Comme je l'ai dit à plusieurs reprises, mon généraliste est une jeune femme, qui doit avoir quelques années de moins que moi. Je pense qu'après en avoir parler sur ce site, il est temps que je m'attarde un peu sur sa pratique professionnelle.
J'ai découvert ce médecin, un peu par hasard. J'ai déménagé voici 4 ans, et comme par hasard, le médecin traitant qui me suivait jusque là, a cessé son activité. Au cours de ma dernière consultation avec lui, je lui ai demandé de me recommander d'autres professionnels de son acabit. Il me mit par écrit une petite liste de 3/4 noms, et le premier sur la liste, était une femme.
Changer pour changer, j'ai arrêté mon choix sur la première personne de la liste, cette femme, donc, que j'appelerai dr Isabelle. Mon médecin, avant de prendre définitivement congé de moi, me remet mon dossier médical, à transmettre à mon nouveau médecin. Tout changeait pour moi, je passai d'un médecin homme à un médecin femme. Pour la première fois, mon généraliste sera une femme !
Quel pied !
Premier rendez-vous au cabinet de cette généraliste, premier contact visuel, aussi. Elle me paraît jeune (elle l'est en fait, plus que moi), elle est jolie et un peu sexy sur les bords.
Je n'allais pas tarder à vérifier tout cela.
Lors de ce premier rendez-vous, nous n'avons eu qu'un échange. Elle a créée mon dossier sur son ordinateur, en fonction du dossier médical de mon ex-médecin. Elle a noté les principaux éléments médicaux qui y figuraient, les allergies, les antécédents...
Puis, elle me posa des questions de tous ordres. Elle s'étonna que mon ex-médecin n'ait rien fait pour ma prostate. Je lui ai expliqué, qu'étant jeune encore (il s'agit de moi, cette fois), mon ex-médecin a préféré attendre et différer une éventuelle intervention. Il m'avait dis à plusieurs reprises de patienter encore 8 ou 10 ans... Et après, on verra !
Isabelle a bondi de sa chaise en me disant qu'il fallait s'occuper au plus vite de cette satanée prostate, que je ne pouvais pas vivre ainsi, que je gagnerai en confort de vie...
Et aussitôt, elle est passée à la consultation, proprement dite.
Pour ce faire, je n'ai retiré que le haut, j'ai gardé mon pantalon ! Elle a écouté mon coeur, mes poumons et m'a pris la tension. Puis elle m'a pesé, tel que j'étais.
Je ressors de là avec toute une floppée d'examen à faire pour surveiller et contrôler la prostate.
Durée de la consultation : 20 minutes. Elle m'avait prévenu quand j'ai pris rendez-vous. Je suis toujours en retard, m'avait-elle avoué. Je comprends maintenant aisément pourquoi vu le temps qu'elle m'a consacré !
J'ai senti le courant passer, entre elle et moi. J'ai compris que je pouvais lui confier certaines choses, la mettre dans la confidence au sujet de mon travail, de ma vie familiale, etc...
Commençait à germer en moi, l'idée, qu'elle pourrait me faire un examen tout nu.
J'en révais. Je savais qu'avec mes ennuis de prostate, un jour ou l'autre, elle allait me demander de retirer mes sous-vêtements.
J'attendais ce moment avec impatience, mais avec peur aussi.
Je retourne la voir, une fois accompli tous les examens demandés. Je me demandais si cette fois serait la bonne, si elle allait me mettre tout nu !
Une nouvelle fois, ce fut non. Elle ne m'a même pas dévêtu, je n'ai absolument rien ôté.
Quelle déception !
Et à chaque fois, ce fut la même pensée qui me traversait l'esprit. J'ai été même jusqu'à imaginer un faux mal dans les testicules pour qu'elle me déshabille, mais là encore, rien ne s'est passé.
Vint le jour où enfin, suite à des maux de dos, elle m'a fait mettre en slip. J'étais heureux, ce jour-là...J'allais être examiner avec presque rien sur moi. Peut-être va-t'elle me baisser le slip !
Ce fut merveilleux, car je me suis allongé sur la table et elle s'est tenue près de moi. Je savais qu'elle me regardait... Je me sentais bien ! J'aurais voulu que le temps s'immobilise !
Puis, elle m'a fait assoire sur cette même table, et elle est venue se coller contre moi, sur mon flanc gauche. Je sentais sa chair contre la mienne, par-dessus sa jupe. Je voyais ses mains courir sur mon corps...Elle m'a presque enserré dans ses bras quand elle a passé son stétoscope derrière mon dos. J'ai pu jeter un oeil furtif sur la courbe naissante de sa poitrine généreuse recouverte par un joli bonnet noir en dentelle fine. Elle était tellement près de moi, que j'ai pu sentir son parfum, moi qui ai pourtant les sinus bouchés et qui suis insensible à toute odeur. Elle était si proche de moi, que je partageais le même air qu'elle.
Elle a testé mes réflexes avec un petit coup de marteau sur mes genoux dénudés.
Toujours dans la même position, elle m'a fait faire quelques mouvements d'étirements et d'élongations...
Puis, je me suis levé de la table, et j'ai recommencé ces petits exercices en position debout.
Puis fin la phrase fatale :
- Vous pouvez vous rhabiller !
Cette phrase a brisé comme verre, mon sentiment de bien-être, de bonheur intime que je venais de vivre.
Comme mes habits gisaient sur une chaise face à elle, je me rhabille devant elle, avec un plaisir non dissimulé et de façon ostentatoire. J'ai fait exprès de claquer l'élastique de mon slip, que j'ai remonté de quelques centimètres. J'ai, toujours face à elle, repositionné mon slip par devant, en réajustant l'élastique entre les jambes.
Je crois qu'elle m'a vu faire, elle a esquissé un sourire à ce moment, et ce sourire, en disait long.
Quand je me suis rhabillé et que la consultation prit fin, elle me remit une ordonnance.
Mais nous avons poursuivi la conversation, qui n'avait, maintenant plus rien à voir avec la médecine.
Le plateau de son bureau est formé d'une longue plaque de verre, sur laquelle son posés son ordinateur, son agenda, les courrier qu'elle reçoit, etc... A travers cette plaque de verre, on peut voir, quand on est assis bien face à elle, ses jambes, qu'elle croise et qu'elle décroise.
La chance a voulu que ce jour-là, il fasse beau. Par conséquent, le docteur Isabelle, était en jupe, très courte. C'est vrai aussi, comme je l'ai dit plus haut, que ma généraliste, est sexy. Elle a toujours ou souvent, des décolettés pigeonnants, voire vertigineux.
Au cours de notre entretien où nous avons parlé de tout et de rien (le patient suivant étant en retard et nous avons eu, par ce fait, beaucoup de temps).
Son téléphone se mit à sonner. Pour pouvoir répondre, elle s'est écarté de son bureau sur son fauteuil à roulettes pour décrocher le combiné.
En décroisant ses jambes, j'ai aperçu alors, ses dessous !
Après tout, juste retour de bâton : elle venait de me voir en slip, pouquoi n'aurais-je pas eu le droit moi aussi, de voir ou d'apercevoir, sa petite culotte ?
J'étais heureux, ce jour-là !
Quand elle a raccroché le téléphone et que notre conversation reprit, j'ai eu une deuxième vision sur sa petite culotte.
Deux fois à quelques minutes d'intervalle, quel bonheur !
Durée de cette consultation, au bas mot, 3/4 d'heure.
J'attends toujours le jour où je serai entièrement nu devant elle !