Bonjour,
avec un nouvel ordinateur, voici encore des souvenirs.
Très tôt, vers sept ans, j'ai commencé à entraîner mes copines et cousines à jouer au docteur avec moi ; je les piégeait toujours de la même façon : je pose le thermomètre bien en vue quelque part dans ma chambre et il ne manque pas de prétextes pour les y conduire ; la première dont je me souvienne, c’est ma cousine Cathie ; elle a le même âge que moi, sept ans. Elle me demande en désignant le thermomètre :
- tu es malade, Martine
- non, maman m'a trouvé pâlotte, alors elle m'a pris la température, mais je n'en avait pas ; dis-moi elle te le fait comment ta mère ?
- elle me met le thermomètre dans le derrière,
- comment tu trouves ça
- j'ai horreur de ça, ça me brûle le petit trou
- moi j'aime bien, ça me fait des choses, il faut dire que maman graisse bien le trou et le thermomètre et elle fait doucement ; si tu essayais avec moi, on joue au docteur ?
- t'es folle si ma mère l'apprend, j'aurai une de ces fessée !
- et qui le lui dira ; si tu veux c'est moi la malade
- mais je sais pas le faire,
- agis comme tu aimerais pour toi, c'est pas difficile.
Je m'allonge sur mon lit sur le côté et la guide :
- relève ma robe, descends ma culotte ; maintenant, avec ton doigt, mouilles mon trou du derrière ; bien, mouilles aussi le thermomètre ; tu peux me l'enfiler doucement.
Tout cela est délicieux, elle est un peu gauche, mais ça n'en est que plus agréable ; je sens le petit tube de verre s'enfoncer dans mon derrière ; il est très loin dans mon trou, je lui dis d'arrêter,
- tu me l'a planté jusqu'où ?
- jusqu'au 39, tu sais Martine il est tout joli ton petit derrière,
elle le caresse avec sa main tout le temps qu'elle me laisse le thermomètre.
- Tu peux le retirer,
- je voudrai voir ta petite fentine ;
- finis de m'ôter ma culotte
je me retourne, lui présentant mon abricot entre mes cuisses écartées ;
avec son doigt, elle sépare mes pétales et tente de rentrer son petit doigt dans mon petit pertuis,
- doucemeeent, c’est la première fois,
- rhoo ! C'est tout chaud et mouillé.
Je dois reconnaître que son doigt, dont elle a en foncé une phalange ne m'a pas fait mal du tout, bien au contraire.
Elle le retire et me déclare,
- t’es en bonne santé ;
je me relève, me reculotte,
- bon, à ton tour.
Je la pousse en arrière sur le lit, retrousse sa courte robe, lui enlève sa culotte blanche ;
- écartes tes cuisse, que je t’examine,
j'ouvre délicatement son conin, effleure son bouton la faisant sursauter ; comme elle, je tente de pénétrer son petit conduit chaud et humide, mais n'insiste pas ; avec ce même doigt, je lubrifie son anus ;
- Tout est bien, restes dans cette position, je nettoie le thermomètre pour prendre ta température.
Lorsque je reviens, elle n’a pas bougé ; je lui relève les jambes à la verticale, suce le thermomètre et lui enfile doucement jusqu'à la moitié,
- hooo ! Comme tu le fait bien, c'est doux ;
je lui fait garder la petite tige dix minutes ; à plusieurs reprises, je retire le thermomètre à moitié pour contrôler la température.
Enfin j’ôte le tube de verre en annonçant :
- 37°2, c’est parfait, mais je constate qu’un petit lavement est nécessaire,
- Monique non ça je veux pas, jamais
- sois gentille, je ferai semblant.
Elle se laisse convaincre ; avec une poire à petite canule, je transperce plusieurs fois son oeillet avec douceur en insufflant un peu d’air, ce qui la fait rire.
Puis nous retournons dans le jardin, Cathie me souffle,
- on y rejouera au docteur, il faudra trouver d'autres malades et je voudrais bien recevoir un vrai lavement et t’en donner un ; ça sera encore mieux.
Et ce n'est que la première....