Quelques jours après mes 16 ans, j'ai une violente douleur dans le bas du ventre. Ca persiste, persiste, ça dure longtemps...Je me rends chez mon médecin, celui qui m'a fait un toucher rectal et dont j'ai raconté les actions dans ce forum.
Il a diagnostiqué une appendicite et avec une lettre de recommandation de sa part, je prends rendez-vous chez le chirurgien recommandé par ce médecin. Je ne cherche pas trop. A vrai dire, n'ayant que 16 ans et sous la responsabilité de mes parents, ceux-ci agissent au plus vite, selon le souhait du médecin.
Le chirurgien me reçoit, mon père m'accompagne : fallait bien payer la visite !
Mon père et moi faisons face au chirurgien, qui m'interroge sur mon passé médical. Aux questions pointues concernant mon enfance, là, c'est mon père qui répond.
Me montrant les déshabilloirs qui lui font face, le chirurgien me demande, en me tutoyant, d'y aller me dévêtir. A ma question :
- [color=#888888]Qu'est-ce que j'enlève[/color] ?
Il répond :
- Mets-toi en slip, ça ira.
Je cherche à me dissimuler aux regards du chirurgien. Et de mon père aussi, étant extrèmement pudique. Je m'aperçois bien vite qu'il n'y a pas de porte. Le chirurgien qui a compris, me dit que ça ne sert à rien, une porte, puisqu'il voit les gens dévêtus à longueur de journée. Dont acte. Je me déshabille, me mets en slip, et je me rassoies à côté de mon père face au chirurgien. Mon père a eu la délicatesse de ne pas me voir me dévêtir, contrairement au chirurgien à qui je faisais face.
Celui-ci m'explique ce qui m'arrive, comment va se dérouler l'intervention. Puis, il passe à la consultation pré-opératoire. Pour ce faire, il me demande de passer dans la pièce à côté.
En effet, ce cabinet médical est immense et est situé à l'intérieur même de la clinique où je vais être opéré. La pièce où se trouve le bureau du médecin, là où il nous a reçu est grande. Sur le côté gauche, se trouve une autre pièce, plus petite : c'est là-dedans que se font les consultations. Mon père n'est pas autorisé à m'y accompagner.
Suivant les consignes du médecin, je monte sur la table d'examen et j'attends le chirurgien, allongé et en slip.
Celui-ci arrive quelques instants plus tard. Il m'examine sommairement les glandes du cou, la poitrine. Il descend sur mon ventre, sur lequel il tape avec son poing, en différents points, sans me faire mal.
Puis il dit :
- Attention les fesses !
Et il tire sur mon slip, violemment. Il me l'arrache, il n'y a pas d'autre mot et le jette par dessus son épaule.
J'étais super géné. Mais, comme c'était un professionnel, j'ai laissé faire. Surtout qu'il a continué en disant :
- Comme ça, on voit beaucoup mieux !
Mais au lieu de s'intéresser à mon appendicite, et c'est ce qui m'a surpris, il a pris un malin plaisir, dirais-je, à palper mes testicules ! Il m'a même fait écarter très largement les jambes, pour qu'il puisse agir plus amplement. J'étais géné, je ne savais plus où me mettre. C'est pour cela, peut-être, qu'il a interdit à mon père de venir avec moi dans cette pièce !
Et il a trituré mes coucougnettes un long moment ! Ca m'a paru être une éternité. Il commentait ses gestes en disant :
- J'y vais tout doux. Doucement. Je ne te fais pas mal. Voilà, c'est bien, j'ai presque fini. Chut.
Et il est reparti de plus belle, certes, avec plus de douceur et de délicatesse.
J'avais hâte que cela se termine, je me sentais humilié ! J'ai une appendicite, pas un problème aux coucougnettes !
Quand il a eu fini, il m'a laissé comme ça et est allé rejoindre mon père. De là où j'étais, je l'entendais confirmer le diagnostic du médecin. Il fallait que je sois opéré le plus tôt possible. Puis, élevant un peu la voix et s'adressant à moi, il a crié :
- Tu peux te rhabiller et venir nous rejoindre.
C'est ce que je voulais faire, mais j'ai mis longtemps à retrouver mon slip.
