Me relisant, je constate que je n'ai pas répondu à mes questions. Je repare donc cette erreur.
1. En fait, cela m'est arrivé assez souvent, en particulier avec Maria, cette copine de la fin de mes vingts ans, dont j'ai déjà longuement parlée, medfet assumée ,qui avait décidé qu'elle m'imposerait une visite médicale ''gratinée'' à chaque fois que nous allions faire l'amour. Celle-ci se terminait invariablement par une prise de température rectale sur ses genoux. Q A un certain nombre de reprises, alors que Maria jouait nonchalamment avec le thermomètre dans mon rectum, j'ai ressenti tout-à -coup ce sentiment extraordinaire de plénitude, puis d'abattement, alors que je giclai,q en une rafale de jets intempestifs, sur les cuisses de ma copine. A chaque fois, je me suis senti très gêné, mais Maria a toujours pris l'incident à la rigolade, sachant qu'ilne m'empêcherait pas de l'honorer quelques instants plus tard.
Je me souviens aussi d'un jeu, assez pervers imo, que j'ai pratiqué avec plusieurs de mes partenaires de température rectale, qui consistait pour ma copine â introduire un thermomètre, dans mon rectum, avec lequel elle jouait plus ou moins énergiquement et il était décidé qu'elle ne retirerait l'instrument diabolique que lorsque j'aurais ejaculé .
2. La température rectale ayant occupé la place quel'on sait dans ma vie, il est évident que j'ai très souvent voulu vérifier ma température récalé, et celle de ma partenaire, après nos échanges sexués. Là, le résultat à toujours été décevant. Aussi bien pour moi que mes copines, je n'ai jamais mesure d'augmentation notable de la température, ni chez moi, ni chez elle. Pour faire monter la température, faites plutôt un jogging.....