A vous de voir si mon message est bien à propos dans cette page du forum. Cette discussion me rappelle un épisode de mon adolescence.
J'avais 13 ans quand un ami qui avait 1 an de moins me demandait régulièrement lorsque je venais jouer chez lui, si je pouvais me mettre torse nu voire même en slip pour continuer à jouer. J'avais toujours refusé jusqu'à un soir lors d'une soirée avec nos parents respectifs, on avait fait plusieurs parties de tennis de table. Il m'a proposé que le perdant se déshabille devant l'autre. Pensant au pire me retrouver en slip, j'avais accepté. Je gagne la partie et je lui propose d'aller dans le grenier pour effectuer le gage. Je lui demande de se déshabiller. Il refuse. Il acceptera de se déshabiller à la seule condition que je le fasse avant. J'hésite. On devait alors passer à table, je lui dis qu'on verra ça plus tard. Pendant tout le repas, ça me trottait dans la tête. J'étais intrigué de pouvoir voir mon copain nu, mais j'hésitais à me montrer nu. Je savais que je ne pourrais contrôler une érection et ça me gênait terriblement. A la fin du repas, il vient me retrouver et me rappeler sa proposition. Je sens mon coeur s'affoler. J'hésite puis accepte finalement. Je le suis dans le grenier. Il ferme la porte à clé, s'installe dans un vieux divan et me demande de me placer devant lui. Je lui demande comment ça va se dérouler. Il me dit que j'ai juste à faire ce qu'il me demande. Une fois que je serai nu, il s'engage à faire pareil.
"Enlève tes chaussures et chaussettes". Je me mets pieds nus. La manière directe de son ton me fait mettre davantage mal à l'aise. Je sens déjà mon sexe gonfler et je ne peux me contrôler. Je sens son regard parcourir mon corps. Il reste impassible comme quelqu'un regardant passivement une émission à la télé.
"Maintenant enlève le haut". J'enlève mon sweet, puis mon tee-shirt. Je reste debout, torse nu, à le regarder. Je ne suis pas très fier. Je suis cette fois en érection totale. Je ne suis pas certain de vouloir continuer. Je lui propose d'arrêter. Il me rappelle alors mon engagement. Je lui demande de ne rien dire à nos parents.
"Vas-y enlève le pantalon". Je lui dis que je n'ai plus envie. Il insiste en me rassurant en disant que ça restera entre nous. Ce sera notre secret. Je sais très bien que si je commence à toucher à mon pantalon, je devrai aller jusqu'au bout. Je devrai alors tout lui montrer, et surtout mon sexe en érection. Le fait de se résigner m'excite d'avantage. Me montrer tout nu pour la première fois à quelqu'un me fait très bizarre. Encore plus à un de mes copains avec qui je joue régulièrement les wek-end. J'hésite toujours. "Si tu ne le fais pas, je ne te croirais plus jamais". Je sais que je suis déjà allé trop loin. Je n'aurai pas dû accepter. Je ne peux plus reculer. Aujourd'hui, en y repensant, cette situation m'excite fortement et je me souviens très bien du moment qui a précédé la suite de mon déshabillage. Je pense, sans trop d'exagération, que ce moment devait être pour moi à l'époque, un gamin de 13 ans, très proche de celui d'un condamné montant à l'échafaud. Je commence à dégrafer la ceinture et la braguette du jean. Je baisse le pantalon, et le retire en manquant de tomber un peu déséquilibré. Je l'enlève, Et je vois mon petit slip rouge (ben oui je portais ça à l'époque, en 1976), et surtout la bosse énorme raide et un peu penché de mon zizi. J'étais déjà comme nu. Il ne pouvait ne pas voir mon érection.Instinctivement je mettais rapidement mes mains devant le slip.
"Je veux tout voir, enlève les mains". Je ne pouvais plus revenir en arrière. Je retirai mes mains ne sachant pas trop où les mettre. Son regard me dévisageait complètement. Je n'avais que ce petit slip rouge sur moi. A ce moment, j'entendis la mère du copain nous appeler de l'autre coté de la porte. Par réflexe, je me baissais et attrapais mon sweet pour le remettre. J'avais oublié que la porte était fermée. Mon copain répondit calmement, qu'on jouait tranquillement et qu'on ne voulait plus reprendre de dessert, comme elle nous le proposait. J'entendis les pas de la mère du copain redescendre l'escalier.
"Allez, on continue, renlève le haut, et enlève le slip". Je retirai pour la deuxième fois mon sweet, hésitais encore puis finalement, je me suis retourné et j'ai retiré le slip. Je lui montrais alors mes fesses.
"Retourne toi". Je pensais d'abord garder mes mains pour cacher mon sexe, mais finalemenent, se doutant bien qu'il me demandera de les retirer, je me suis retourné laissant les bras le long du corps. J'étais tellement gêné que j'ai tout d'abord fermé mes yeux, puis rouvert. Un long moment s'est écoulé que j'avais trouvé à l'époque interminable. Il ne disait rien. Il me regardait partout. J'étais un objet. Un peu plus tard, il s'est levé, et m'a touché. Il n'y avait rien de sexuel. Je me sentais plutot ausculté, taté. Je n'arrivais pas à calmer mon excitation. Au contraire. Mon sexe était au plus raide, et mon gland décalotté. Je n'ai jamais ressenti plus tard toutes les émotions qui ont parcourues alors mon cerveau. Je me rendais compte que j'étais là pour assouvir son désir de curiosité adolescente peut-être homosexuelle. A l'époque, et c'était un autre temps et d'autres moeurs, j'ignorais ce que c'était que l'homosexualité. Sans le vouloir, j'avais participé un peu à nos éducations sexuelles respectives et à nous décomplexer.
Pour la petite histoire, nous avons de nouveau été dérangés et je n'ai pas eu l'occasion, ni ce soir, ni un autre soir de le voir nu à son tour.