@chevreuil ,
Je crois que nous nous retrouvons ici entre grands amateurs de la température rectale.
Comme beaucoup le savent sur ce site, Déborah, ma copine qui m''a pris amoureusement la température rectale pendant près d'une décennie, m'a plaqué, il y a un peu plus d'un an et je dois en effet me prendre seul la température depuis.
Je procède ainsi Je m'allonge sur mon lit,. entièrement nu , sur le côté, un pied sur le genou opposé. Je m'accorde généreusement dix minutes pour cet exercice et programme l'alarme de mon smartphone en conséquence.
Une main glisse le bon vieux thermomètre en verre à mercure dans mon anus, puis l'enfonce fermement dans mon rectum. Ensuite elle maintientra le thermométre en place pendant la mesure,, effectuant généralement de petits mouvements de va-et-vient dans mon intimité. ‘En même temps, selon mon humeur, mon autre main jouera, ou pas, avec mes petits tétons, généralement bien durs à ce stade. Tout cela m' amène au bord de l'extase. Pendant ce temps, je laisse mon esprit battre la campagne et je me souviens avec émotion de mes maitresses qui ont partagé mon goût pour la température rectale, depuis Maria, ma copine medfet des années 70..
Il est rare que ce ''traitement'' ne provoque pas une érection.
Pour en revenir à la question posée au départ de ce sujet, quand je le suis trouvé avec des partenaires qui partageaient mon intérêt pour la température rectale, nous nous sommes généralement pris la température sur les genoux l'un de l'autre. C'est ce qui s'est passé en particulier avec Déborah, évoquée plus haut. Elle a emménagé chez moi au début de la pandémie du COVID. et nous avons décidé, un peu en prétextant le risque d'infection, mais surtout par goût pour la température rectale, de vérifier nos températures respectives chaque matin sur les genoux l'un de l'autre, 5 minutes avec un thermomètre en verre au mercure.