J’avais 22 ans, convoqué pour un examen médical systématique dans le suivi des étudiants, je devais me rendre dans un centre externe à la Faculté.
Le rendez-vous avait lieu en fin d’après-midi, retour à la maison pour prendre une douche. Je m’habille en vitesse pour ne pas être en retard : dessous en coton, tee-shirt et jean car c’était au printemps.
Arrivé au centre le lieu était austère : un secrétariat, un hall avec des sièges style Sécu et plusieurs portes.
Je m’annonçais au secrétariat, on me dit de m’asseoir ; il y avait d’autres jeunes filles et garçons.
Après 30 min, une femme en blouse blanche, assez jolie, la trentaine, sortie d’une des portes m’appela.
Je sursautais, un peu stressé mais sans plus. J’étais à mille lieux d’imaginer ce qui m’attendait.
Je me dirigeais vers elle :
-Bonjour, je suis Nathalie, une infirmière du centre, entrez dans cette cabine et mettez-vous en sous-vêtements.
Je pénétrais dans la cabine ou il y avait deux portes, des portes- manteaux et un tabouret et me mis en pantalon, j’enlevais juste mon tee-shirt.
Une porte s’ouvrit et Nathalie apparu :
-Je vous ai dit en sous-vêtements, alors enlevez-moi ce pantalon !
Le ton étais sec et je retirais mon jean sous son regard : me voilà donc en slip et chaussettes de tennis.
-Suivez-moi dit Nathalie ;
Elle me conduisit dans une grande salle carrelée de blanc avec deux tables d’examen dont une à étriers, une toise, une balance, un lavabo, des WC sans porte ni cloisons et des armoires vitrées avec de nombreux accessoires médicaux et produits.
Nathalie me fit asseoir sur une chaise, ouvrit une porte et dit :
- Docteur, l’étudiant suivant est là !
Je vis entrer à ma grande surprise, 2 filles plus jeunes : une blonde aux cheveux longs attachés et une brune encore plus jeune aux cheveux mi- longs
-Bonjour, je suis le Médecin dit la blonde et voici Léa, une étudiante en médecine en stage.
Asseyez-vous devant le bureau tandis qu’elle et Léa prenaient place derrière.
Elle saisit un formulaire et me posa les habituelles questions administratives et médicales sur mes antécédents.
Puis elle me demanda de la suivre jusqu’à un tabouret, où elle me fit asseoir pour l’examen oculaire, la palpation du cou et la prise de tension.
Elle me fit lever pour l’auscultation du cœur et des poumons, elle donna le stéthoscope à Léa pour faire de même, le parfum de la jeune étudiante me troubla alors que sa tête était légèrement penchée vers mon visage.
-Je le trouve un peu tachycarde dit Léa mais sinon ça va.
-Merci Léa, je suis d’accord avec votre examen, dit la doctoresse.
Elle s’assit à nouveau sur le tabouret puis me fit pencher en avant pour l’examen de la colonne vertébrale en baissant à peine mon slip sur mes fesses
-Parfait, venez voir Léa !
Je sentis alors la douce main de Léa suivre ma colonne vertébrale jusqu’à la naissance des fesse. J’avais très chaud !
- Bien, redressez-vous dit la doctoresse et tournez-vous vers moi.
Sous le regard des 2 autres filles elle tira sur mon slip pour le baisser sous mes testicules après avoir enfilé une paire de gants en latex.
- Nous allons commencer par une simple inspection : au fait je ne vous ai pas précisé que Léa se destine à L’Urologie, elle est déjà interne , rajouta la doctoresse !
Léa devait être plus âgée que ce que je pensais, J’étais de plus en plus tachycarde et un peu inquiet pour la suite.
Elle saisit mon pénis et l’examina puis palpa les testicules.C'est alors qu'elle se tourna vers l'étudiante.
- Mettez des gants Léa et prenez ma place »
Léa s’exécuta : assise sur le tabouret elle attendait les instructions !
