J'ai déjà évoqué sur ce site ma copine Maria, une jeune et brillante étudiante en langues passablement medfet, avec laquelle j'ai eu une relation de plusieurs années dans les années 70 au temps de ma ''jeunesse folle''.
A chaque fois que nous devions faire l'amour, Maria m'imposait au préalable une ''visite médicale'' plus que particulière. Je devais me présenter entièrement nu debout devant Maria, assise, qui gardait, elle, tous ses vêtements. Un peu maigre, elle avait un problème avec son corps alors que je la trouvais superbe. Elle m'auscultait alors, avec un stethoscope qu'elle avait piqué a sa soeur, véritable médecin elle.. J'étais un peu rassuré par le fait qu'elle m'avait avoué qu'elle ne connaissait rien à la cardiologie et n'aurais pu diagnostiquer le moindre symptôme.. De plus, si une de ses mains maniait la pavillon du stethoscope, l'autre ne se gênait pas pour jouer avec mes tétons, déjà durs. J'étais aux anges
Ensuite la jeune femme m'examinait, avec l'intérêt que je vous laisse imaginer, mon pénis et mes testicules. Maria me décalottait et me recalottait plusieurs fois mon pénis. Elle me palpait longuement les testicules.
La visite se terminait systématiquement par une prise de température rectale, sur les genoux de ma copine. Maria connaissait mon fétichisme en ce domaine. Quand elle ne me caressait pas amoureusement les fesses, elle jouait avec le thermomètre, s'amusant à le faire aller et venir dans mon petit cul comme s'il me faisait l'amour.
Ce n'est qu'après cette prise de température que Maria m' autorisait à lui retirer ses vêtements et à lui faire l'amour. C'était invariablement très chaud.