12 pour l'échographie. Quelle échographie, je n'osai demander tant j'étais encore à la fois excité et confus. Aucune échographie n'était prévue. Normalement, la visite aurait dû être terminée.
J'allais à l'endroit indiqué et j'attendis encore vingt minutes. C'était une toute petite salle d'attente, une sorte de cagibi sans fenêtre dans lequel on entrait d'un côté par une porte ouverte donnant sur le couloir et de l'autre, on sortait certainement dans la salle d'examen. La porte était fine et j'entendais à l'intérieur une voix d'homme et une voix de femme. Les voix étaient joyeuses. Dans la voix d'homme je crus reconnaître celle du type des toilettes. Voici le dialogue que j'entendis très sourdement :
Lui - Il faut que j'enlève ça aussi ?
Elle - Oui.
(silence assez long accompagné d'un soupir)
Elle - Ca fait mal, là ?
Lui - non.
(silence)
Elle - Et là ?
(rires des deux)
Lui - Hou la la... Doucement... dou-ou-oucement...
Elle - Là, ça va ?
Lui - Oui.
(rires très forts et soupir)
Elle - Tout va bien, vous pouvez vous rhabiller.
(grincement de quelqu'un de lourd qui descend de la table, bruit de chaises... les voix s'éloignent)
Quelques minutes après, la porte s'ouvrit et je vis sortir mon bonhomme, la veste sur le bras accompagné de la doctoresse qui venait de m'examiner. Il n'y avait pas Coralie.
- Entrez monsieur, me dit-elle.
Dans la salle vieillotte et sans fenêtre, il y avait un bureau, deux chaises et une table d'examen à laquelle était accolée un matériel d'échographie avec ses sondes de formes diverses : rondes pour le ventre, longues et filiformes pour les conduits anaux ou vaginaux.
- Allez, vous vous déshabillez ?
- J'enlève quoi ?
- Le bas, s'il vous plaît.
Elle avait dit cela d'une voix plus douce que plus tôt dans l'après-midi.
Une fois les jambes nues, alors que j'allais m'allonger, elle me dit :
- Le slip aussi, s'il vous plaît. On va regarder le ventre et les organes génitaux. Allongez-vous sur le dos.
Je m'allongeai comme elle m'avait dit et elle vint s'asseoir. Je réalisai alors qu'elle avait changé quelque chose entre tout à l'heure et maintenant : ses jambes, sous sa blouse blanche, étaient nues alors que plus tôt, elle portait un pantalon... Laissant traîner mon regard un peu à droite de la table, je vis très nettement, dans la poubelle, un préservatif usagé plein de sperme. Il avait tout à fait l'allure du préservatif que l'on vient de jeter... Elle s'assit près de moi, juste à ma gauche, releva ma chemise haut sur mon ventre et y étala le gel froid. Puis, sans mot dire, elle passa la sonde, appuyant ici et là, sous les côtes, plus bas, plus à droite ou plus à gauche. Cela dura un bon moment puis la sonde descendit sur la vessie. Elle tenait la sonde de sa main gauche et son avant-bras nu effleurait parfois mon pénis qui, de nouveau, commença de se dresser.
N'y faisant aucun cas, elle rangea la sonde, m'essuya le ventre et en prit une filiforme, ce qui fit battre mon coeur. Elle semblait avoir chaud et déboutonna un bouton de sa blouse, ce qui laissait voir la jointure de ses seins. Elle devait avoir des seins lourds et chauds.
- Comme tout à l'heure, vous pliez les jambes et vous écartez bien.
Elle posa du gel sur mon anus et je sentis qu'elle introduisait la sonde. De nouveau elle appuya sur mon ventre. Je gardai une semi-érection.
- Calmez-vous, me dit-elle, ayant certainement remarqué ma respiration accélérée et mon coeur qui battait fort.
Cela dura peu de temps. Elle retira la sonde, nettoya mon anus et, d'une pression de sa main sur ma cuisse, me fit rallonger les jambes.
- Dernière petite torture, dit-elle d'une voix toute calme. Ce qui est bien, c'est que je n'ai pas besoin de relever votre pénis. Il tient tout seul !
Et elle rit, et je ris aussi. Cela me détendit mais cela m'excita aussi et mon sexe acheva de se durcir.
Elle m'étala du gel sur les testicules et commença d'y promener une sonde. Les va-et-vient sur la peau des testicules faisaient que cela tirait la peau de mon pénis et le décalottait progressivement, comme cela se ferait par une douce masturbation. De nouveau, je respirais fort. Je sentis la main de la doctoresse se poser sur mon ventre.
- Ca va ? Je ne vous fait pas mal ?
- Non... non...
- Ca va aller... Laissez-vous aller...
Que faisait-elle avec cette main sur mon ventre. Elle massait légèrement et cela m'excitait encore plus. Puis, s'interrompant, elle se pencha vers un tiroir en bas de l'appareillage et en sortit un petit sachet que je reconnus être un préservatif plié. Et elle me le déroula sur le sexe et se remit à échographier mes boules en insistant un peu plus, continuant ces va-et-vient tirant la peau de ma verge en arrière.
- Ca fait mal, là ?
- Non.
- Et là ?
Sa main sur mon ventre venait d'enserrer la base de mon sexe. En souriant, elle s'était penché en avant de telle sorte que ses seins lourds et chauds pesaient sur mon bras gauche. Elle murmura à mon oreille :
- Vous pouvez toucher... ça rendra l'examen moins désagréable…
Son souffle chaud sentait un peu le café et à ce degré d'excitation où j'étais j'aurais volontiers baisés ces lèvres et enfoui ma langue dans cette bouche. Je déplaçai ma main pour l'enfouir sous sa blouse et malaxer ses seins tandis que sa main à elle commençait de malaxer ma verge.
- Hou la la... fis-je. Doucement... dou-ou-oucement...
- Là, ça va ?
- Oui.
Et ma main ressortit de sa blouse pour aller plus bas, s'introduire entre ses cuisses. Elle les écarta légèrement et je senti l'élastique de son slip que j'écartais pour trouver entre mes doigts les poils de son sexe.
- Je ne vous fait pas mal ? dit-elle.
- Non... Oh... oui... oui... Oh !
Et, alors que sa main serrait mon sexe très fort, je me vidai en saccade dans le préservatif qui se remplit si bien qu'il céda. Mon sperme épais et chaud coula sur le bas de mon ventre, y formant un large flaque blanche se mêlant dans les poils que j'ai là. Un filait visqueux la reliait à mon prépuce. J'ai un gros sexe et la capote était peut-être défaillante. La doctoresse rit et moi aussi. Elle alla chercher un rouleau de sopalin et nettoya tout : mes boules, mon sexe, mon ventre...
- Voilà, c'est fini. Tout va bien, vous pouvez vous rhabiller.
Elle rajusta sa blouse tandis que je me rhabillais, un peu en tremblant tant le plaisir avait été grand.
- Voici votre dossier. Nous nous revoyons dans un an.
Je promis que je n'y manquerai pas.