Visite médicale

J'étais convoqué à une visite médicale suite à une demande de mon employeur.

J'avais été victime d'un terrible harcèlement moral entraînant un terrible burnout qui m'avait littéralement envoyé au tapis. Une longue attente.....J'avais terriblement peur de devoir affronter à nouveau l'enfer quotidien que constituait la Société d'audit dans laquelle je travaillais.

Tout ce que j'espérais c'était un reclassement dans une autre boîte. Sur le petit écran qui surplombait le hall anonyme servant de salle d'attente s'affiche enfin le numéro du ticket que j'avais reçu d'un anonyme secrétaire qui m'avait regardé avec le mépris de l'homme qui se trouve du bon côté de la barrière : " 453, bureau 222".Une boule à l'estomac ,je me lève,rentre dans un long corridor que je connaissais déjà. De chaque côté,les bureaux de divers médecins.

Au loin, je vois un médecin-conseil que j'avais déjà vu dans le passé, qui s'était illustré par un véritable manque d'humanité....Une envie de prendre mes jambes à mon coup m'assaille.

Je suis sur le point de faire demi-tour et de partir mais je me ravise. Il entre dans un bureau à ma droite.Le numéro de mon ticket est celui du bureau juste en face. Une petite plaque : Dr P.Delplanque. Je retiens ma respiration, je frappe timidement et j'entends : "entrez !"

Une voix féminine...ouf....je rentre...."Docteur Pascale Delplanque.... Asseyez-vous... " Un accent germanique prononcé....

En face de moi, assise, une véritable duègne.....Une doctoresse d'une cinquantaine d'années, vêtue d'un tablier de médecin,de petites lunettes mélancoliques, des cheveux gris, un chignon...

Bravo pour ce départ berti. Vous avez déjà planté un point intéressant du décor : la doctoresse femme mûre et peu engageante. J'attends la suite avec intérêt.

examed

Elle commence à me poser diverses questions. je lui explique que ma dépression m'a terriblement diminué. Je traverse une période de totale inactivité.

Je ne lis plus je ne regard plus la télévision....

Elle me demande au niveau de la famille comment cela est vécu. Je lui explique que ma femme me soutient totalement. Nous n'avons pour ainsi dire plus de relations sexuelles depuis des mois mais elle continue de tout faire pour me remettre à flot.

Vient ainsi quelques questions sur ma vie professionnelle et mes futures attentes. Je pense que la visite est terminée. Elle me dit: Venez! Je vais vous examiner ! Je n'avais pas noté qu'il y avait un petit local adjacent. Et dans ce local, évidemment, un cabinet médical.

Toutes mes convocations passées s'étaient résumées à des entretiens...Je n'avais pas envisagé cela.

-"Déshabillez-vous, Mr Berti!"

Je me mets torse nu et m'avance vers la table d'auscultation.

-"Enlevez votre pantalon et vos chaussettes" d'un ton très sec.

Comme déjà dit, je ne m'attendais pas du tout à cela. J'enlève,......et je me retrouve juste vêtu d'un slip . Renforcé par mon état, je me sens particulièrement vulnérable......Le Dr Delplanque était une femme d'une cinquantaine d'années, à la taille fine,vraiment l'air sévère, mais je n'avais pu néammoins noter qu'elle devait être pourvue d'une poitrine assez généreuse. Je devinais dans l'entrebaillement de sa veste blanche deux globes d'une bonne moyenne, un bonnet certainement C. .

Je sentais un très lointain sentiment d'excitation. Tout en en redoutant une éventuelle manifestation. Je suis debout devant elle. Elle m'inspecte les oreilles, la gorge, elle vérifie ma colonne vertébrale. Ses mains me frôlent, me touchent .....Mesure du poids, de la taille... Sous la toise, je me sens nu....Je redoute une éventuelle bosse dans mon caleçon.

- "Allongez-vous sur la table"......"Mettez-vous sur le dos".....

Elle promène son stéthoscope froid sur mon torse. Elle commence à palper mon ventre. Elle effleure le haut de mon caleçon, Elle a dû apercevoir légèrement mon gland......Elle me demande de me redresser, elle commence à m'ausulter le dos.....Je me sens excité et anxieux en même temps.....

-"Rallongez-vous." Elle dépose le stéthoscope et munie d'un marteau-réflexe, elle commence à marteler les tendons des jambes.....qui se lèvent instantanément.

- " Vous avez les jambes dans un drôle d'état". En effet, elles sont particulièrement gonflées et je fais un peu de psoriasis sur les jambes. Je lui explique que je fais également du psoriasis inversé.et que cela se manifeste par des rougeurs et de l'inflammation dans les plis.

" Je vais examiner cela " ......

" Enlevez votre slip". A ces mots, un sentiment diffus d'angoisse et d'excitation, je ne m'attendais pas du tout à un examen médical et à plus forte raison, à un examen médical approfondi. Etais-je totalement clean, une réaction "inappropriée" n'était-elle pas également susceptible de se produire? Le Docteur

Delplanque n'était pas jolie à proprement parler mais je me sentais à la fois confus, honteux et en même temps excité par la situation de soumission que je devais manifester face à l'attitude particulièrement rigide du Docteur Delplanque. Je descends de la table, debout, je fais glisser mon caleçon et me retrouve nu comme un ver., le sexe pendant devant le Docteur Delplanque....

