Après réflexion, je vais développer ci-dessous les réponses que j'ai par ailleurs données en anglais sur le site anglophone de Zity.
Toute ma vie, j'ai eu un goût affirmé pour la température rectale.
Ma mère m'a pris la température rectale jusqu'à 12 ou 13 ans. Elle était toujours d'une gentillesse, d'une tendresse absolue et j'appréciais ces moments de complicité avec elle. J'aimais quand elle me caressait les fesses en toute innocence. Par ailleurs, grandissant,la pénétration du thermomètre me procurait une satisfaction croussante Je ne me suis jamais senti embarrassé que ma mère me prenne le température.
Adulte, j'ai eu la chance de vivre avec des compagnes qui partageaient généralement mon goût pour la température rectale, a l'exception notable de la première d'entre elles. Christine qui m'avait dépucelé en beauté à 21 ans, était totalement rétive à la température rectale et a toujours refusé de me prendre la température rectale ou de me laisser prendre la sienne. Ma seconde compagne, Maria, qui a partagé la vie entre 25 et 29 ans fut en un sens une révélation( comme je l'ai écrit dans un texte disponible à la librairie du site). Maria était en effet tout à fait medfet et avait fixé la règle qu'elle ne ferait l'amour avec moi qu'après m'avoir soumis à une visite médicale qui se terminait invariablement par une prise de température rectale sur ses genoux.
Plus récemment, pendant dix ans, j'ai partagé la vie d'une femme qui avait le même goût que moi pour la température rectale. Elle s'était installé chez moi au moment du confinement et la pandémie nous donna une excuse pour nous prendre chaque matin mutuellement la température.
Malheureusement, Déborah m'a quitté il y a un an et demi et, à 70 ans, je me sens aujourd'hui un peu seul et dois me prendre ma température par moi-même. Mais ceci est une autre histoire.
J'ai également eu, il y a une trentaine d'années une expérience assez particulière avec une femme exceptionnelle, d'une grande beauté et d'une classe folle, qu'elle fût nue ou en robe du soir. Eve partageait mon adiction pour la température rectale et nous avons passé des jours et des nuits à nous prendre la température rectale dans les positions les plus invraisemblables, mais elle a refusé énergiquement toute relation sexuelle. Eve jugeait que la communion a laquelle nous parvenions en nous prenant la température était tellement extraordinaire que nous gàcherions tout en baisant ''bétement'' comme de ‘’minables ploucs''.Si nous avons passé de longues heures nus ensemble, Eve n'a jamais touché mon pénis ou mes testicules et s'est contenté de rire de mes érections quasi constantes et je n'ai jamais touché son vagin. Une expérience indéniablement frustrante qui alimente encore mes fantasmes.
En fait, j'ai connu une seule expérience de prise de température embarassante. Ce fut lors de la visite médicale de Terminale à 18 ans en 1970 dans un lycée de la région parisienne., La doctoresse, médecin scolaire d'une trentaine d'années, grande blonde aux yeux bleus, avec un chignon compliqué avait une classe folle et se montrait souriante et sympathique avec ses jeunes patients. Je suis tombé littéralement amoureux d'elle alors qu'elle me palpait les testicules et decallotait mon pénis avec un sourire désarmant. Après l'examen génital, alors que j'étais debout face à elle assise, la doctoresse m'ordonna de me retourner. Et là, je réalisai rapidement que la jeune femme, m'écartait avec fermeté les fesses et me glissait un thermomètre dans le rectum. Elle me dit alors de sa voix suave:" Détends-toi, je te prends juste la température,.. c'est tout de suite fini.". Elle garda ses mains posées sur mes fesses en une caresse à peine ambigüe.
Dans un premier temps, je paniquai. Je me sentais humilié de me retrouver à 18 ans, avec un thermomètre planté dans mon cul comme un bébé. Je ressentai une irrésistible envie de pleurer et je ravalai un sanglot. Mais rapidement, la sensation du thermomètre enfoncé, et bien, au fond de mon rectum, et la pression des mains si douces de la jeune femme sur mes fesses provoquèrent chez moi une curieuse sensation de bien-être et je sentis que je commençais à avoir une érection. Un mélange d'humiliation et d'excitation. La doctoresse attribua au stress la température relativement élevée (38,2) qu'affichait le thermomètre quand la jeune femme le retira d'un geste souple.
52 ans après, je me souviens toujours avec émotion de cette doctoresse et de la minijupe rouge qu'elle portait ce jour-là