J'aurais beaucoup à dire ou à raconter sur ce genre de "meubles". Il faudrait dire plutôt, d'installations, d'ailleurs.
L'idéal reste à mon avis, je le dit à nouveau, les pièces conçues et fabriquées soi-même, satisfaisant de ce fait toutes les fantaisies de ses fantasmes.
Le métal est difficile à mettre en oeuvre, même si je comprends l'intérêt érotique qu'il peut avoir pour certaines personnes à cause de son aspect, médical, chirurgical peut-être, et de l'impression impitoyable que donne la rigidité d'une structure en métal dans laquelle on se voit, ou on voit, inséré(e), en quelque sorte. Le bois, on se dit peut-être que ça peut toujours casser !
Pourtant le bois offre plein d'avantage. Tout le monde ne peut pas installer à demeure un donjon à son idée; et puis, c'est risquer qu'il soit découvert par hasard, ou innocemment, même caché, même fermé à clé; quand on n'oublie pas de le fermer à clé justement, sous les coup des émotions vécues…et puis, un feu, les pompiers….
Une installation en bois est démontable-remontable facilement avec un peu d'astuces, les éléments démontés, regroupés ou non ensemble, restent discrets et rendent pratiquement insoupçonnable leur destination coquine.
Autre avantage du bois, sa modabilité. On peut le peindre à son choix; le noir, le rouge, seuls ou non sur la même installation restant souvent très évocateurs du genre de "supplices" à dessein sexuels que l'instrument permet de subir ou d'infliger, en accord et partagés entre tous les participants du jeu, car je parle bien, là, de jeux érotiques, non d'actes déviants criminels.
On peut laisser le bois brut, au goût de la crudité des choses qu'il va permettre que l'on fasse; au contraire, on peut choisir un bois lisse, net, bien propre, ne laissant pas supposer qu'un tel aspect raffiné va permettre des indécences que la morale bienpensante bourgeoise réprouverait si elle savait, devinait à quoi sont utiles ces morceaux de bois, là, dans un coin, tandis qu'on prend l'apéritif. Amusant.
On peut aussi s'amuser du plaisir équivoque d'une installation faussement très vieille, usée, abimée, comme en partie cassée, support de l'imagination pour des choses troubles auxquelles aurait pu servir un tel instrument dans un passé plus ou moins lointain, pour faire avouer des comportements que la morale de l'époque réprouvait vertement, en punir leurs auteurs, je laisse à chacun imaginer quoi, le dire ici, dans des commentaires, pour ceux qui souhaiteraient confier leurs attirances et leurs idées.
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Bon, si je ne lasse pas, je pourrai continuer, le sujet est riche, entre conceptions de l'instrument, situations lors de ses usages variés, motifs pour lesquels il peut servir, ou doit servir, selon les circonstances qui président à devoir y placer un homme ou une femme, habillé(e), en partie dévêtu(e), ou ayant dû se mettre entièrement nu(e) quand on lui apprend qu'il va être disposé(e) sur l'instrument devant lequel on l'a amené(e).
En partie dévêtue signifie, pour préciser ce qui ne viendra pas forcément à l'idée de tous, que la personne qui va être prise dans l'instrument, peut se trouver à avoir à se déshabiller en partie, selon les ordres qu'on lui donnera, avant qu'on l'installe. Exemples :
- Bien : tu gardes ta jupe et tu retires ta culotte !
ou
- Tu baisses ton pantalon et ton slip aux genoux !
ou que cette personne est installée habillée, comme elle est, pour être, une fois placée et contrainte, en partie déshabillée selon les endroits d'elle qu'on voudra qu'elle montre, ou auxquels on voudra avoir un libre accès - fût-ce au prix de la plus extrême indécence pour elle !- pour les désirs précis qu'on a.
J'ai bien quelques idées à ce propos.
Etonnant, non ?