J'ai eu l'occasion d'indique que, avec ma copine Déborah, nous nous prenions réciproquement la température chaque matin sur les genoux l'un de l'autre. Nus tous les deux, nous accordions dix minutes au bon vieux thermomètre à mercure pour mesurer nos températures. C'était pour le pauvre vieux retraité que'je suis le meilleur moment de la journée.
Ma copine m'ayant brutalement largué il y a un an et demi, je suis désormais seul pour prendre ma température et je m''adonne à cet exercice irrégulièrement, au moins une fois par semaine quand même.
Selon les circonstances et mon humeur, cette prise de température solitaire me remonte le moral ou accentue ma mélancolie.
Depuis le départ de ma girlfriend, j'ai fini par trouver une ''routine'' relativement satisfaisante pour prendre ma température rectale. Nu, je m'allonge sur le côté, un pied sur le genou opposé. Je règle l'alarme de mon téléphone. J'introduis le thermomètre le plus profondément possible. Je m'accorde dix minutes d'abandon pour l'exercice. Une main maintient le thermomètre en place et ne tarde pas à le laisser aller et venir dans mon rectum pendant que l'autre oue nonchalamment avec mes tétons que l'introduction du thermomètre a suffi à durcir.
Invariablement , mon esprit ‘’bat alors la campagne'' et je repense à toutes les femmes avec lesquels j'ai partagé mon adiction pour la température rectale. Et là, la nostalgie m'envahit, et selon mon humeur. Ou bien, l'émotion est trop forte pour le vieil homme que je suis .Je sens des larmes couler de mes yeux et je pleure comme l'ado romantique et puceau qui se prenait deja la température rectale il y a plus de cinquante ans . Ou bien se sont les souvenirs sensuels qui sont trop intenses et mon pénis en érection réclame une Intervention urgente.
L'alarme de mon téléphone me ramène à la triste réalité. Je vérifie l'affichage du thermomètre et la moindre variation de la température affole l'hypocondriaque que je suis.
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