Fantasme de visite, en restant soft ..
Je suis depuis trois mois dans ma nouvelle boite et j’ai fais faux bond à la visite médicale d’embauche, la RH me dit qu’il leur faut un certificat d’un médecin agréé avant la fin de semaine et il me donne la liste des médecins.
J’en essaie quelque uns, mais rien avant trois semaines.
Ma collègue Claudine passe me voir et devant ma mine dépitée , elle me demande ce qui se passe.
Je lui explique la situation, elle me dit qu’il y a dans sa liste une de ses amies, que si je le veux elle l’appelle et qu’on aura peut être un rendez vous tard après ses consultations.
Je la remercie et j’attends son retour.
Comment décrire Claudine, soixante cinq ans, divorcée depuis dix ans, elle va bosser jusqu’à soixante sept ans parce qu’elle n’a pas ses trimestres, qu’elle a la santé et qu’elle a rien d’autre à foutre.
Plutôt mince et sportive, elle a un goût particulier en fringues par rapport à son age, jupe à mi cuisse, presque toujours des bottes, des chemisiers à la limite du transparent, elle a aussi tendance à faire des petites remarques coquines, « si j’ai pas mon dossier avant quatre heure , c’est fessée cul nu » , « les douches des filles étaient toutes prises , j’ai faillie venir chez les mecs » etc..on lui prête des aventures avec des mecs de l’atelier, mais je ne sais pas si c’est vrai.
Toujours est il qu’elle me confirme, sa copine nous recevra vers 19h après sa dernière consultation. Elle me conduira , l’occasion de la revoir.
Je lui propose de passer me chercher chez moi, le temps que je prenne une douche et mette un caleçon propre. Elle me propose de me frotter le dos, je ris gentiment.
Nous arrivons chez sa collègue, nous entrons dans la salle d’attente avec dix minutes d’avance, il y a encore une patiente que sa copine vient chercher rapidement.
« je suis à vous , juste après »
J’aurais du me méfier « à vous ».
Après quelques minutes, Claudine me dit , que je verrais, elle est très consciencieuse, qu’elle ne doute pas que je finirais la visite cul nu et qu’elle a hâte de voir ça.
Je n’ai pas le temps de réagir, qu’elle vient nous chercher.
Nous, nous installons à son bureau, Claudine me présente, puis nous commençons l’interrogatoire, coordonnées , historique médical etc.. Une fois le dossier rempli , elle m’invite à me rendre dans la partie examen de son cabinet séparé de son bureau par une grande arcade.
« on se déshabille, j’arrive de suite ».
Pas de paravent , une chaise et des porte manteau au mur ou je dépose ou accroche mes vêtements, ne gardant que mon boxer.
« on se déshabille, c’est tout nu, jeune homme »
Je m’exécute et je constate un grand sourire sur le visage de Claudine.
Le médecin se lève de son bureau, elle prend la fiche santé et la tend à Claudine.
« tiens tu vas m’aider puisque tu es là, tu vas noter les résultats »
Et voilà les deux qui me rejoignent.
D’abord les classiques, taille, poids, vision , elle me demande si j’ai amené un échantillon d’urine, évidemment je n’en ai pas, elle me tend un pot en verre , prend une lingette qu’elle humidifie avec un produit, elle tend la lingette à Claudine, elle ouvre une porte au fond qui donne sur un coin WC avec un toilette et un urinoir.
« Claudine, avant de remplir le pot, tu décalotte , tu passe la lingette et tu re-calotte après la miction »
Devant l’urinoir, j’attends avec mon pot, elle suit les consignes et tient ma verge pendant que je fais pipi, elle me glisse à l’oreille qu’elle pensait pas passer une aussi bonne soirée.
Nous retournons dans la salle, comme j’ai parlé de problème de dos , elle inspecte ma colonne en descendant ses pouces le long des vertèbres, ne s’arrêtant qu’au bas du coccyx. Demi tour, elle s’assied sur un tabouret inspecte les plis de l’aine , palpe les testicules, la verge, décalotte, inspecte le gland.
Je me surprend à rester calme, malgré ça , Claudine est aux anges.
Étape suivante, assis sur la table d’examen, elle écoute le cœur, les poumons, teste les réflexes, elle me demande de m’allonger sur le dos et d’écarter les jambes, elle teste alors le réflexe crémastérien, de chaque coté faisant faire l’ascenseur à les testicules. On en a presque fini, elle me fait plier les jambes, enfile et lubrifie un doigtier, lubrifie mon petit trou et tout en remontant mes testicules avec la main gauche, elle part à la recherche de ma prostate, gros frisson quand elle la trouve et qu’elle insiste fermement.
Elle retire son doigt et préviens qu’elle va profiter de la lubrification et que je ne dois pas bouger, elle passe devant moi , ouvre un tiroir et reviens avec un thermomètre, retour et insertion, je n’avais jamais eu une prise de température dans cette position. Quelques minutes, elle l’enlève et demande à Claudine de me passer un coup de lingette, elle obéit avec plaisir et fait remarquer qu’elle ne regrette pas d’être venue.
J’ai l’autorisation de me rhabiller.
« tu es contente d’être venue, mais ça fait longtemps que je ne t’ai pas vu, j’ai sortie ton dossier, plus d’un an, alors ma chérie, on va rattraper le temps perdu, puisque tu es là, tu te déshabille. »
« pas de soucis »
Elle enlève ses chaussures, sa veste , son chemisier et sa jupe et comme je le soupçonnais , ne portant pas de sous-vêtements se présente nue. Cette fois c’est moi qui note la taille le poids et le résultat du contrôle de la vue. Son amie va chercher des lingettes et le petit pot, elle lui fait écarter les jambes et me montre le nettoyage de son sexe, charge à moi de le refaire après son petit pipi. Direction les toilettes , j’exécute ma mission avec plaisir. Inspection du dos et direction la table d’examen, en position gynécologique les pieds dans les étriers, inspections complète puis touché recto-vaginal bien lubrifié. Sur le ventre à son tour prise de température. Elle me demande de tenir le thermomètre en place le temps qu’elle complète son dossier. Je m’amuse à le faire tourner légèrement entre mes doigts, ce qui ne semble pas lui déplaire. Je donne le thermomètre au médecin et passe une lingette sur son anus.
S’en ai fini pour nous deux, elle nous propose de la rejoindre dans son salon pour un petit apéro, dès que nous serons rhabillés.
Voilà, un fantasme.