André stages SM et ABDL réciproque
Il proposait dans son annonce sur www.fessestivites.com de recevoir pour des rencontres SM et ABDL avec de vraies contraintes du type camisole et Segufix pour homme et femmes.
Maîtresse Martine (ma Maîtresse que j’aime à la folie) m’ayant donné la permission de le contacter et approuvant mon idée, comme sa fiche indiquait switch, l’étant également je lui ai proposé de venir passer deux jours à la maison en tant que soumis puis que je monte ensuite chez lui pour être à mon tour sa victime.
Nous avons fait connaissance via le site puis échangé via la messagerie. Après plusieurs échanges il m’a donné son tel et lors de l’entretien a accepté ma proposition !
Après quelques dizaines d’emails et deux entretiens téléphoniques nous connaissions nos limites respectives et désirs réciproques. André est donc venu passer un week-end à la maison. Récupéré à la gare, dès qu’il est monté dans la voiture son stage a commencé. En cours de route nous nous sommes arrêtés dans un endroit tranquille pour que je lui bande les yeux avec des lingettes démaquillantes et un bandage médical, dispositif nous permettant de ne pas nous faire repérer et de démarrer tout de suite. Déshabillé et menotté dès sa descente de voiture, je me suis éclaté à jouer sur ses craintes en le faisant mariner une heure attaché comme un chien avant de le martyriser.
Martyriser est un bien grand mot, car il bandait comme un fou quoi que je lui fasse, chose rare dans les séances SM. Fouetté longuement mais avec des coups dosés afin de pouvoir jouer la durée, il se dandinait comme une gamine qui a envie de faire pipi. Hé hé,…
Attaché sur le dos sous le noyer avec les jambes relevées, j’ai lesté son sexe en attachant un poids à son gland. En appuis sur ses épaules avec les jambes en l’air son sexe pointant sur son visage il allait s’inonder tout seul ce qui me permettrait de le traiter de gamine sale et de lui imposer le port de la couche. Son cul ainsi relevé, devint ma cible. Après lui avoir injecté deux clystères, la pose d’un « bouchon » devint nécessaire pour éviter les fuites. Lorsque je lui ai enfoncé un gros blug (avec préservatif et lubrifiant) il a commencé à se faire dessus en me traitant de salaud. Bien que cette insulte n’en est pas une lorsque l’on délire entre joueurs elle fut grandement sanctionnée…..
Pendant ses deux jours chez nous, (Maîtresse Martine l’ayant aussi un peu martyrisé) il n’a jamais vu le jour ni trouvé une seconde de liberté et j’ai tout fait pour lui faire vivre ce qu’il désirait. Il voulait de la contrainte et des couches, il a été servi….. Uro, nuits en couche, fessées multiples, fouet, gode-ceinture, lavements, entraves 24/24, humiliations multiples et utilisations répétées de sa bouche et de sa langue.
Malgré tout ce qui nous lui avons fait subir, il nous a trouvé zen ! ! !
………………….. Le match retour……………..
Comme convenu, quinze jours plus tard je me suis présenté le vendredi soir chez lui pour le match retour avec l’estomac noué au moment de sonner. La peur au ventre et en sueur je me suis retrouvé face à André affichant un sourire banane.
« A poil » fut son premier mot de bienvenue puis « tu parles trop » son second lorsqu’il m’a mis une cagoule en cuir avec un gros bâillon détachable et percé. Son matos n’ayant rien à voir avec le notre, essayer de recracher la boulle était inutile….
Conduit à l’aveugle dans une cave, il m’a fait étendre sur une sorte de couchette métallique froide et surélevée avant d’entraver mon buste et mes bras. Là, j’étais fait comme un rat. Je ne sais de quel dispositif il dispose sur cette table mais ma tête a également été fixée m’interdisant tout mouvement. Au bâillon il a fixé quelque chose que je n’ai pu voir mais qui ressemblait à un tube au bruit que faisait ma respiration.
J’ai compris que sa couchette métallique était sophistiquée quand après avoir posé des bracelets à mes chevilles et relevé puis ouvert mes jambes en V il a retiré le bas de la couchette. Mon cul ne pouvait lui être plus offert….
Des bruits de coups et de chaînes me permirent de comprendre que nous n’étions pas seuls. Un mec s’est mis à me tailler une pipe puis à me lécher le cul avec une application certaine. Comme je venais de me taper quatre heures de TGV, ce soumis devait en apprécier les odeurs fortes et le goût ce qui m’inquiéta grandement car je ne suis pas scato du tout. Pendant qu’il me bouffait littéralement le cul, André posa des pinces assez hard à mes tétons. Ouf….