- Vous allez décalotter ce jeune homme et examiner le gland, le méat urinaire et le sillon prépucial .
Léa me regardait et dis : « ce slip me gêne un peu », et avec autorité elle le fit descendre sur mes genoux.
Alors, d’une main ferme, elle tira sur mon prépuce, lentement et le gland apparu. Le décalottage fut complet. Elle regarda attentivement puis avec ses deux pouces elle écarta doucement le méat puis termina par un examen du sillon entre la peau rétractée et le gland.
Elle conclut :
- Je ne vois rien d’anormal
- Bien, dit la doctoresse mais nous reverrons cela tout à l’heure .
Je me recalotais en vitesse et remontais mon slip. Léa avait rejoint la doctoresse à son bureau, elle remplissait sa fiche d’examen soigneusement.
Toujours assis sur le tabouret, dos à un mur on entendait des voix dans la pièce voisine.Je collais discrètement ma tête contre le mur.
C’était une voix de femme très autoritaire qui donnait une injonction :
- Mademoiselle, cela suffit je vous ai dit de retirer votre culotte et de vous allonger sur cette table en écartant grand les cuisses.
Une étudiante venue pour la visite faisait manifestement de la résistance.
J’écoutais toujours, le plus discrètement possible, bien que les murs soient fins :
- C’est mieux.
Cette doctoresse dictait ses conclusions à une infirmière :
- La vulve est normale, le clitoris se décapuchonne bien, le méat urinaire est parfait .
L’Etudiante ne disait mot.
-Je vais vous faire un toucher vaginal, suivi d’un toucher rectal .
Cela devenait intéressant !
Mais la voix de « ma » doctoresse me rappela à la réalité :
- Je suppose qu’avec votre convocation vous avez reçu le formulaire concernant l’échantillon d’urine à apporter et le lavement rectal à faire avant la visite ?
Je répondis par la négative.
- Cela est bien ennuyeux, dit-elle.
Je proposais donc de reprendre rendez-vous pour un nouvel examen, mais elle me coupa sèchement la parole !
- Ecoutez jeune homme, nous sommes surchargés par ces examens à la chaîne et nous n’avons pas de temps à perdre, vous allez donc uriner ici et Nathalie vous administrera le lavement afin que nous puissions poursuivre .
Nathalie me donna un flacon et la doctoresse dit :
- Approchez-vous des toilettes, Léa et moi allons examiner votre jet pendant la miction.
Me voilà donc debout avec mon flacon, les deux femmes se tenant de part et d’autre des toilettes.C’était horriblement gênant. J’essayais de penser à autre chose afin de me relâcher :
- Alors ça vient ? , dit la doctoresse.
Enfin un peu d’urine se mit à couler dans le flacon que je donnais à Nathalie, puis j’urinais à grand jet sous le regard des deux femmes. Léa fixait mon pénis en disant :
- Voilà, ça n’est pas difficile, vous avez un très bon jet .
Je me rajustais, quand Nathalie me dit :
- Par ici pour le lavement .
Elle tenait à la main un flacon de Normacol. Elle me fit mettre à genou sur la table d’examen, baissa mon slip et je sentis la canule me pénétrer et le liquide m’envahir le rectum. Puis elle retira le flacon remonta le slip et dit qu’il fallait que je serre les fesses le plus longtemps possible.
Je suppliais alors de pouvoir évacuer dans des toilettes plus intimes.
Avec l’accord de la doctoresse Nathalie m’accompagna vers des WC avec portes, cloisons et verrou en me disant de faire vite.
Je relâchais mon sphincter et me vidais totalement le rectum.
Je revenais vers la salle d’examen, anxieux pour la suite
La doctoresse me fit asseoir face à elle et me dit :
- Nous allons procéder à l’examen rectal qui va se dérouler en quatre phases : debout, accroupi, à genou puis sur table gynécologique ou nous procéderons à nouveau à un examen de tout le pelvis.
