Une nouvelle fois, l'esprit de l'escalier, suite à mon post précédent.
Lorsque je ferme les yeux pour savourer les sensations de la prise de température, souvent me reviennent en mémoire les prises de température les plus marquantes de mes amantes ( en fait, pas plus d'une dizaine).
Déborah, ma dernière girlfriend, jouit d'une place marquante dans cette cohorte, même si j'ai du mal a lui pardonner de m'avoir largué aussi brutalement il y a plus de deux ans. Notre prise de température mutuelle du matin, avec sa délicatesse , son sens de l'humeur et de la dérision, illuminait en quelque sorte ma journée.
Et comment ne pas penser a María, ma copine medfet un ( bon)'peu givrée de ma jeunesse, qui avait décrèté qu'elle me prendrait la température, rectale bien sûr, nu sur ses genoux, à chaque fois que nous devions faire l'amour
Enfin, il est rare que ne me revienne pas en mémoire Ève, cette femme avec laquelle j'ose dire que j'ai vécu, il y a une trentaine d'années une véritable passion en partageant avec elle mon fétichisme de la température rectale, mais qui a toujours refusé que nous fassions l'amour ''normalement''. J'ai déjà dit qu'elle avait une classe folle, habillée par un grand couturier, ou nue, justement avec un thermomètre planté dans son cul sublime. . Elle affirmait que ''baiser comme des ploucs de banlieue'' aurait été tellement peu de chose par rapport à la plénitude que nous ressentions lorsque nous nous prenions mutuellement la température.