Quelques minutes plus tard, une bite se posa à l’entrée de mon cul bien nettoyé et en pris possession sans trop de ménagement. Passé le temps d’adaptation et les petites douleurs, j’avoue que je me suis bien éclaté et que ce faire prendre ainsi aveuglé et attaché est bien bon. La problématique est arrivée sans tarder alors que j’étais dans les alléluias d’une bonne défonce avec un liquide chaud entrant dans mon bâillon. Quand j’ai compris ce que c’était, j’ai essayé d’avaler le plus vite possible, si André ne m’avait enculé comme un malade en jouant avec mon service trois pièces j’aurai sûrement vomi mais pris dans la tourmente c’est passé. Mal, mais c’est passé.
Cet enfoiré m’a demandé si j’avais apprécié son pastis ! Si je n’avais pas été bâillonné je l’aurais probablement insulté ce qui, dans ma condition, aurait été une grave erreur nous en conviendrons. Par gentillesse il m’a lavé la bouche en me donnant un peu d’eau. Même si j’aurai préféré un bon pastaga, j’ai bien apprécié comme on peu s’en douter. Je n’ai pas aimé sa douceur pour retirer les pinces à seins. Retirées sans précautions, elles m’ont fait un mal de chien ce qui m’a valu d’être traité de « chochotte ».
Mon anus assoupli n’eut aucun mal à prendre un blug gonflable servant de ballon. Il le gonfla grandement avec des commentaires peux élogieux lorsque je commençais à gémir. Je ne sais combien de litre il m’a mis, mais j’ai eu l’impression que le lavement n’en finissait plus tant mon ventre se révoltait. Je devais être seul à ce moment là car je n’ai entendu aucun commentaire. Une heure plus tard (environ puisque sans montre ni possibilité de voir) il est venu me soulager du lavement. Les adeptes du lavement savent qu’il faut un moment pour tout rejeter et André ne pouvait pas ne pas le savoir. L’enfoiré ! Une fois nettoyé, il mit des trucs dans mes fesses puis me demanda de les soulever pour me mettre une énorme couche.
Au vue de l’épaisseur de ce que j’avais entre les jambes, je pense qu’il m’en a mis plusieurs ou a ajouté des inserts avant de délier mes jambes pour m’enfiler une culotte en plastique. Le bas de la table a retrouvé sa place pour que je puisse être allongé confortablement si je puis dire. Entravées dans des sangles larges, mes gambettes ne risquaient pas de bouger une fois qu’il eut fini de m’entraver. En guise de repas du soir, il me souhaita bonne nuit ce qui démontre qu’à Paris, le savoir vivre est différent que dans le sud.
Seul et au calme, j’ai enfin pu soulager ma vessie ce qui, au vue de ce qui avait été vécu et de mes délires sous entraves, fut très jouissif. Combien de temps ai-je dormi je ne saurai le dire mais quand André est venu me libérer des entraves et du bâillon pour me forcer à me mettre à quatre pattes pour boire du café et manger un croissant comme un chien cela me fit penser que nous étions déjà samedi matin.
(Il n’en était rien mais à cet instant je ne pouvais pas le savoir. André jouait la désorientation totale en me faisant déjeuner vers 22 heures).
Une fois le p’tit déjeuné terminé, je me suis retrouvé dans un pilori avec ma grosse couche bien lourde. Deux voix se firent entendre et la bite d’un des propriétaires des voix trouva sa place dans ma bouche. Le matin au réveil, je trouvais à limite. Quelqu’un retira ma couche et trouva cela dégueulasse ce qui me gêna un peu et lui valu quelques coups pour son commentaire. Lavé sans ménagement, mon derrière était donc propre et disponible de par ma position. J’ai pris la fessée de ma vie !
Pour que j’arrête de ruer, ils m’ont mis des barres d’écartement aux chevilles et s’en sont donné à cœur joie. Padle ou raquette ou ???? je ne saurai le dire mais ce fut rude bien qu’au bout d’un moment la douleur sembla devenir plus supportable. J’avais le cul en feu et c’est au milieu de cette fournaise qu’une bite est venue se « réchauffer » pendant qu’une autre occupait ma bouche. Un soumis entrepris de me tailler une pipe ce qui cumulé à tout ce qu’il m’arrivait commença à me « troubler » grandement mais hélas, elle ne dura pas suffisamment longtemps pour que j’accède à la jouissance contrairement au mec derrière moi. GRRR
Ils l’ont couché sur mon dos et attaché à moi pour le fouetter copieusement au vue de ses contorsions. La séance SM du p’tit soumis terminé il fut fisté pendant que les millions de fourmis naviguaient sous mon épiderme fessier. A nouveau mis en couche et attaché sur la table, je fus abandonné fort longtemps. Pendant ces longues périodes d’isolation, on dort beaucoup entre les moments de lucidité. On perd tous ces repères, on est dans un autre monde c’est d’ailleurs pour ça que je n’ai pas compris pourquoi j’avais droit à un deuxième petite déjeuner.
