Chaque clinique érotique est forcément imaginée organisée par les désirs, fantasmes, de la personne qui en fait la description.
Pour ma part, deux pièces suffiraient :
La première pièce serait un simple bureau médical d'accueil; bureau derrière lequel se tiendrait le “praticien”. Devant ce bureau, deux chaises; deux chaises pour la raison de jeux où l'un des “patients” est accompagné par l'autre. Quelques exemples de ces jeux ?…examens de la sexualité d'un couple, dans tous les aspects intimes et concrets de celle-ci ! L'un ou l'une est amené(e) par l'autre, qui veut le ou la voir soumis(e) à des examens qu'il ou elle devrait avoir concernant sa sexualité (masturbations excessives, plaisirs qu'il ou elle recherche, et que l'autre trouve pervers, habitudes sexuelles dérangeantes, relations sexuelles insatisfaisantes,etc). Dans cette pièce, seule ou non, la personne qui vient consulter commence par être interrogée, de plus en plus intimement, et finit toujours par avoir à se mettre entièrement nu(e) alors qu'on continue de l'interroger,, avant qu'on lui dise, sans trop tarder, de passer, nu(e) donc, dans la pièce voisine, derrière un rideau qu'on lui montre.
La deuxième pièce est une pièce bien plus grande, dont l'aménagement apparaît immédiatement pour montrer sans équivoque à la personne qui en franchit le seuil quels sorts intimes peuvent lui être réservés… La pièce est divisée en quatre parties séparées par une cloison légère, mais non fermées vers le centre de la pièce. Au-dessus de chacun de ces sortes de box un peu particuliers, en grosses lettres capitales noires une affichette montée sur un support rigide annonce sans ambage la destination du box : EXAMENS PUNITIONS LAVEMENT MASTURBATION/ONANISME
Selon les motifs qui l'auront conduite là, la personne qui entre comprendra tout de suite dans quels box elle risque d'être conduite…
D'emblée, on ne peut que remarquer que la tête de la table d'examen du box “examens” est placée contre un mur, avec,, au-dessus de la cette tête de table, fixées dans le mur six bracelets destinés à tenir une personne examinée (ou en “traitement” ?) mains et chevilles éloignées d'elle pour la placer dans une position nécessaire aux examens intrusifs qu'on désirerait faire sur elle sans qu'elle ne puisse en gêner le déroulement… .On devine sans peine que les deux bracelets les plus hauts permettent de tenir les hanches nettement décollées de la table d'examen par suspension haute des chevilles… Plusieurs grands miroirs orientables et sur pied se trouvent également dans cette salle d'examen au sol carrelé.
Dois-je poursuivre un peu certaines dispositions qu'offre un tel aménagement ?…