" Allongez-vous sur le dos" ..."Ecartez vos jambes". Ses mains descendent vers mon sexe,...je suis tétanisé..... (ndlr : il y avait pas de risque d'érection, on peut le dire) Elle m'écarte les bourses, effleure mon sexe et regarde les plis génitaux, ...une surface lisse et rouge avif qui touche les deux versants des plis de la peau.

"Retournez-vous, prenez appui sur vos genoux". Façon polie de me mettre à 4 pattes. Je suis nu sur cette table, je sens son regard dans mon dos, elle touche mes fesses, les écarte..... " Le pli interfessier est également touché".......

" Vous pouvez vous rhabiller" me dit-elle de son ton sec.

Lors de son premier emploi, ma femme est convoquée à la visite médicale.Elle se rend donc dans un centre PMS. Elle est reçue par une employée qui s'occupe de l'administratif.Puis l'employée lui indique la salle qu'elle doit rejoindre. Une fois dans la salle, une autre femme, attend déjà son tour et quelque temps après, une infirmière se présente et leur explique le déroulement de l'examen. Elle les invite à entrer dans la seule et unique cabine duo et leur demande de se déshabiller et garder les sous-vêtements. Elle s'exécute en même temps que l'autre femme. Celle-ci portait un string et n'avait pas de soutien-gorge, par contre ma femme avait mis un slip bleu mais légèrement ajouré sur l'avant (on voyait un peu ses poils) et un soutien-gorge opaque. Sa compagne de cabine avait de belles fesses et ses mamelons étaient dressés et durs. Ceux de ma femme se mirent à pointer également. Elles sortirent en même temps et rejoignirent l'infirmière. Dans un coin de la pièce il y a une toilette et l'infirmière leur donne un pot pour uriner.L'autre femme étant la 1ère, c'est d'abord elle qui y va. Elle descend son string, ma femme voit qu'elle est rasée entièrement et cette dame urine dans le pot. Puis vint le tour de ma femme et voit que l'autre dame regarde aussi dans sa direction pendant qu'elle urine. Les tétons de ma femme sont tellement durs que ça lui fait mal et en plus ça se voit. l'autre femme a également les aréoles bien larges et les tétons durcis. Cette situation imprévue pour les deux femmes a des effets sur leurs corps.

Le reste des examens avec l'infirmière se passe normalement. La première femme passe ensuite chez le médecin. Quelques 10 minutes plus tard, c'est le tour de ma femme.

Le médecin, un bel homme, la quarantaine, (ma femme en a 22 à l'époque) l'accueille chaleureusement. Commence l'auscultation. Le médecin glisse son stéthoscope sous son soutien-gorge et son doigt. Puis prise de la tension, ensuite examen du dos, le médecin passe son doigt sur chaque vertèbre pendant qu'elle s'abaisse, et baisse sa culotte à moitié découvrant ses fesses. Elle se relève et il lui demande d'ôter son soutien-gorge.Gênée elle l'enlève car elle a toujours ses tétons durcis et se rend compte que ses aréoles ont doublé. Le médecin palpe ses seins (durs aussi) .Il le lui fait remarquer d'ailleurs. Ensuite, il lui demande de s'allonger sur la table et lui palpe son ventre. Ma femme sent qu'elle mouille. Le médecin lui baisse la culotte et continue à palper son bas-ventre. Ce test fini, il lui dit qu'il va contrôler son entrejambe et enlève sa culotte.Elle est maintenant entièrement nue et dans un état de transe. Il écarte légèrement les lèvres humides et passe son doigt du bas de la fente vers le haut, et frôle son clitoris entièrement sorti de son capuchon. Ma femme lâche un petit cri incontrôlé, ce qui fait sourire le médecin qui lui dit : "eh bien c'est l'examen qui vous met dans cet état ?!". Elle ne sut que répondre tellement elle était rouge de honte. Elle se souvient de cet examen comme si c'était hier.

Beaux récits.

Aujourd'hui, je suis passé à la visite médicale annuelle. Cela se passe en 2 étapes: on passe d'abord dans le bureau de l'infirmière pour la pesée, test de la vue et test d'urine.

Pour le test de l'urine, c'est dans un recoin de la pièce, sans porte dans un bocal en plastique avec l'infirmière qui ne se trouve jamais bien loin.

Ensuite on retourne dans la salle d'attente jusqu'à ce que le médecin nous appelle.

On rentre dans le cabinet du médecin qui nous demande les changements éventuels depuis l'année passée, puis il nous demande de se mettre torse nu pour l'auscultation et la prise de tension. Ensuite test d'équilibre bras en avant et doigts tendus marcher jusqu'à lui les yeux fermés.

Ensuite, il demande de s'installer assis sur la table où il contrôle l'état de la denture, de la gorge, palpe les ganglions du cou et test réaction avec le marteau sur les genoux.

Il demande alors de défaire le pantalon et de s'allonger sur la table pour une palpation abdominale et ensuite il descend le slip sur le haut des cuisses, demande de souffler sur le dos de la main, pendant qu'il appuie avec les doigts de chaque côté du pénis et enfonce aussi un doigt dans les canaux des testicules.

L'examen se termine là.