Voici une autre histoire qui m'est arrivée dans le cadre de mon travail.
Comme on le sait, j'interviens auprès des personnes âgées en les aidant dans leurs démarches administratives, ou d'accompagnement chez les médecins, etc...
La semaine passée, j'ai été missionné en urgence pour aider une femme à s'y retrouver dans ses papiers. Pour faire valoir ses droits à une aide sociale, cette personne devait fournir des papiers. Or, cette femme, divorcée depuis des années, n'a plus classé ni rangé ses documents. C'est là que j'interviens, et selon l'ampleur de la tâche, une ou plusieurs fois.
Au jour et à l'heure convenue, je me présente au domicile. Mon hôte me fait entrer, et me fait l'honneur de son appartement, bien tenu, bien rangé. Et elle me présente sa fille, qui vit avec sa mère, la personne pour qui je suis venue. Elle me dit :
- C'est ma fille, Marianne, 38 ans. Elle habite chez moi.
Du premier regard, j'ai flashé sur cette jeune femme. La mère a cru bon de préciser qu'elle était célibataire, jamais mariée.
Marianne, qui était allongée sur un lit à deux places, se lève pour me saluer. Dans ce geste, j'ai aperçu la naissance de sa poitrine, sous son top moulé et épousant ses formes généreuses. Dans le même temps, sous son jean, sa culotte noire en dentelle, se laissait apercevoir. J'étais sous le charme.
Pendant que je m'occupais des affaires de sa mère, j'ai entendu les pas de sa fille se diriger vers la salle de bains, et quelques secondes plus tard, l'eau couler.
Alors que j'étais en pleine intervention auprès de la mère, Marianne a appelé :
- Maman, maman...
La mère s'excuse auprès de moi, demandant à sa fille ce qui se passe.
- Je voudrais que tu me laves la tête, que tu me fasses un shampooing. Je n'y arrive pas seule...
- Je suis occupée, Marianne. Je ne peux pas. Je suis avec le monsieur...
- Non, maman. Viens, je t'en prie...
La maman, déroutée en s'excusant encore une fois, me laisse aux prises avec mes papiers et s'en va retrouver sa fille dans la salle de bains.
Elle revient me trouver 5 à 6 minutes plus tard, en commentant :
- Elle a 38 ans et elle ne sait pas se laver la tête !
Avec l'aide de madame qui m'aide dans mon classement, je reprends ma tâche. Marianne est sortie de la salle de bains et est venue nous rejoindre. Elle ne porte qu'un pagne, noué un peu au-dessus de la poitrine, rose, très court, puisqu'il lui arrive, ce pagne, à peine au-dessus des cuisses. Cuisses bien faites, s'il en est... Ses cheveux dégoulinent.
- Je vais vous faire un café, annonce Marianne. Si le monsieur en veut un aussi...
- Ah ! Volontiers, répondis-je.
Et Marianne s'éclipse, laissant des traces de ses pieds humides sur le sol.
- Le café est prêt, dira Marianne quelques minutes plus tard.
Et avec la mère, je retrouve Marianne autour de la table, les tasses de café sont encore fumante. Je fais une petite pause, dans mon labeur.
Marianne prend sa tasse de café et va s'allonger sur le lit, sur lequel elle était quand je suis arrivé.
Et ne voilà-t-il pas que son peignoir de bain s'ouvre largement et laisse tout apparaître sous mes yeux ébahis.
Marianne n'a rien dit, n'a pas bronché... Je dirai même que cela ne la génait pas le moins du monde. Elle s'est recouverte, mais nonchalament, comme si elle l'avait fait exprès. Moi, j'étais plus que géné. Et rouge de confusion !
Pendant que sa mère et moi mettions la dernière main au rangement, Marianne a ouvert une commode bruyamment, ce qui m'a fait me tourner dans la direction d'où venait le bruit. J'ai vu Marianne sortir d'un tiroir des sous-vêtements, rouge, en dentelle. Elle les tenait à bout de bras. Puis, elle les a rangé pour en prendre d'autres, bleu, ceux-là.
Assise sur le bord de son lit, sans aucune gène, Marianne, sous son peignoir a revêtu ses sous-vêtements, ostensiblement, écartant par moment le peignoir de bain, surtout quand il s'est agit de revêtir et d'ajuster sa culotte !
Pour ma part, j'étais troublé. Sa mère me murmure :
- Ne vous en faites pas, Monsieur. Elle est comme ça. C'est sa nature. Elle s'habille toujours comme ça. Sur ce lit. N'y faites pas attention.
C'est difficile.
D'un oeil, je voyais ce que faisait Marianne.
Et ce n'était pas fini : une fois qu'elle a eu enfilé sa culotte, elle descendit le haut du pagne et dévoilà sa poitrine, généreuse comme je l'ai dit. Et tatouée (ça, j'aime moins). Elle mit son soutif, effectivement assorti à sa culotte. Et dans cette (petite) tenue, elle s'est levée du lit, a traversé toute la pièce pour aller chercher le reste de ses vêtements.
J'étais anesthésié par cette vision, je ne bougeais plus, je ne parlais plus... Les paroles de le mère me ramenèrent à la réalité :
- Ne faites pas attention, monsieur. Elle sait que vous la regardez. Et elle aime ça. Elle recommencera la prochaine fois, si vous vous intéressez à elle.
(Je suis prèt à revenir une autre fois, moi.)
Devant mes yeux tout ébahis, Marianne s'est approchée et s'est mise entre sa mère et moi. Elle était toujours en petite tenue.
- Maman, je ne retrouve plus mon jean vert. Où l'as-tu mis ?
Son bassin était à la hauteur de mes épaules. Je sentais l'adrénaline monter en moi. J'avais des bouffées de chaleur... J'avais envie de toucher, de la carresser... Je me suis retenu, je ne sais par quel miracle !
Marianne ayant trouvé son jean, s'en revêtit, lascivement. Face à moi, se trouvait un miroir et j'ai pu suivre toute la scène du rhabillage de Marianne, qui fut, comme un strip-tease à l'envers.
Puis elle mit un top, et disparut ainsi la vision de ses seins magnifiques qu'elle a dissimulé de cette façon.
- J'suis bien comme ça, maman ? déclama Marianne.
- Oui, ma chérie. Très bien, répondit la mère.
- Et vous, monsieur, qu'en pensez-vous ? Me trouvez-vous jolie ?
Je n'ai pas su quoi répondre, mais mon émotion devait se lire sur mon visage.
S'il m'arrivait dans les prochains jours de retourner chez cette personne (je n'ai pas fini mon travail), comment réagira cette fois Marianne ?