J’étais paniqué, je voulais protester mais la doctoresse me signifia qu’il valait mieux accepter.
-Bien, allez vers la table d’examen et penchez-vous en avant coudes sur la table, je ferais un premier toucher rectal général, puis Léa me succèdera pour me donner sa description et je reviendrai pour confirmer ou non ses impressions, et ce à chaque fois. Est-ce clair ?
Je dis un « oui » inaudible en me dirigeant vers la table, suivi de la doctoresse et de Léa. Nathalie apporta une table à roulettes métalliques où je pus entrevoir une boîte de gants en Latex, un pot de vaseline car à l’époque le K-Y n’était pas sur le marché, des anuscopes et autres instruments inquiétants.
Alors que je me penchais sur la table, je sentis mon slip glisser sur mes chevilles :
- Ecartez les jambes et cambrez-vous, ordonna la doctoresse.
Elle mit son index dans la vaseline et l’appliqua sur mon anus serré.
- Il faut vous relaxer, et je pense que nous allons nous débarrasser de ce slip qui nous gêne .
Nathalie se baissa et enleva mon slip qu’elle posa sur le tabouret.
- C’est mieux, écartez vos jambes et penchez-vous le plus possible.»
L’index commença sa lente pénétration.La doctoresse disait que mon anus était serré mais elle parvins à introduire deux phalanges. Elle me dit de respirer pendant qu’elle fouillait mon intimité.
Elle se tourna vers Léa déjà gantée, retira son doigt et sans mot dire Léa vins se placer derrière moi
-Léa en introduisant votre index, vous allez demander à ce jeune homme de pousser comme pour aller aux toilettes.
Léa posa son index et débuta l’examen.Elle avait un index fin et long.
Passé la première phalange elle m’ordonna de pousser. Je m’exécutais et je sentis le doigt glisser en totalité.
Léa débuta l’examen, elle palpait le rectum puis la prostate, son autre main était posée sur mes reins et me forçait à me cambrer. Sa tête était penchée sur moi et je percevais son souffle chaud sur le bas de mon dos. Elle commentait toutes les étapes puis se retira. J’allais me redresser quand la doctoresse me dit :
- Vous avez-déjà oublié le déroulement de l’examen ? Alors penchez-vous à nouveau et écartez les jambes, vous allez pousser dès que mon doigt touchera votre anus !
Je poussais donc et sentis l’index de la doctoresse s’enfoncer d’un seul coup et en totalité dans mon rectum, elle en fit le tour et palpa la prostate en félicitant Léa de ses conclusions
Et voila la suite 😉
L’étape suivante consistait en un examen, accroupi sur la table, mains contre le mur et jambes écartées. On me fit retirer mes chaussettes et je grimpais sur la table. La position "en canard" était humiliante mais je compris qu’elle relâchait les sphincters.
Le doigt de Léa se présenta par en dessous, je poussais à son contact et l’introduction se fit brutalement et totalement. Léa poussait son doigt au maximum tout en palpant le rectum vers le haut.
- Ça va ? dit-elle.
Je répondis oui, alors elle poussa un peu plus en m’ordonnant de pousser plus fort comme pour déféquer. Elle se retira et sans avoir le temps de bouger, le doigt de la doctoresse prit le relais suivant une manœuvre identique.
- Allez jeune homme, on reste bien accroupi et on pousse .
Ce doigt était vraiment long et la main vint buter sur mon périnée.
- Je sens des matières au bout de mon doigt, je pense qu’un nouveau lavement s’impose pour la suite.
Nathalie exécuta les instructions et m’administra deux flacons à la suite. Je me dirigeais vers les WC fermés mais la doctoresse m’interrompit :
- Non, vous allez évacuer devant nous car je veux être sûre du résultat.
Je m’exécutais, sur les WC ouverts, en fermant les yeux, Léa tout à coté de moi, la docteresse face à moi . On me tendit du papier toilette et la doctoresse regarda la cuvette :
- Cela me semble parfait, remettez-vous accroupi afin de vérifier.
