J'ai déjà évoqué sur ce fil Maria, une étudiante en langues, très medfet et passablement givrée, qui a été ma copine entre mes 24 et 27 ans dans les années 1970. Grande, blonde aux yeux bleus, avec des jambes superbes et un cul à damner un saint, Maria était une de ces filles qui conservaient une classe folle, qu'elles fussent en robe du soir, en jean et T-shirt ou lassivement étendue nue sur le ventre avec un thermomètre dans le cul. Je ne sais comment Maria m'avait choisi comme copain, et même petit copain , et face à elle, je me sentais comme le ver de terre amoureux d'une étoile d'Edmond Rostand.
A chaque fois que nous devions faire l'amour, Maria m'mposait une visite médicale, moi entièrement nu, elle gardant ses habits. Maria passait de longues minutes a m'ausculter avec un stéthoscope qu'elle avait piqué à sa grande soeur qui, elle, était vraiment medecin. Peut-être pour me rassurer, Maria m'avait affirmé qu'elle n'y connaisait rien en cardiologie et n'aurait pas été en mesure de diagnostiquer quoi que se soit en m'auscustant. Souvent, quand elle était d'humeur badine, Maria m'a passé les écouteurs de son stéthoscope pour écouter mon propre coeur. Aucun médecin ne m'avait proposé cette expérience et j'ai découvert le bruit fascinnant de mon petit cœur. En plusieurs occasions, Maria a ouvert plusieurs boutons de son corsage pour me permettre d'écouter son coeur à elle. J'ai adoré cette expérience que j'ai trouvé follement érotique.
Après l'auscultation, Maria consacrait un temps important à l'examen de mon pénis et mes testicules. J'étais debout face à elle, assise sur un tabouret. Maria s'efforçait de décalotter, puis recalotter plusieurs fois mon pénis. Puis elle palpait longuemant le corps de ma verge. Elle passait ensuite à mes testicules qu'elle faisait rouler entre ses doigts avec vigueur et fermeté, mais aussi avec une infinie douceur. Tout en menant son examen, Maria me gratifiait de ses sourires désarmants et de ses encouragements verbaux. Rien que cet examen était une expérience d'une rare sensualité.
Cette parodie d'examen médical se terminait invariablement par la prise de ma température rectale sur les genoux de Maria, qui continuait de garder ses vêtements. Je me plaçais sur les cuisses de ma copine dans un mélange de fou-rire et d'exitation. Une fois en place, Maria m'écartait fermement les fesses et matait un instant mon intimité. La tension érotique était alors intense. Je sentais rapidement le thermomètre se glisser entre mes fesses, trouver l'anus, forcer le sphincter et s'enfoncer avec une lenteur calculée auplus profond de mon rectum. Je fermais les yeux pour mieux profiter de cet instant. la prise de température elle-même durait plusieurs minutes, je n'ai jamais su combien, pendant lesquelles Maria ne se privait pas de jouer avec le thermomètre, lui imposant de petits mouvements de va-et-vient dans mon rectum . J'étais aux anges, et plus. La sensation de la pénétration répétée du thermomètre dans mon rectum ajoutée à la pression de mon pénis, généralement bien dur, contre la cuisse de Maria, en jean ou en jupe, était extraordinaire et me projetait dans une sorte de plénitude. J'en oubliais que nous allions faire l'amour juste après et je savourais l'instant, souhaitant le prolonger le plus possible. J'avoue qu' Il m'est arrivé aussi plusieurs fois de jouir pendant la prise de température, Maria se moquait alors gentiment de moi.
Après cette prise de température, nous faisions bien sûr l'amour et c'était fantastique.
Maria partageait avec moi une conception réciproque de la prise de temperature, elle aimait autant me prendre la température que me laisser lui prendre la sienne, et au cours de notre relation, je pense que j'ai du lui prendre sa température aussi souvent qu'elle m'a pris la mienne. C'était en général après l'amour, quand elle estimait que je l'avais bien baisée, qu'elle me demandait en termes crus de lui ''mettre un thermomètre dans le cul'' .