La journée ou nuit suivante (je n’avais plus du tout de repère temps) fut consacré à ma dilatation anale et à mon apprentissage de l’uro avec le port prolongé de ma couche pleine d’urine sur la figure. Bien que je lui ai indiqué ne pas être adepte du CBT, mes couilles furent également suppliciées très longtemps et lestées longuement lors des périodes où j’étais attaché debout ou sur un sling.
L’anus, les seins et le service trois pièces malmené aussi longtemps et de façon répétée, je n’en pouvais plus. Lorsque j’ai demandé en y mettant toute les formes d’usage il m’a obligé à le boire en guise de réponse. J’ai beaucoup souffert mais il est parvenu à me conduire à ce qu’il voulait. Sous camisole de force, aveuglé, avec des pinces à seins cruelles, un dispositif écrasant les couilles, accompagné dans les réflexions à coups de martinet j’ai fini par ouvrir la bouche et à chercher son sexe. Le boire et avaler au plus vite (sans en faire tomber) pour être libérer de toute urgence des pinces et de l’écrase couilles était pour moi un impératif.
Cet enfoiré avait un autre projet, me faire jouir dans la douleur. Au lieu de me libérer une fois que j’ai eu fini de boire son champagne dégueulasse, il m’a entravé sur sa putain de table et m’a logé un gode dans le cul. Quand le gode s’est animé, j’ai compris qu’il disposait d’une machine à baiser. Oh mon dieu ! Attaché sur le dos, sous camisole de force et avec les jambes à nouveau attachées en V, j’étais mal parti. Combien de temps cela a durée ? Je ne saurai le dire mais j’avais à la fois mal partout et c’était bon. Je devenais fou sous les mouvements de la machine qui s’accélérait. (Ou qu’il accélérait)
C’est arrivé comme ça sans prévenir, mon corps s’est mis à convulser, les douleurs toujours présentes sont devenues agréables, ou différentes, j’avais envie de toujours plus, que cela continue des heures, j’étais dans un autre monde. Tout mon être n’en finissait plus de jouir, j’aurai voulu que cela dure des heures. J’ai cru mourir dix fois d’une mort étrange faite de plaisirs, de douleurs, de jouissances, de….. C’est une paire de gifles qui m’a réveillé.
Libéré de tout, j’ai été mis en couche et enfermé dans une cage dans laquelle j’ai trouvé la paix et le bonheur avec le sommeil qui m’a terrassé jusqu’au lendemain.
Mon réveil fut particulier. Toujours menotté et dans la cage, mon esprit délirait je me voyais abusé et martyrisé encore et encore avec une alternance de souffrances extrêmes et de jouissances extrêmes. André m’a tiré lentement de cette torpeur en me libérant des menottes puis en me donnant un biberon de café que j’ai bu avec un plaisir incommensurable. Il était souriant quand il a ouvert la cage d’où je ne suis pas sorti tout de suite, un peu comme si j’étais dans mon antre derrière les barreaux.
Petit à petit je suis revenu sur le plancher des vaches, je suis sorti de la cage et j’ai eu le droit de m’asseoir normalement. Au bout d’un moment il m’a aidé à me relever puis à monter les escaliers de la cave pour aller prendre une douche pendant laquelle il ne m’a pas quitté. Mes affaires m’attendaient dans sa salle de bain. Avec la douche elles m’ont permis de revenir totalement à la vie « civile » et de comprendre que le week-end était terminé. Autour d’un repas qu’il nous avait préparé nous avons longuement discuté de tout ce qu’il m’a fait vivre (et subir) avant qu’il ne me raccompagne en voiture à la gare de Lyon pour que je prenne mon train.
Ce fut pour moi une expérience inoubliable, difficile certes mais inoubliable pendant laquelle j’ai appris beaucoup de choses sur la domination.
Je remercie grandement ma Maîtresse de m’avoir permis de vivre cette aventure.
Polisson
CETTE HISTOIRE est le fruit de mon imagination SAUF QUE, il n'est pas impossible que je la vive un jour car nous recevons effectivement des couples d'amis joueurs comme nous. ET l'idée de stage réciproque.....
Affaire à suivre
TSM (Actuellement en mode Maître avec une superbe et adorable soumise que nous dominons avec mon épouse)