La première fois que vous avez montré votre anus et vu le sien

Dans mes premieres activités sexuelles, c'était plutôt au toucher qu'à la vue. Toucher sous la couette, sous les vetements.

Puis un jour on allume la lumiere, on se met par dessus la couette et on voit l'autre.

Je me suis souviens de la premiere fois que j'ai pris pris une fille en levrette à la lumière avec la vue sur son anus.

Et un jour je suis tombé sur une fille qui refusait la levrette sauf dans le noir car elle avait peur / n'aimait pas l'idée de montrer son trou du cul.

Avez-vous eu mesdames ce genre de réflexion avant de faire certaines positions ?

En tant qu'homme on a aussi quelques poses où c'est notre anus qui est visible. Je me souviens d'un petit sentiment de honte car c'est toujours tabou l'anus masculin.

Mesdames comment avez-vous réagi la première fois que vous avez vu le petit trou d'un homme ?

Sujet intéressant :-) Personnellement ça a toujours été une obsession pour moi et je n’étais jamais satisfait tant que je n’avais pas vu la rondelle de la miss. La toute première fois j’étais avec une jolie blonde hyper pudique, et j’avais réussi au bout de plusieurs semaines à voir son petit trou. Symétrie parfaite et 2 poils qui se battaient en duel, c’est ce dont je me souviens et qui m’avais frappé. Je n’ai jamais pu entrer par cette porte avec cette fille là :-(

Ce thème recoupe grandement celui déjà abordé de « partie de votre corps la plus intime »

Voir, montrer, cette intimité, est pour nombre de nous, dont je suis, hommes et femmes confondus, le plus accompli de la sensualité.

Ensuite, il y a, toucher…rentrer un doigt…lécher et sucer…rentrer le bout de la langue…puis d’autres jeux possibles…

Pour moi et l’excitation que cela me fait éprouver, c’est le moment le plus fort dans la découverte du corps d’une femme.

J’adore savourer ce plaisir en faisant percevoir à une amante, au moment opportun, d’une manière évidente ce que je cherche à voir d’elle : mise à plat ventre sur un lit, nue ou culotte juste baissée sous les fesses, avec mes pouces j’écarte doucement, mais lentement…ses fesses, et j’écarte bien comme il faut ses deux globes ! pour qu’elle sente que je dégage impudiquement à ma vue son petit trou plissé.

Et je maintiens mon amante, de mes pouces, un petit moment, fermement, comme ça, les fesses bien ouvertes, avant d’aller, avec ma langue, chercher d’autres plaisirs encore plus forts que celui de cette vision intime.

On sait vite, au cours de ces gestes, si «elle laisse faire », acceptant le plaisir qu’on prend, ou si elle réagit dans un plaisir partagé qu’elle manifeste.

@FetishDoc sollicitait des réponses féminines mais ce sont les messieurs qui ont sauté sur l'occasion 😉 Je fais pareil car le sujet m'inspire et ça permet de faire remonter le post en pôle position...

C'est le thème de "jusqu'où va la pudeur ?" Pour moi qui était très pudique à une époque de mon adolescence, mes jambes ou mon ventre étaient déjà des parties intimes... De mes copines, je n'ai jamais eu le sentiment qu'elles considéraient l'anus comme plus intime que l'entre-jambes. A partir du moment où elles se mettaient à poil pour faire l'amour, en pleine lumière, on montrait tout et tout était accessible au moins à l'oeil et au toucher.

Ma femme est adepte des caresses fessières et moi-même je suis très très attiré par cet endroit, le considérant comme le plus intime par sa connotation pas très bien vue. Mais si elle aime que je touche, voire que j'y mette un doigt, elle ne se laisse pas pénétrer par ma queue (bon, sans être prétentieux, j'en ai une très épaisse et c'est clair que ça aurait du mal à entrer sans douleur).

DJ