J’ai eu une amante qui m’avait dit que son mari, plus que complaisant aux écarts réguliers d’infidélité de son épouse, aimait certains sévices, dont la contrainte par liens, la privation de jouissance, et le martinet.
Elle m’avait dit ne pas être attirée par ces désirs que sont mari voulait, mais qu’elle consentait à exercer de temps en temps pour lui faire plaisir.
J’étais très friand de détails que je lui demandais de me raconter, quand, par exemple, il devait se masturber devant elle sans avoir le droit de jouir, ou faire cela dans un coin de la cuisine pendant qu’elle allait et venait pour ce qu’elle avait à faire ou préparer le repas.
Il recevait le martinet pour des motifs variés, sur les fesses, mais aussi, après avoir dû baisser ses vêtement, sur le sexe, la verge ou les bourses, debout, ou, nu, allongé sur le dos sur li lit conjugal, ou encore, à quatre pattes et nu, n’importe où, salon, couloir, entrée, le martinet, ou les claques étant alors appliqués par derrière.
Il est arrivé aussi de temps en temps après l’avoir attaché , chez eux nu dans une pièce, sans qu’il puisse se toucher, qu’elle lui dise que maintenant qu’il était bien attaché, elle allait demander à son amant -moi- « de venir me baiser » parce qu’elle en avait envie, qu’elle fera ça dans la pièce d’à côté, et qu’il entendra tout….
Je venais, prévenu suffisamment à l’avance, et tout se passait comme convenu, nous faisions l’amour sans nous gêner.
Puis, tandis que je me rhabillais, sans attendre, nue pleine de mouillures et d’odeurs caractéristiques, elle allait dans le pièce voisine voir son mari, l’excitation dans laquelle il était, le punissait d’être excité dans de telles circonstances en l’accusant d’être un vicieux.
Toutefois la première fois où nous avions fait ça, elle m’avait accueilli chez eux en me disant, après avoir attendu que je sois dans une forte envie, que son mari n’était pas absent, mais à cause des envies particulières qu’il avait dont j’étais au courant, qu’elle l’avait attaché dans la pièce d’à côté, nu, qu’il allait entendre ce que j’allais faire avec sa femme…
La situation m’a tout de suite beaucoup beaucoup excité !
Et il a bien tout entendu ! car j’aime dire les choses pendant les câlins, et ça m’excitait de savoir qu’il entendait, d’abord les descriptions crues de ce que j’allais faire à sa femme tellement elle me plaisait, puis les bruits consécutifs aux ébats amoureux.
Et puis on ne peut ignorer, quand on est à proximité, que je cède au plaisir suprême et irrémédiable , mes forts gémissements ne laissant aucun doute.
Et le mari de mon amante, écoutant dans la pièce voisine, en érection, savait, comment je tenais sa femme pour que tout se fasse bien, en elle et complètement, comme j’avais dit que j’en avais si envie ! selon mes choix je jouissais sans aucune retenue sur ou le plus souvent dans sa femme pendant qu’il entendait.
Mais je m’égare.
Tout ça en fait pour dire que si mon amante consentait à faire plaisir à son mari avec entre autres claques, fessées, et martinet, elle m’a dit qu’au début elle lui faisait ça par rôle et dans l’indifférence sexuelle, mais que curieusement, au fil des séances elle avait été étonnée de sentir en elle un sentiment agréable à voir l’excitation dans laquelle les gestes qu’elle avait mettaient son mari !
Elle a découvert alors une espèce de plaisir à ce pouvoir qu’elle avait de rendre sous ses yeux un homme très excité.
Quand elle en avait envie, elle agissait alors pour en profiter, pour son plaisir à elle.
Voir l’ érection de son mari durcir, des palpitations de plaisir pour lui se faire quand il recevait un coup de martinet sur le sexe lui ont donné l’idée d’en profiter, et quand il était au lit allongé sur le dos, elle m’a dit qu’elle se mettait alors à genoux sur lui pour se faire jouir en se rentrant la queue en elle.
Elle lui disait qu’il devait la faire jouir, mais que lui n’avait pas le droit de ça, qu’il devait se retenir…
Comme quoi tout n’est pas évident.
Bon, j’espère au moins que ces confidences imprévues seront appréciées de certaines et certains.