Je pense à un autre rêve, que je n'ai fait qu'une fois, quelques jours après avoir perdu ma virginité, à 21 ans.Je crois que l'on peut le qualifier de cauchemar.
Le contexte explique sans doute ce rêve. Ma mère avait tendance à me couver et jusqu'à mes 12,13 ans, elle me prenait la température( rectale) à chaque fois qu'elle estimait que j'avais l'air malade ou fatigué.
Pendant mon adolescence, j'étais un garçon excessivement timide avec les filles, et jusqu'à l'age de 21 ans, je suis resté puceau et je passais mon temps à me masturber, souvent avec un thermomètre dans le rectum, en pensant à toutes ces filles que je n'osais même pas aborder..
Je finis quand même par me trouver une copine, appelons la Christine. En fait, c'est plutôt elle qui me trouva. Elle avait largement fait le premier pas et avait eu un certain nombre de ''petits copains''. Une période merveilleuse s'en suivit, qui me permit de découvrir un tas de choses sur la sexualité. C'est à ce moment là qu'est intervenu ce rêve, qui m'a marqué
Dans mon rêve, donc, Christine, sur son insistance, était venue voir mes parents. Et là, devant une tasse de thé, elle déclara: ‘'j’adore votre fils, il est si mignon''. La bouche en coeur, elle ajouta: ‘’ Et puis il me baise comme un dieu,… il a une belle bite, et j'en ai vu quelques unes''. Un silence gêné s'en suivit.
Quelques minutes plus tard, alors que nous étions tous les deux dans ma chambre, j' engueulais vertement Christine :"tu es folle, mes parents ont été très choqués''. ''Mais non, je suis sûre de qu'ils sont contents de savoir que tu assures au lit'' répondit-elle. Et elle m'entraîna sur mon lit de petit garçon sur lequel elle voulait absolument faire l'amour.
Quelques minutes plus tard, j'avais oublié ma fàchrerie. Pour se faire pardonner, Christine s'était mise sur le ventre et je la pillonnais vigoureusement. Le contact de ses petites fesses si douces, si chaudes, avec mon bas-ventre était extraordinaire. Mon pénis allait et venait en cadence dans le merveilleux écrin si étroit de son vagin. Christine gémissait doucement et m'encourageait de ses mots crus. J'étais au paradis.
Soudain, je sentis une présence derrière moi. Paniqué, j'interompis les mouvements de mon pénis. Christine s'en alarma immédiatement. ‘’ Qu'est ce qui t'arrive chéri, je ne sens plus ta bite'' A ce moment, je réalisai que l'on m'ecartait les fesses et que l'on me glissait quelque chose dans l’anus, un thermomètre…
J'étais littéralement affolé par la situation. Je sentais le thermomètre pénétrer par poussées successives au plus profond de mon rectum. Mon pénis s'était maintenant complètement retiré et Christine était partie dans un fou rire à la limite de l'hystérie.
J'entendis alors la voix de ma mère : ‘’ Excuse moi…. Tu étais si mignon avec tes petites fesses qui frétillaient… je t'ai pas pu résister…tu sais combien j'aimais te prendre la température''.
Effondré sur le corps de ma copine, maintenant figée dans son silence, alors que ma mère maintenait son thermomètre bien enfoncé dans mon rectum, je protestai vigoureusement : "Maman, comment as-tu pu faire une chose pareille ? ‘’ et j'éclatai en sanglots.
Tout ce que ma mère trouva à répondre fut: ‘’ ne pleure pas, tu vas faire monter ta température''…..
Quelques secondes s'écoulèrent encore pendant lesquelles, le thermomètre toujours bien planté dans mon cul, je pleurais toutes les larmes de mon corps. j'en voulais terriblement à ma mère pour cette humiliation sans borne et j'étais persuadé que j'avais perdu Christine . Juste au moment de me réveiller, je me dis qu'elle aurait une chouette histoire à raconter à ses copines.
Je me suis réveillé en nage dans ma chambre mde petit garçon. Mon coeur battait la chamade et j'avais une belle érection. J'ai mis un moment à reprendre mes esprits.
Je n'ai bien sûr jamais osé évoquer ce rêve devant les deux principales intéressées. Des années plus tard, je l'ai raconté sans vergogne à d'autres copines, qui partageaient mon addiction pour la température rectale. Je me souviens en particulier de l'une d'elles à qui j'ai fait ce récit justement au moment où elle me prenait pour la première fois avec une infinie tendresse la température sur ses genoux. Elle a bien ri.