Situation humiliante en couche

Qui a deja vécu des situations humiliantes en couche?

Soit seul ou forcé par un tiers.

A vous lire

Je dirais parfois situation humiliante sans couche.

Ma dernière sortie en Lorraine pour un mariage. Au sortir de la célébration à l'église (pas de WC à la sortie). Je me retiens, on va plus loin... Plus d'une demi heure plus tard je fais pipi sur un coin de gazon un peu désert mais quand même en ville...

Une fois fini je referme ma braguette et pars rejoindre la noce pour les photos... Et là je m'aperçois que mon slip est bien mouillé ! Quand est-ce que c'est arrivé ? Je n'en sais rien ... mais il y a bien un moment où j'ai perdu le contrôle et ne m'en suis pas aperçu !

Et bien là si j'avais été équipé j'aurais attendu calmement le moment de me changer en toute quiétude...

Ces soucis sont rares mais on m'a enlevé toute la prostate ! Et parfois je perds le contrôle.

Moi c'etait il y a quelques jours, j'ai eu une fuite, donc une petite aureole à lentre jambe sur mon pantalon pendant que je faisais mes courses au supermarché. ???

Bonsoir arkus

Comment cette fuite a-t-elle pu se produire ?

La couche n'était-elle pas correctement ajustée ? Elle était peut-être saturée ...

En quoi cette situation a-t-elle été humiliante ? Etes-vous sûr que l'incident a été remarqué par des personnes présentes dans ce magasin ? Si l'auréole était discrète vous n'aviez pas de raison de vous sentir gêné ...

Salut omega,

La couche n'etait pas bien ajustée, d'ou une fuite à l'entre jambe. Je pense que des personnes on remarqué cette auréole car ne pensant pas avoir de fuite j'ai fait un gros pipi, etant en plein milieu de mes courses, j'ai pris rapidement la direction de la caisse, car je n'avais rien pour cacher cela, sauf le chariot. Je trouve cette situation humiliante car je suis certain que des personnes on vu cela, alors que quand je porte des couches pour sortir cela ne ce remarque pas habituellement.

Une situation seul heureusement.

C'était une journée ou je ne me sentais pas très bien, je roulais sur l'autoroute et soudain une sérieuse envie de caca m'a pris. J'ai bien essayé d'attendre à me rendre au toilette, mais beaucoup trop liquide je n'ai jamais été capable de me retenir fiou. Je n'en revenais pas , une chance que j'étais en couche mais quant pas agréable comme sensation. Je souhaitais juste ne pas rencontrer personne avant d'arriver chez moi. J'avais aussi la crainte que ça aille débordé et que ça paraisse derrière.

Je ne vous dit pas la honte que j'ai ressenti.

Moi c'était dans la rue .

J'étais en jupe et je portais une couche qui était pleine et un coup de vent souleva ma jupe. C'est une chance que la route n'était pas très peuplée puisqu'il menaçait de pleuvoir. Il y avait juste un homme qui souriait lorsqu'il a vu la scène. Un autre jour la même situation m'était arrivée sauf que je n'avais pas de couche car cela faisait un moment que ne pouvais plus en acheter.

J'ai eu un accident dans un bus. Vous ne pouvez pas imaginer la honte. Depuis j'évite de sortir.

Il y a maintenant quelques années, je m'étais rendu langé dans un supermarché du 91 pour y faire quelques courses et racheter un paquet de couches.

Pendant les courses, j'ai fait plusieurs petit pipi et un gros caca ... ma couche était presque à saturation et il m'était impossible de monter dans la voiture sans avoir une fuite ... Donc après mon passage en caisse, j'ai rangé mes courses dans le coffre de la voiture et j'ai donc décidé d'aller me changer aux toilettes du supermarché avec une des couches que je venais d'acheter ...

Arriver dans les toilettes, je suis rentré dans une cabine et j'ai attendu quelques minutes qu'il n'y ai plus de bruit pour descendre mon pantalon, mon caleçon et dégrafer ma couche pleine. Après avoir enlever les attaches de ma couche, je l'ai descendu en l'accompagnent jusqu'à mes pieds pour éviter d'en mettre partout, puis en me relevant pour prendre du papier toilette, j'ai remarqué qu'il y avait un oeil me regardait par un petit trou dans la cloison fine qui me séparait de la cabine voisine.

Mon coeur à faillit me lâcher ... Je ne savais plus où me mettre ni quoi faire ... Je suis resté là, planté avec ma couche trempée et sale posée entre mes pieds sur mon caleçon offrant à cet individu mon sexe bandé par l'excitation de ma couche.

