Dans le documentaire que j'ai vu, on parle d'insomnie, de bouffées de chaleur, irritabilité, de prise de poids au niveau de l'abdomen et évidement la libido avec des problèmes ou absences d'érections.
En ce qui me concerne j'ai noté une baisse de forme vers mes 55 ans où j'ai cumulé une embolie pulmonaire avec de la déprime (travail) et dans la foulée après de l'arrêt de la clope du jour au lendemain suite à l'embolie (au scanner ils ont vu de l'emphysème), insidieusement des kilos en plus se sont installés.
Trois ans plus tard mon foie montrant des aptitudes à se gaver de graisse, je vais voir une diététicienne, je fais un régime et en 5/6 mois je perds une dizaine de kilos. Je ne sais pas si c'est l'effet de la perte de poids sur le reste de mon organisme, mais je retrouve un libido qui s'était bien amoindrie.
Covid-19, confinement, je reprends mes kilos doucement mais surement. Difficile de dire si cette reprise de poids serait à l'origine d'un nouvelle baisse.
En fait si j'ai parfois des érections en bétons notamment la nuit, mon excitabilité diurne est en berne, là où avant je pouvais commencer à bander rien qu'en regardant une vidéo avec les situations qui vont bien, bah maintenant c'est rare. C'est clairement plus pareil. J'arrive parfois en me secouant la nouille sans avoir de désirs particuliers à provoquer l'éjaculation, l'orgasme, alors l'érection arrive mollement à la fin.
Dernier revers de médaille ma femme a sa libido en berne avec sa ménopause, elle vient de prendre un traitement hormonal qui semble-t-il n'a pas eu l'effet souhaité. Son vagin s'est atrophié par le manque d'hormone, les pénétrations sont de l'histoire ancienne, elle arrive à se masturber de temps en temps, ou parfois elle me le fait, mais globalement notre sexualité en berne. De mon côté je pense que son absence d'envies à une répercussion sur ma propre libido, je fonctionne beaucoup avec les rapports d'échange ayant toujours pris soin de donner du plaisir avant de recevoir le mien. là on ne se donne plus grand chose sexuellement parlant. On retourne voir la gynéco la semaine prochaine on verra ce qu'elle dit, là c'était un traitement par crème et ovules.
Tout pour dire que je pense que si le corps est défaillant, je pense que le cerveau peut avoir sa petite part de responsabilité.
D'ailleurs dans les témoignages du reportage un homme d'une bonne cinquantaine raconte qu'alors il avait une grosse perte de libido, à une relation avec une jeune collègue de travail. Ça repart comme en 14, sauf qu'au bout d'un moment la motivation a commencé à défaillir. Reproches, incompréhension de la jeune femme qui s'imagine qu'elle n'est plus désirable.