Il faut comme l'a dit " Latex" replacer les pratiques des médecins pour le déshabillage dans le contexte de leur époque et de l'enseignement des pratiques reçues en fac.
C'est sûr qu'un médecin scolaire- homme ou femme - n'avait aucun respect de l,'intimité des élèves, en tout cas pour des garçons dans les années 60 et sûrement encore 70.
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, on avait beaucoup.développé la médecine préventive ( dans les établissements scolaires, les colonies de vacances, pour le sport etc..), c'était considéré comme très positif et personne n'aurait considéré anormal qu'un élève soit dénudé à une visite médicale et subisse une visite complète gratuite et de toute façon obligatoire
On n'enseignait pas dans les facs de médecine le respect de la pudeur des personnes, surtout pour des élèves mineurs ( majorité à 18 ans)
Il y sans doute eu des médecins vicieux qui en profitaient mais la grande majorité appliquaient seulement les consignes, et l'examen genital avec palpation des testicules était la règle pour les garçons.
Après pour certains cela justifiait la nudité integrale, pour d'autres le slip était baissé de façon autoritaire, aucun d'eux n'aurait eu l'idée de demander à un garçon s'il voulait bien baisser son slip.et pourquoi il était examiné !
On était très proche des méthodes de l'armée vis à vis des conscrits, même avec les doctoresses et les infirmières scolaires qui jugeaient aussi que la pudeur d'un garçon même au lycée n'avait aucune raison d'être.
C'était tellement admis que cela ne pouvait choquer personne : certainement pas les parents, ou les autorités scolaires.