J'étais rouge de honte et l'homme d'à côté semblait trouver cela très excitant par le bruits de masturbation que j’entendais maintenant très clairement et son souffle s’amplifier ... Après quelques secondes d'hésitation, mon seul réflexe à été de boucher le trou avec mon doigt et de ne plus faire de bruit du tout ... J'ai entendu l'homme pousser un soupir mais il a continuer à masturber pendant au moins 5 minutes jusqu'à ce qu'il en jouisse ... J'étais toujours debout sans bouger avec mes fesses sales à l'air et j'avais le coeur qui battait à 200 ... Quand il eu terminé, il m'a lancer à travers la porte un "Dommage d'avoir cacher ce joli spectacle" et un "Merci quand même .. c'était très excitant de vous voir ainsi"... Je n'ai bien sûr rien répondu et j'ai encore attendu 2 ou 3 minutes pour être sûr qu'il était sorti des toilettes avant de reprendre mes esprits.

Je me suis ensuite précipité sur le papier toilette pour faire une boulette de papier que j'ai bourré dans le trou de la cloison afin de terminer tant bien que mal mon nettoyage et de passer ma nouvelle couche ...

En sortant de la cabine après y avoir passé facilement une bonne vingtaine de minutes au total, j'ai fini par être changé. J'ai pris soin de plier ma couche sale le plus proprement possible sans faire de bruit (pas facile) pour réussir à la jeter dans la petite poubelle puis je me suis immédiatement dirigé vers la sortie, sans me retourner. J'ai sauté dans ma voiture et je me suis promis de ne jamais revenir dans ce supermarché de toute ma vie !!!

Malgré la honte et l'humiliation que j'ai ressenti, maintenant que c'est passé, je dois quand même dire qu'avec du recul j'ai trouvé cela très excitant ...

Merci pour ce récit détaillé !

Le mois passé j'étais dans la cour arrière. Je peignais ma galerie. Alors que j'était penché, ma couche et ma culotte de plastique dépassaient de mon short de beaucoup même et en me retournant la tête je vis la voisine qui était sur sa galerie et me regardait mais pas dans les yeux,avec un petit sourire en coin et me dit :

- Allo!

Je suis devenu rouge comme une tomate. Je lui dis bonjour tout en baissant vite mon short pour cacher ma couche.C'est sûr qu'elle l'a vue. Elle sait sûrement maintenant que je porte des couches. Depuis, quand elle me voit elle regarde toujours le bas. C'est sûrement pour voir si j'ai une couche,puis elle me dit avec son petit sourire :

- Allo ! Ça va?

Oserais-tu proposer à ta voisine de changer ta couche ?

Elle s'intéresse à ce qu'elle à vu, tu as peut-être trouvé une nounou ?

qui sait mieux peut-être ?

Ne manques pas cette occasion , tu n'en rencontreras pas souvent de pareille.

Qui te dis qu'elle n'a pas une forte envie de te pouponner ?

Ça serait très étonnant de sa part car elle est policière et elle a un chum.

De toutes façons j'ai déja ma nounou, mon épouse. Depuis environ 5 ans elle m'a surpris à regarder des photos de femmes en couches. Elle me dit:

- Pourquoi tu regardes ça?

Un peu gêné je lui dis que c'est au bureau qu'on m'a montré ce site et puis que je trouve ça très joli une femme en bébé. Elle a regardé quelle photos. Je lui dis que j'aimerais la voir en bébé. Elle me dit avec un large sourire:

- T'es drôle toi !

Quelques semaines plus tard je commande 2 culottes de plastique rose sur eBay. Un soir elle prenait sa douche. J'ai mis 2 couches Tena et sa culotte rose et la mienne bleue sur le lit. Quand elle est entrée dans la chambre elle a vu les couches et les culottes. A mon grand étonnement elle me sourit. Je lui mis sa couche et sa culotte. Elle ne dit rien, juste un large sourire et elle a fait de même pour moi. Elle mit ma couche et m'a enfilé ma culotte, tout ça avec tendresse. Elle a mouillé instantanément. Après avoir joué avec nos couches, je lui demande si elle a aimé. Elle me dit :

- J'aime le feeling de la couche mais la culotte de plastique je trouve ça trop chaud.

Et voilà comment tout ça a commencé. Depuis c'est elle qui sort sa couche et sa culotte de plastique pour que lui mette. Je suis très chanceux du résultat et ça aurait pu avoir l'effet contraire. Depuis je suis en couches toute la journée les fins de semaine. Même je dors à l'occasion avec mes couches et ma culotte de plastique et souvent je la surprends à caresser ma couche pendant que je dors. Des fois au lever ça arrive que je sois mouillé.J'aime les couches de coton "moins fuites" , bien sûr avec la culotte de plastique.

Ce récit est la pure vérité!!!

Il y a quelques années j'étais dans un lycée privé et j'ai dû passer une nuit à l'infirmerie. Après avoir pris une douche et subi plusieurs examens et autres nettoyages inconfortables je dus mettre une blouse hôpital rose qui se ferme dans le dos. Puis en arrivant dans la chabmbre je vis sur le lit une couche et tout le matériel pour changer. Comme je protestais disant que j'étais trop grand, 17 ans, elle me dit que si je refusais en plus de la couche j'aurais une fessée comme un enfant et que c'était obligatoire. Je me suis allongé et elle a passé la couche sous mes fesses et l'a rabattue sur le devant, a mis les scratchs puis elle a rabaissé la blouse et je dus dormir comme ça jusqu'au matin où elle me l'a enlevée.

