J' approuve en vous donnant ce petit vécu : Lavement et gavage.
J’avoue que je ne suis pas un ange. Si mon surnom est la peste ce n’est pas pour rien. Cela faisait déjà deux trois jours que j’étais intenable. Râlant, boudant, discutant, critiquant toutes choses. Ayant poussé à bout ma compagne ; ce matin là , elle me tira par l’oreille jusqu’au meuble à langer. J’étais vraiment étonné, car elle gardait son merveilleux sourire tout en étant très stricte. Ma couche était propre ? Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait. Ouvrant la culotte plastique à pressions, défaisant ma couche,elle plaça 4 inserts traversables à l’intérieur,me disant qu’elle devait sortir et qu’elle préférait s’assurer de mon confort. Pour moi : plus aucun doute ; elle me préparait quelque chose. Elle m'a introduit une canule avec le tuyau puis referma le tout. Plus de doute je vais subir le lavement. J’étais langé vraiment épais en ajoutant un change complet et 3 culottes plastiques fermées dont la dernière montant haut sur mon ventre. Elle m’aida à descendre de la table et se moquait vraiment de mes petites fesses bien rebondies et ma démarche de canard,le tuyau pendouillant de l’entrejambe. Boudant de nouveau, m' assoyant par terre , lui lançant :
- T'es même pas gentille , te cause plus !
Me donnant une forte claque sur la cuisse , me tirant par le bras; elle me conduisit à mon lit,m’attachant chaque membre à un barreau du lit.
Je bougonnais, qu’elle n’avait pas le droit ! Que je l’aimais plus ! Que je boudais ! Que je ne lui parlerais plus. Sa réponse fut claire.
- C’est parfait , je ne veux plus t’entendre » m’avait- elle lancé en me mettant la tétine de gavage dans la bouche qu’elle ferma sur ma nuque.
Je me suis mise à gigoter comme une diablesse dans mes liens. C’était la première fois que j’allais recevoir les deux en même temps. Elle me claqua la cuisse, me conseillant de rester tranquille, ou elle allait prendre Mr. martinet. Je me suis vite calmé, craignant plus que tout Mr martinet qu’elle utilisait avec virtuosité. Elle est sortie de ma chambre,troublée, Ma poupée enfermée dans sa cage me faisait bobo. Je n’avoue pas être vraiment fan de lavement et gavage mais les subir c’est autre chose. Surtout que mon amie profite pour bien se moquer, m’humilier.
Quand elle fut revenue, elle brancha les tuyaux aux brocs,versa 1 litre de lait pour le gavage et 2 L d’eau pour mon lavement. Tapotant sur mes épaisses couches.
- Je vais enfin être tranquille quelques heures ma chérie. » me lança- t-elle avec un grand sourire et me donnant un bisou sur le front.
En sortant elle m’affirma qu’à son retour, si je n’ai pas fini de tout boire, ce sera Mr martinet , ajoutant
- Tu sais ma chérie, que de toute façon tu n’y couperas pas ! » Suite
Mon sang c’est glacé en entendant ses paroles. Je savais que j’allais en corrigée pour mes bêtises, mes caprices de ses derniers jours, ceux d’aujourd’hui, et surement celle qui seront ajouté si je n’étais pas bien sage d’ici là. Le lavement remplissait lentement mais inexorablement. Je ne savais pas quand elle reviendrait ; ni le temps qu’elle octroyait pour boire le litre de lait. Je ne perdais pas de temps et commençais à tété. Les minutes s’allongeaient. Plus le temps passait plus mon ventre gonflait. Je fis pipi avant que le lavement soit achevé. Les épaisses couches absorbantes mes laissèrent au sec. La crainte de Mr martinet m’insistait à boire le plus vite possible. J’étais si ballonnée que j’étais vraiment mal. Je ne sais pas combien de temps c’était écoulé ; quand l’intrusion du lavement fut terminé. J’ais tout évacuer dans mes couches, dans un bruit sourd en plusieurs fois. Cette fois j’étais vraiment très mouillée, et sale. Je fis un deuxième pipi qui n’arrangeait pas ma situation. J’étais toute feu toute flamme et de nouveau ma poupée me faisait bobo. Je maudissais cette cage frustrante. Il me restait encore à finir de boire. Le temps était comme arrêté. Combien de temps suis-je rester là ? Combien de temps me resterait –il là ? Quand elle réapparut je venais par chance de finir de boire mon lait et fit une troisième fois pipi. Elle me demanda si j’avais été sage tout en vérifiant les bocks. « Mais tu as tout bu, c’est bien ma chérie » Mr martinet vas être déçus. Puis elle me délivra de mes liens et des bocks. M’aida à me relever. J’avais les membres tout engourdis. Ce moquant de moi, pourquoi je ne faisais pas mon caprice et m’assoir parterre ? Me donnant des fortes tapes sur les épaisses couches étalant du même coup leurs contenus, se moquant de moi une fois de plus. Me conduisant dans le salon, me montrant du doigt Mr martinet accroché au mur. « Tu voies mon bébé lui aussi à besoin de se dégourdir les jambes ! » je ne pris pas le risque de râler ; je gardais tête baissé en disant timidement, pardon que je ferais plus. Jetant un œil sur la pendule, avec un vif calcul. Cinq Heure, c’est le temps qui s’était écoulé. Pas étonnant que cela me parus une éternité. Tout comme mes couches, me semble peser et tomber sur mes cuisses attestant de mon état. Je du rester au coin le temps qu’elle range les bocks et tout de ma chambre. Me conseillant de médité sur la très sale petite peste que je suis. Puis le passage à la salle de bain. Une fois tout jolie et propre ; elle m’enfila une petite robe bébé, pris la main, me conduisant dans le salon. Elle prit Mr martinet en passant, installa sur la banquette ; m’ordonnant de me coucher sur ses genoux. Je n’étais vraiment pas fière. Mains posées sur mes fesses, m’approchant timidement. Elle me chopa sans ménagement me coucha sur ses genoux, me maintenant les bras. Elle commença par une fessé main nue. Puis ce fut le martinet me disant que ça c’était pour mes caprices, continuant malgré mes supplications. Ca ma fille c’est pour ta désobéissances. Elle caressa mes pauvres petites fesses disant combien elle adorait les voir aussi rose que mes joues, de jolie poupon. Les coups se poursuivirent. Je tentais en gesticulante, gémissante, suppliante, que je ferais plus, je serais sage. J’us pour réponse « Oui ma fille, mais je veux m’en assuré ! Et Mr martinet est si content ! »
J’avais les fesses en feux. Les yeux à la limite des larmes. Après qu'elle me fit la morale, indispensable;Je me suis fait pardonnée avec de doux et tendre mamours pour notre plus grand bonheur avant d’être langer de nouveau sans oublier cette satanée cage. Comment tout bébé ; j’ai besoin autant de douceur, de cailloux, que de disciple et d’autorité. Se savoir, sentir protéger du monde qui nous entour que de nos propres bêtises est essentiel. Tout est proportionnel, mais rien n’est plus beau qu’une régression. Blotti dans des bras chaleureux, plein d’ » amour, protecteur c’est merveilleux