Eh oui ! j'ai vécu deux déceptions consécutives, en milieu médical, à quelques jours d'intervalle.
LA PREMIERE
J'ai pris rendez-vous dans un centre de santé, pour une consultation en dermatologie.
Toujours insatisfait des examens précédents, des traitements suivis, je me suis tourné vers un nouveau centre que je ne connaissais pas, et où je n'avais jamais mis les pieds. En plus, le médecin reçoit assez tard le soir, ce qui me permet d'y aller après mon boulot.
J'ai toujours les mêmes irritations sur la peau : boutons et rougeurs sur les aisselles, dans le pli des l'aine, sur le scrotum et entre les doigts de pieds.
Me présentant à l'acceuil, mon dossier est créé, puisque je suis là pour la première fois. J'apprends alors que le médecin est une femme, et qu'elle va me recevoir dans le bureau n°5, devant lequel je patiente. Il y a déjà un patient dans ce bureau et j'attends mon tour.
La consultation terminée, le patient sort, suivi quelques instants plus tard par une... jeune femme, très jolie, sexy, vêtue d'une robe courte lui arrivant à peine au-dessous des cuisses.
A cette vue, mon sang n'a fait qu'un tour ! quoi ? C'est elle la dermato ? Je n'en avais jamais vu de plus jeune. J'ai commencé à m'affoler à l'idée de devoir de déshabiller devant une femme aussi jeune. Et aussi belle !
Elle appelle le patient suivant, ce n'est pas encore mon tour. Et je chronomètre le temps de la visite, qui se monte à 20 minutes à peu près.
La porte du box 5 s'ouvre, le patient sort, suivi par la jeune femme qui est allée chercher mon dossier à l'accueil. C'est alors qu'elle appelle mon nom et me fait entrer dans le box n° 5.
Et là, je fais face au médecin, une femme...âgée... C'est elle la dermato, un médecin en fin de carrière, surement, et qui donne quelques heures de son temps à ce CMS, régie en association.
Je n'arrive plus à parler : certes, la jeune femme est là, elle assiste le médecin. Et j'ai bien vite compris qu'en fait, cette jeune femme, sera dans quelques temps la remplaçante de la dermato. Elle reste présente, me sourit pendant que je déshabille en tremblant... Je panique un peu...
Décontenancé tout de même (j'étais prêt à me déshabiller devant ce canon médical), j'exprime devant le médecin, la vieille femme donc, ce pourquoi je viens.
La jeune femme s'assied sur un tabouret haut, en croisant ses jambes divines. Sa robe ne lui arrivait plus qu'aux cuisses maintenant. J'escomptais sur un faux mouvement de sa part pour apercevoir le reste caché par des collants assortis !
La vieiille m'ordonne de retirer le pantalon, la chemise et les chaussettes. J'aurais du insister davantage pour qu'elle me dise de tout retirer, mais la vision angevine de la jeune médecin m'a complètement déstablilsé.
J'ai gardé mon maillot de corps : si je savais à qui j'allais avoir à faire, j'aurais imaginé des démangeaisons ailleurs, partout sur le corps, pour me retrouver le plus dénudé possible !
Et le médecin m'examine, assistée par la jeune femme, qui elle aussi, met mes mains sur mes lésions.
La vieille dermato a soulevé mon slip au niveau de l'entrejambe, sans trop dévoiler les parties et a expliqué à la jeune femme ce que j'avais.
Je me rhabille et je repars de là avec une ordonnance, et peut-être, une nouvelle consultation si les lésions reviennent.
Je suis sorti de là sous le choc, subjugué par le charme de la jeune femme !
Si je dois retourner là-bas, j'exagèrerais un peu plus sur la nature de mes troubles.
Et on verra !
LA DEUXIEME
Quelques jours plus tard, suite à l'afolement de mon médecin, je me rends dans un grand hôpital parisien, en service urologie. La surprise venait du fait que le médecin qui allait me recevoir était... une femme. Je l'ai su en recevant, par courrier, la lettre de confirmation de mon rendez-vous. En effet, ici, dans ce service, les premières consultations passent par elle, qui, ensuite, distribue les malades suivant leurs pathologie à ses collègues.
Rien qu'à l'idée de savoir que j'allais rencontrer une femme me faisait flipper. Plus le jour du rendez-vous arrivait, plus je stressais !
Dans la salle d'attente, je mesure le temps de visite entre deux patients, qui dépasse facilement la demie-heure ! Ceci est pour moi, un gage sérieux de la pratique de ce médecin.
Enfin, le grand jour arriva. Je fais connaissance du médecin, qui circule dans la salle d'attente : c'est une jene femme, blonde, assez jolie et qui porte, sous sa blouse blanche, un jean moulant ses formes. Cette vision m'a assomé, désarçonné. J'ai pris soudain peur d'avoir à montrer mes parties à une aussi jolie femme. Je tremblais de tous mes membres, et j'essayais de dissimuler ma peur en respirant profondément.
Mon tour arrive. La porte du cabinet médical s'ouvre, le médecin se présente à moi, et m'annonce que sa secrétaire va me recevoir d'abord.
Le médecin s'eclipse et ferme la porte du cabinet.
Je suis face à la secrétaire, aussi jolie que le médécin, mais brune, cheveux longs et raides, lunettes de marques sur le nez. Elle me pose tout un tas de question, lit et transcrit le courrier de mon médecin, m'interroge...tout ça, pendant l'absence du médecin.
Je remarque derrière moi, un paravent jaune et une table d'examen. J'ai peur, maintenant, parce que j'ai deux femmes qui vont m'examiner... Je tremble de plus en plus.
Sans frapper à la porte, le médecin, la blonde regagne sa place, demande à sa secrétaire ce que j'ai (elles se tutoient), et cette dernière lui fait lire sur son écran, toutes les notes qu'elle a prise.
Suit un long moment de silence. La secrétaire, qui a imprimé le compte-rendu de visite remet ce document au médecin, qui le lit avec attention.
Alors, le médecin dicte l'ordonnance à la secrétaire, me demande d'aller faire une fibroscopie et m'annonce que c'est son dernier jour de travail ici.
Je n'ai même pas été examiné, ce qui m'a complétement déçu, surtout dans le cadre de cet hôpital.
Ou bien, est-ce parce que c'était le dernier jour de travail de ce médecin en ces lieux qu'elle a agit de la sorte ?
Comme mes soins ont un suivi, je verrai avec le médecin qui remplacera cette urologue.
Mais franchement, j'ai été déçu par cette visite !