J’ai fais ça régulièrement.
Soit par nécessité, lorsque, tout en conduisant sur d’assez longues distances, à un moment, je me rends compte que j’ai « envie », quand mon esprit revient sans cesse sur des scènes, des jeux érotiques que j’imagine
Mes érections, vite, mouillées et tachant mon slip deviennent alors très gênantes, mon esprit en boucle se met alors sous influence des sensations agréables de ces contractions intimes, et de plus en plus mouillées ! et provoque celles-ci encore et encore…
Je me dis alors qu’il serait bien que je me vide, que je vide mon sperme, que mes petites couilles sont trop pleine faute d’avoir eue récemment une éjaculation…
J’aime me dire alors, ce qui a le don de m’exciter encore plus ! « c’est pas prudent de conduire comme ça, dans cet état-là : tu vas te faire éjaculer, ça sera mieux pour toi, tu as besoin de vider ton sperme, et tu sais comment il faut faire :t’arrêter, chercher un coin tranquille en forêt, et te donner une branlette !…tu vas te branler doucement, mais juste quelques minutes, pas comme d’habitude, et tu te fais éjaculer pour te vider, te vider dans le vide, en l’air, puisqu’il n’y aura pas de femme dans laquelle enfoncer ta verge »
Je m’arrête alors sans attendre davantage dès que je trouve un bois ou une forêt favorable , me disant que ce n’est pas la peine de prolonger cet l’état sexuel dans lequel je suis, que j’ai maintenant très très envie de me masturber.
Je m’isole soigneusement pour être sûr de ne pas être dérangé, et « je fais ça », au comble de l’excitation d’utiliser et de me dire à moi-même cette expression comme on le faisait et comme on le fait encore lorsqu’on surprend un masturbateur à l’œuvre dans son lit.
Vêtements ouverts et baissés comme il le convient pour une pleine et bonne masturbation solitaire, debout je me donne quelques minutes de plaisir, pour ce plaisir si délicieux qu’un homme obtient avec ses doigts a faire « ça » sur lui-même, et en prolongeant un peu cette masturbation, ce plaisir sous le faux prétexte de me dire que pour être tranquille après, je dois prolonger mes caresses pour avoir très envie et être sûr que l’éjaculation que je vais avoir sous peu me fasse bien vider le sperme que j’ai, et tout le sperme ! que j’ai besoin de vider de moi
Ça va vite alors, je cherche à éjaculer bien fort, pour avoir l’esprit libre après; j’ai les doigts tout mouillés, plein de precum quand je provoque mon éjaculation, et pour contrarier un dernier désir que je pourrais avoir de prolonger mes caresses au lieu de vider mes petites couilles trop pleines je me décalotté bien fort ! en un geste, complètement, parce que je sais ce que ça fait sur moi de faire ça quand je sens nettement mon gland un peu et voluptueusement serré par le passage à travers l’anneau du prépuce…
Je regarde le réflexe que cela provoque sur moi, l’expulsion libératrice sous l’effet de cette jouissance que je devais provoquer sur moi, en me disant «allez ! crache ! ta queue toute dure à besoin de cracher, alors fais-le… »
Je trouve un certain charme à voir ces flocons blancs de sperme retomber sur les feuilles des plantes devant lesquelles je suis pour faire ça, je me dis qu’il n’y a rien que de très naturel à tout ça, que cette semence inutile dont je me débarrasse retourne à la nature.
Pendant ma masturbation, je me dis aussi que les femmes ont beaucoup de chance quand elles ont besoin de faire ça en forêt, qu’il leur suffit de s’accroupir pour faire semblant de faire pipi, et que, cuisses écartées, pour leur plaisir, leur main peut s’agiter en toute discrétion…