Mon propos plaira à certains et certaines seulement, compte-tenu du sujet évoqué...
Voilà : lors des premières relations sexuelles avec une amie de mon âge - nous devions avoir 17-18 ans -, lorsque nous faisions l'amour, certaines fois, quand je sentais avec délice mon érection rentrer entre ses cuisses et que je la pénêtrais, il m'arrivait d'éprouver une sensation étrange au résultat équivoque sur mon excitation; durant les mouvements que je faisais, je sentais contre ma verge, dans son ventre, un frottement irrégulier dans son aspect...
J'ai vite compris qu'elle faisait l'amour sans être aller à la selle avant et que la conformation de son intimité provoquait cette sensation étrange pour moi; nous étions vierges tous les deux avant nos rencontres, et je n'osais lui parler de tout cela...peut-être, sans le dire bien sûr, ressentait-elle un plaisir confus à se trouver dans cet état lors de ces situations-là, car pour autant jeunes amants, je n'avais pas hésité, très vite, dans le début de nos relations à pratiquer avec elle des jeux coquins : dés le début des préliminaires, souvent, elle ne montrait aucun signe d'opposition, bien au contraire, lorsque je lui demandais de s'allonger sur le ventre sur un lit quand j'avais envie de lui sucer le petit trou...elle se disposait tout de suite, je relevais ses vêtements ( elle était toujours en robe ou en jupe, jamais en pantalon ), je baissais sa culotte, et tout de suite elle comprenait mon intention, savait ce qui allait lui arriver. j'ai toujours adoré faire cela aux femmes, et elle n'a jamais protesté quand je lui écartais les fesses avec mes pouces pour lui sucer la rosette...
Elle ne disait rien, mais visiblement, aimait qu'on lui fasse cela..
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Avec le recul du temps, je pense que j'aurais eu beaucoup de plaisir à profiter de la situation pour lui proposer de lui donner un lavement sous le faux prétexte que son état me dérangeait; je pense que nous aurions vite fini par pouvoir jouer à ces jeux-là, de lavement, car étant de ma génération, et connaissant ses parents, j'ai toutes les raisons de croire qu'elle recevait des lavement dans son enfance, cela faisait partie des habitudes de cette époque-là. Moi-même, tout en la fréquentant, lorsque je me retrouvais seul pour quelques jours, gorgé de désirs, je m'adonnais avec volupté à la masturbation prolongée, agrémentée si je le pouvais, de séances de lavements que je me donnais avec la poire à lavement familiale...
...dommage!