Je repris ma position, accroupis sur la table et poussais tandis que l’index s’enfonçais au maximum.
- Voilà qui est mieux, vérifiez Léa .
Nouveau toucher et Léa confirma la vacuité rectale.
- Nous allons maintenant procéder à l’examen sur table, en position genu-pectorale.
Nathalie m’installa à genou, fesses en l’air, tête tournée vers le mur.
- A vous Léa, commencez par dilater l’anus car la pénétration est plus difficile dans cette position !
Léa posa son index lubrifié sur mon anus, m’ordonna de me cambrer et enfonça une phalange. Cette fois c’était plus douloureux, je compris qu’elle introduisait deux doigts en me demandant de pousser à nouveau, son autre main faisait cette fois pression sur mon abdomen.
Les deux doigts furent introduits et elle resta ainsi une bonne minute, puis se retira.
- Nous allons faire un examen au rectoscope, dit la doctoresse.
Elle se plaça derrière moi, pratiqua un toucher profond pour lubrifier puis enfonça le rectoscope au fond de mon rectum, elle retira le mandrin et examina en profondeur à l’aide d’une lampe.
- Petites hémorroïdes internes mais rien d’autre à priori . A vous Léa.
Je pensais qu’elle allait garder le rectoscope en place pour Léa mais elle remit le mandrin et le retira.
- Allez Léa, prenez un rectoscope jetable et procédez à l’examen.
A nouveau, Léa enfonça son index lubrifié dans mon rectum puis enfonça le rectoscope au maximum.
Elle faisait pivoter l’appareil afin d’avoir une bonne vision à l’aide de la lampe sur pied. Elle commenta, reparla d’hémorroïdes puis retira le rectoscope d’un seul coup.
- Une zone me semble bizarre en haut et à droite dit-elle en regardant la doctoresse.
- Vérifions cela .
Et j’eus droit à un nouveau toucher profond qui s’attarda sur la zone qui intriguait Léa.
- Je ne sens rien de particulier, mais nous reverrons cela en position gynécologique.
Elle s’éloignait vers le bureau pour noter les observations sur ma fiche
A ce moment, la porte principale s’ouvrit et l’infirmière de la salle voisine apparut. Elle était menue, blonde avec de grands yeux verts. Elle me regarda rapidement avec un sourire goguenard et dit :
- Docteur, le docteur Stéphanie voudrait votre avis à côté.C’était la salle de l’étudiante récalcitrante.
- J’arrive.
Elle m’autorisait à remettre mon slip, en attendant son retour et me laissa seul avec Léa.
A peine sortie, Léa nota quelque chose sur un morceau de papier et alla le glisser dans mon jean resté dans le box de déshabillage. Puis en rentrant, elle posa son index sur sa bouche d’où sortit un « chut » très sexy;
J’étais décontenancé !
A côté la pauvre fille n’était pas à la fête et l’on entendait clairement les voix
L’étudiante pleurnichait en disant :
- S’il vous plaït, je ne veux plus de doigt dans le derrière.
« Ma » doctoresse lui coupa la parole, en lui expliquant que le Dr Stéphanie n’était pas sûre de son exploration.
- Allongez-vous de nouveau sur la table, pieds dans les étriers et cuisses largement écartées. Approchez-vous au maximum du bord de la table et soulevez vos fesses.
Les bruits métalliques laissaient penser que la fille s’exécutait.
-Bien, maintenant vous allez pousser sur mon index.
On entendit un gémissement suivi d’un silence
- C’est très bien, mon doigt est entré totalement, respirez et laissez-vous faire. Arrêtez de serrer, relâchez votre anus complétement !
Nouveau silence pendant 3 bonnes minutes, puis un bruit de gants que l’on retire.
-Non Stéphanie, ce rectum est strictement normal, à plus tard !
Ma doctoresse réapparue, accompagnée d’une autre femme.