En sortant de la salle d'examen, j'étais tout rouge de honte. Je titubais. Le chirurgien a rassuré mon père qui paraissait inquiet de me voir dans cet état.
- Ne vous en faîtes pas, j'ai du lui faire un peu mal. Tout va rentrer dans l'ordre !
[color=#993366][i]Tu parles. Si tu savais ce qu'il m'a fait, papa[/i][/color] !
Je me suis dirigé vers le déshabilloir pour me rhabiller. Le chirurgien a arrêté ma course. Je suis donc resté en slip, encore face à lui et à côté de mon père (qui ne m'avait plus vu en petite tenue, ni à poil, depuis l'âge de 11/12 ans).
Le chirurgien m'explique ce qui va se passer. Je ne l'écoutais même pas, j'étais sous le choc de la violence de son examen et de la rudesse avec laquelle il s'est acharné sur mes partie.
Je n'ai pas osé raconté à mon père ce qu'il m'a fait, d'ailleurs, il ne l'a jamais su.
Bref, quelques jours plus tard, je passe sur le billard. Je reste à la clinique une bonne semaine et le chirurgien me demande, à ma sortie, de revenir le voir un mois plus tard.
J'appréhendais ce rendez-vous post-opératoire. Je ne voulais pas y aller, mais je savais aussi que c'était important. Qu'il fallait évaluer l'état de la cicatrisation... J'ai fait part de mes réticences à mes parents, mais comme eux ne savaient pas pourquoi je ne voulais pas y aller...
Mon père m'accompagne, cette fois encore, bien que cette consultation post-opératoire n'était pas payante.
Le chirurgien me demande comment ça va, si j'ai repris mes cours, si je n'ai plus mal...
A ma grande stupeur, il me demande de me déshabiller " un petit peu ", précise-t'il (ce sont ces propres mots. Ca m'a tellement marqué que je m'en souviens encore, plus de 30 ans après !).
Je me lève pour aller dans le vestiaire.
Le chirurgien m'arrête :
- Pose tes affaires ici. Enlève le haut et passe dans la pièce à côté.
J'ai eu peur ; je croyais qu'il allait me faire tout enlever. Et devant mon père, qui plus est !
Gardant mon pantalon, je monte sur la table. J'entends mon père et le médecin s'entretenir.
Quelques minutes plus tard, le chirurgien vient me retrouver. Il murmure à peine :
- Finalement, enlève le pantalon, ce sera bien mieux !
Je redescends de la table et pose mon pantalon quelque part.
Le chirurgien m'inspecte : il examine mon ventre, tapote pour voir (m'explique-t'il) s'il n'y a pas trop de gaz, d'aérophagie. Puis il me demande de soulever mes fesses, ce que je fais sans rechigner, en pensant que c'était pour un autre examen.
Et là, encore une fois, le chirurgien met à l'air mon appareil génital, sans me retirer totalement le slip, comme l'autre fois. Mais il me l'abaisse jusqu'aux genoux et se livre à une nouvelle palpation des mes testicules, moins violente et moins longue - en durée - que la première. Mais tout aussi désagréable !
La vue dégagée qu'il a sur mon anatomie lui découvre également l'état de la cicatrice, bien faite et qui s'estompera avec le temps. Le chirurgien est content de son travail et s'auto-félicite.
- Parfait, dit-il. Tu peux te rhabiller, tout va bien.
Il me remonte lui-même le slip, presque là où il était, et il me donne une petite claque sur la fesse ! Je remonte mon slip, mes fesses n'étant pas couverte et je descends de la table.
Je remets mon pantalon et je rejoins mon père, je finis mon rhabillage.
Le chirurgien nous rassure tous les deux, mon père et moi.
Je comprends que, de par sa position, il fallait que le chirurgien me fasse baisser culotte pour observer la cicatrisation. Mais pas autant ! A mon avis, ce n'était pas nécessaire. Tout comme ce deuxième examen des testicules, aussi minutieux, par deux fois, pour rien à mon avis, je trouvais que là c'en était trop.
Surtout que lorsque je suis entré à la clinique, avant et après l'intervention, c'est fou le nombre de fois où ce chirurgien est venu me voir et m'a mis à poil à chaque visite.
Je le raconterai prochainement.