Mon expérience de prise de température remonte à ma jeunesse. Expérience découverte sans savoir que ce petit tube de verre serait aussi jouissif. Je crois autant pour celui qui le reçoit dans son anus et celle qui l’enfonce dans ce petit trou.
Un virus m’a terrassé durant plusieurs semaines et la fièvre très importante dans la phase de guérison devais être surveillée en permanence le matin et le soir. Cette tache à été confié par ma mère à Frédérique notre jeune voisine du dessus et qui terminait ses études d’infirmière. Frédérique était très longue et mince de beaux cheveux noirs et toujours une mini jupe et des culottes Petit Bateau qui souvent séchaient à l’étendage et occupaient une partie de mes fantasmes.
La première fois un peu de honte mais sans plus voyant avec quel professionnalisme elle préparait le thermomètre. Coton, alcool, nettoyage attentionné du petit tube, vaseline dans un tube jaune, huile d’amande douce. Assise sur une chaise à 16 heures précises elle me conviait à me mettre debout devant elle pour dégrafer mon pantalon et m’aider à le retirer. Je m’allongeais ensuite en slip sur ses genoux. Je sentais une légère érection que je contenais pour ne pas toucher avec mon sexe sa cuisse. Elle baissait mon slip accroché par mon sexe durci. Je me levais légèrement pour aider à la descente sans aucun mot de sa part. elle écartait mes fesses à plusieurs reprise et dégageait mon anus. Je crois que ces gestes lui procuraient beaucoup de plaisir. Je sentais soudain une crème froide sur déposer sur ma rondelle et un doigt très expert massait cette zone :
- C’est pour que tu n'aies pas mal lorsque je vais enfoncer le thermomètre.
Je n’ai pas mal, bien au contraire j’aurais voulu que jamais ça ne s’arrête. En fin de massage son doigt entrait à plusieurs reprise dans mon anus, une phalange puis deux. Je ne montrais que peu mon plaisir mais il devait certainement se lire pour que ces introductions soient aussi nombreuses. Les fesses toujours très écartées un long moment s’écoulait avant de sentir le tube de verre. Toute la longueur entrait en moi un moment extraordinaire et là elle relâchait mes fesses en maintenant par son extrémité l’ustensile. Il ressortait au bout de quelque temps et après lecture entrait à nouveau. Je sais bien que mon érection ne passait pas inaperçu puisque je sentais battre mon sexe sur sa cuisse et il s’échappait de mon méat des sécrétions. Le tube sortait .La lecture et l’annonce se faisaient et face à Frédérique cul nu, elle me demandait de me tourner face à elle pour nettoyer tout cela avec l’huile d’amande douce . Mes deux jambes très écartées et légèrement pliées en avant avec un coton très imbibé, d’arrière en avant elle enduisait la raie de mes fesses insistant sur mon anus et finissant aux testicules. Mon sexe en érection, car il ne pouvait en être autrement elle regardait avec beaucoup de passion cette toilette. Pour finir elle me décalottait le gland et passait de l’huile dessus pour je pense, ôter les sécrétions. J’avais toujours un moment de recul et de honte car un coton huilé faisant des rotations autour de mon gland c’était beaucoup trop de plaisir.
Je dois avouer que dans ma position je ne perdais pas une occasion de mater son entrejambe voire sa culotte et le bombé de son sexe. Souvent sa culotte entrée dans ses fesses laissait apparaître sa toison et l’humidité de son sexe. Peu ou rien n’était fait pour dissimuler cela, une complicité. Nous avons progressé dans ces moments très particuliers mais combien agréables.