J'ai par ailleurs longuement évoqué le fait que l'on m'a pris la température rectale au cours de la visite médicale de terminale dans mon lycée de la région parisienne en 1970' quelques jours après mes 18 ans. . C'est la seule fois où l'on m'a pris la température rectale lors d'une visite médicale scolaire. Tous les élèves de ma classe, garcons et filles ont eu droit à cet examen, qui a alimenté les conversations de la cour de récréation pendant quelques jours.
Le (la) médecin scolaire était une jeune femme blonde d'une trentaine d'années, souriante et sympa, qui contrastait agréablement avec la doctoresse âgée, brutale dans ses gestes et revêche,qui avait assuré les visites médicales les années précédentes. Je me souviens encore aujourd'huit de son chignon élégant et de sa minijupe très courte, que sa blouse blanche ouverte dissimulait mal.
Après l'examen génital, alors que je me tenais debout, intégralement nu devant la doctoresse assise sur un tabouret, cette dernière m'à invité à me retourner. Et là, sans prévenir, elle m'à écarté fermement les fesses et j'ai rapidement senti que quelque chose de long, froid et dur, trouvait l'anus, forçait le sphycter et pénétrait profondément mon rectum. A ce moment, la jeune femme m'a dit:''detends- toi, je te prends juste le température, c'est tout de suite fini''..Elle a ensuite gardé ses mains posées à plat sur mes fesses.
Dans un premier temps, je me suis senti profondément humilié que l'on me prenne la température comme à un bébé et j'ai détesté me retrouver avec un thermomètre planté dans le cul devant les trois femmes présentes, la doctoresse, l'infirmière et la psychologue du lycée. J'ai ravalé un sanglot, ne voulant pas donner à ces dames la satisfaction de me voir fondre en larmes. Puis peu â 'peu, j''ai réalisé que la pression des mains de la jeune femme, si douces, si fraîches, sur mes fesses me procurait une sensation de bien--être extraordinaire. Et je me suis rendu compte que cette sensation , peut-être associee à là pénétraition du thermomètre, suffisait à provoquer chez moi un début d'érection. La doctoresse retira le thermomètre sans me dire quelle était ma température. Je découvrirai celle-ci ( 38,2, avec ce commentaire: " température anormalement élevée, sans doute due à l'émotivité de l'enfant'' ) quelques jours plus tard dans le compte-rendu de la visite adressée â mes parents. Du haut de mes 18 ans, j'ai ressenti comme une humiliation supplémentaire, le terme ''enfant'' utilisé par la doctoresse.
Cette prise de température à bien évidement alimenté mes fantasmes au point que je l'ai souvent ''rejouée'' avec mes copines, et à sans doute contribué â mon fetichisme vis-à-vis de la température rectale. Plus de 50 ans apres , j'y pense encore avec émotion.