Malgré le fait que j'ai pas mal porté de couches au boulot ou pour sortir je pense pas avoir été grillé par un proche ou par une tierce personne, par contre je pense que ma mère doit se poser des question vu qu'une fois elle a vu que j'avais une goodnight dans la poche de mon manteau et peut être d'autres fois. Un fois dans un petit supermarché en passant devant le rayon bébé elle m'a dit : "tu en veux ?" en désignant les couches sans les montrer directement ce a quoi j'ai rompu d'un ironique "Ha, ha très drôle" et j'ai ajouter "il y a pas ma taille" mais elle a pas plus réagi.

Bonjour,

Je vous partage cette situation vécue à l'hôpital. opération à l’hôpital : après mon intervention, alors que j'étais encore un peu dans le brouillard, une infirmière d'une petite quarantaine d'années est venue avec un change complet, sans me poser aucune question (une collègue lui avait dit que je souffrais d'incontinence urinaire, je l'avais signalé en arrivant). Très expérimentée, elle déplie d'abord la couche complètement afin que les films latéraux soient écartés, puis elle découpe le filet-slip jetable que je porte en sortant du bloc opératoire pour le retirer. Lorsqu'elle retire le drap, elle pose tout de suite l'avant de la couche sur le zizi, sans doute pour réduire cette manœuvre indiscrète à une fraction de secondes le temps pour réduire au maximum l'exposition de mon intimité. Puis elle me demande de soulever le bassin, glisse d'un trait la partie arrière de la couche sous les fesses, attrape les collants et referme la couche. Enfin, tout aussi rapidement, elle tire le drap pour dissimuler l'objet de honte. La manœuvre aura été exécutée rapidement, sans humiliation pour le patient.

Le lendemain, vient une infirmière débutante : elle hésite et propose le pistolet ou un petit insert, mais je précise que cela n'est pas très sûr. D'autant que mon drap est déjà un tout petit peu mouillé. Elle tâte le drap et constate qu'il est très peu mouillé. Elle va chercher une autre infirmière, à peine plus âgée qu'elle. On sent que l'affaire est délicate pour toutes les deux. Les infirmières soulèvent le drap. Ensuite, elles ouvrent la couche propre, mais sans déplier les bords postérieurs qui doivent se rabattre sur le devant. L'une demande si je dois garder le filet-slip. Je réponds que ce n'est pas très hygiénique. L'une baisse alors le filet aux cuisses et s'empare d'une paire de ciseaux pour découper le sous vêtement jetable. L'autre détourne le regard pour éviter de croiser l'appendice urinaire parfaitement impudique. Une fois exposé dans la plus simple nudité, l'une me demande si je peux lever le bassin, tandis que l'autre propose de mettre la protection par le côté : comme je lève le bassin, elles glissent la couche sous mes fesses, l'autre rabat l'avant. Elles tirent les collants (Abena Air plus taille L2, repositionnables) et les placent en quinconce car la couche choisie est un peu trop grande pour mon tour de taille. De fait, comme les bords de la couche n'avaient pas été détachés, ils étaient restés collés à l'intérieur de la protection. J'ai alors presque l'impression de porter un insert rectangulaire. Une fois parties de la chambre, je réalise une inspection : je confirme du premier coup d'œil la mauvaise installation du change complet. Ses attaches étant, fort heureusement repositionnables, je déplie la couche, la replace correctement puis la referme. Me voilà correctement protégé, malgré un modèle de couche à faible contenance (l'échelle verte qui décore l'entrejambe, typique de ces Abri form, doit être limitée à 3100 ml), sans doute pour compresser les frais d'hospitalisation.

Voilà, j'ai essayé de restitué le plus fidèlement ce qui m'est arrivé.

A vous lire !

La chose la plus humiliante est quand ma compagne m’engueule à cause de l odeur !

Je file direct à la douche et me remet une couche propre , avec un plug en guise de punition.

Oui l'odeur sur soi ou dans la poubelle en attente de ramassage, c'est un problème !

Oui l'odeur sur soi ou dans la poubelle en attente de ramassage, c'est un problème !

Pour avoir visité plusieurs fois le local à poubelles de la résidence sénior où habite ma mère, je confirme pour l'odeur caractéristiques des couches, pleines... Mon fils qui avait commencé des études d'infirmier et fait des stages en ehpad a eu un petit flash back de souvenirs pas très agréables en visitant ce même local.

Je m’arrange pour faire dans la couche les moments où je suis seul.

J aime par exemple dans mon jardin passer la tondeuse ou bricoler dans une couche vraiment bien pleine ! Je me retiens la veille et lache tout une fois dans le jardin le lendemain , quelle plaisir …..

et quel moment honteux si ma compagne passe à coté et me dit que je sens pas bon …