- Tout va bien ? Au fait je m’appelle Christine ! Dr Christine et voici le Dr Laure qui vient voir un examen du périnée masculin. Reprenons .
J’espérais que c’était terminé mais la quatrième phase de l’examen restait à venir.
Nathalie s’approcha et retira mon slip.
- Allez-vous allonger sur la table gynécologique en mettant vos pieds dans les étriers »
Léa, Christine et Laure s’étaient placées de part et d’autre de la table, toutes les trois gantées
- Reprenons l’examen génital .
Christine me décalotta lentement et totalement,écarta mon méat, passa son doigt sur mon gland et dans le sillon préputial.
- C’est parfait, tout va bien. Bravo Léa vos conclusions étaient exactes »
Puis elle me palpa les testicules attentivement. RAS
- Maintenant, nous allons nous attarder sur la prostate, c’est la meilleure position d’examen, donc approchez-vous du bord de la table et écartez les jambes au maximum.
Christine dit à Léa qu’elle m’examinerait en second, puis Laure en dernier.
Christine lubrifia l’index et le majeur de sa main droite, ce qui m’inquiéta un peu.
- Prêt ? Vous connaissez la procédure maintenant ! Alors allons-y !
Christine posa son index, je poussais sans attendre et le doigt s’engouffra jusqu’à la dernière phalange. Elle s’attarda sur la prostate qu’elle frottait de droite à gauche.J’eus un début d’érection discret qu’elle remarqua :
- Attention !Pas d’éjaculation n’est-ce pas ?
Je fis non de la tête au moment où elle retira son index pour mieux introduire les deux doigts en profondeur .Nouveau « massage » puis la conclusion : prostate normale pour moi !
Elle retira ses doigts, la pression devenait trop forte.
- A vous Léa.
- Je préfère que Laure, qui n’a pas l’habitude, réalise l’examen.»
Laure s’approcha, elle me fixait avec ses grands yeux noisette tandis qu’elle lubrifiait son index.
Elle se pencha, écarta un peu plus mes fesses avec sa main gauche, puis posa son doigt sur mon anus.
- Allez-y Laure, lui dit Léa .
Elle commença à me pénétrer sans douceur, je poussai pour faciliter la pénétration.
- Ça rentre tout seul, dit Laure, ironique.
Elle palpa soigneusement ma prostate et mon rectum, Léa donnait des explications sur ce qu’elle sentait au bout de son doigt.
Elle se retira d’un seul trait, jeta ses gants et sortit, après avoir remercié Christine
Je redoutais la suite, le toucher de Léa, j’avais peur d’éjaculer dans sa main si douce. Mais celle-ci devint tout à coup familière quand Christine retourna vers le bureau.
En préparant son lubrifiant elle me glissa discrètement :
- Je vais mettre deux doigts d’emblée, si tu éjacules ça n’est pas grave.
Léa me pénétra, lentement mais très profondément et débuta la palpation prostatique en appuyant sur mon ventre avec son autre main. L’érection était presque complète et elle sourit.
Deux minutes plus tard le sperme coulait le long de ma verge. J’étais rouge de honte. Léa m’essuya avec son gant et retira ses doigts.
Christine n’avait rien vu et je remettais mon slip que Léa m’avais tendu.
- Rien de spécial, dit Léa.
- Approchez du bureau et asseyez-vous , dit Christine.
- Tout est parfait mais j’aimerais vous adresser à une amie proctologue pour ces hémorroïdes, même si vous n’en souffrez pas, voici une lettre avec ses coordonnées.
- Vous pouvez y aller, la Faculté sera avisée de votre présence à cet examen obligatoire.
Je pris la lettre et filais sans demander mon reste.
En me rhabillant je trouvais un papier dans mon pantalon avec les coordonnées de Léa. Que voulait-elle, un plan « cul » ou autre chose ?
Quant à la consultation de proctologie, mon derrière avait sa dose, pour le moment !