Les seins entre maternité et sexualité

Trouvé récemment dans la presse !

On ne sait parfois plus à quel sein se vouer ! Un jour objet de désir, objet nourricier le lendemain... Il n’est pas toujours facile de passer de la mère à l’amante. Le D’ Sylvain Mimoun* décrypte nos états d’âme

Mon mari ne voulait pas que j’allaite

«Je n’ai pas allaité mon premier enfant et je l'ai regretté, mais avec mon fils issu de mon second mariage, j’ai décidé de m’écouter. Le problème est que mon mari ne supporte pas le lien fusionnel que j’entretiens avec notre fils. Pendant la grossesse, Il n’a pas arrêté de me parler de ces couples qui ne savent pas rester amants. Quand je lui ai dit que j’allais allaiter, il l’a très mal pris. Il ne comprend pas, dit-il, que les femmes régressent. Sa jalousie parasite complètement ma maternité et j’ai très peur pour notre couple. Je ne sais plus si c’est lui ou moi qui est dans l’erreur. » LAURENCE, 39 ANS.

L’avis du Dr Mimoun Qu’elles allaitent ou pas, certaines femmes, en devenant mère, s’enferment dans une relation duelle et fusionnelle avec leur bébé. II est vrai que l’allaitement, qui est de fait excluant pour l’homme, vient renforcer cette posture et peut faire souffrir le père qui se sent doublement perdant exclu du « corps-à-corps » avec son bébé et exclu du corps de sa femme pour cause de surinvestissement dans l’allaitement. Pour rétablir l'équilibre, chacun doit prendre conscience des messages qu’il envoie à l’autre et faire un pas pour qu’il y ait à nouveau rencontre. C’est à l’homme qu’il revient, en douceur et en se positionnant de manière alulte, d’opérer la séparation symbolique entre la mère et l’enfant, non pas en exprimant sa jalousie, mais en investissant sa paternité et en exprimant le désir de retrouver un lien intime avec sa femme. Cela demande de la patience et de la maturité. A la femme également de répondre aux demandes d’intimité (moments complices, tête-à-tête) de son conjoint et de faire en sorte d’y trouver du plaisir.

La page 48 :

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J’ai ressenti un plaisir très dérangeant

« J’adorais allaiter mon fils, c’était un moment quasi magique, je sentais un lien Incroyable entre lui et moi si bien que j’attendais avec impatience la prochaine tétée. Mais quelque chose a changé le jour où j’ai ressenti un tel plaisir physique que ça m’a vraiment perturbée, au point de me sentir très mal vis-à-vis de mon fils et vis-à-vis de mon mari. Depuis je me sens tendue, sur le qui-vive car je n’ai pas envie de refaire cette expérience » ISABELLE 28 ANS

L'avis du Dr Mimoun. Il y a un tabou autour du plaisir physique procuré par l’allaitement. Ce plalsir peut être une simple satisfaction physique et émotionnelle mais, chez certaines femmes, et le cas n’est pas rare, il peut prendre un caractère intense et être de l’ordre du plaisir orgasmique. On comprend que ce plaisir de nature sexuelle soit perturbant lorsqu’il est vécu dans un contexte qui est tout sauf sexuel. Mais cela ne doit pas pour autant entraîner de la honte et de la culpabilité. D’abord parce que le sein est une zone du corps très sensible car très innervée et que les sensations ne se contrôlent pas. Ensuite parce qu’il ne s’agit pas pour cette mère, comme pour l’immense majorité d’entre elles, de rechercher du plaisir physique via la tétée. C'est évidemment l’intention qui donne, ou pas, un caractère incestuel - et non incestueux, la nuance est importante - à ce plaisir. Dès lors que la mère recherche le bien-être de son bébé et ne met pas autre chose dans cet acte, il n’y a rien de honteux ni de répréhensible. En revanche ce qui serait dommage c’est de fuir l’intimité avec son bébé au prétexte qu’elle génère du plaisir. Ce serait préjudiciable pour l’enfant qui pourrait se sentir rejeté, mais aussi pour la mère qui, dans la relation avec son enfant briderait sa spontanéité.

Pas question de me transformer en vache laitière

« J’ai choqué tout le monde à la maternité, y compris mon mari, lorsque j’ai annoncé qu’il n’était pas question que je me transforme en vache laitière. Pour moi, c’est très clair : depuis que les femmes ont la liberté de leur corps, leurs seins leur appartiennent. Et moi, j’ai fait le choix de ne pas allaiter. Ma fille est en pleine forme et l’intimité de mon couple aussi. Mais c’est vrai que ma position sur l’allaitement choque pas mal mon entourage, même des femmes à sensibilité féministe." CECILE, 31 ANS

L'avis du Dr Mimoun. Après les revendications féministes des années 70 sur le thème de "mon corps m'appartient", le biberon est apparu comme l(objet de la libération des femmes et de leur corps. Mais il est vrai que, depuis quelques années, on assiste presque au mouvement inverse en faveur de l’allaitement. Aujourd’hui dans l’inconscient collectif règne la croyance que l’allaitement fait d’une femme une bonne mère et que le refuser, ou ne pas trouver dans cet acte du bien.être, revient à être une mauvaise mère ou, a minima, une "pas très bonne mère”. Ce qui génère, chez certaines femmes une certaine culpabilité, parfois inconsciente. Cela peut expliquer le ton militant, le discours très réactif de Cédile. Ce qui est certain, c’est que le choix d’allaiter ou pas doit vraiment être en accord avec son désir profond. C’est à partir de cette cohérence entre ressenti et décision que s’établit la relation avec son entant. Peu importe alors ce qu'en pense la société ou l’entourage. Si, en plus une femme se sent portée dans son choix par l’adhésion de son compagnon, alors la relation avec son bébé sera juste. En revanche, lorsque le mental décide et que l’émotionnel dit le contraire, il y a conflit intérieur et cela rejaillit aussi bien dans la relation avec l’enfant que dans le couple.

Les seins entre maternité et sexualité.

Une limitation surprise m'empêche de donner la suite !

La limitation semble consister en une détection des copier-coller d'un texte préparé en dehors de Zity .

Les seins entre maternité et sexualité

DU PLAISIR, ENCORE DU PLAISIR !

Avec les organes génitaux, les seins sont classiquement considérés comme une zone érogène primaire, c’est-à-dire que leur stimulation génère des sensations de plaisir pouvant conduire à l'orgasme. Au zénith de l’excitation, les mamelons durcissent et deviennent plus gros : sous l’effet de la dilatation des veines qui l’entourent, les seins augment de volume et le cerveau s’active pour libérer de l’ocytocine, l’hormone de l’attachement et du bien-être émotionnel. Mais, contrairement à ce que l'on croît, les seins, explique Alain Héril**, Psychanalyste et sexothérapeute, ne sont pas réceptifs de la même manière chez toutes les femmes.

«Tout dépend de la façon dont elles ont investi cette zone, d’abord dans l’imaginaire et ensuite dans la réalité de leurs expériences sexuelles. Des seins source de complexe ne procureront pas le même plaisir que des seins avec qui on vit en bonne entente. Le regard du partenaire est également important : désirant ou distrait cela change tout. » Autre facteur de différence : la nature de la stimulation. «Celle-ci peut être maladroite ou même douloureuse, nombre de femmes se plaignent d’ailleurs de la maladresse de leur partenaire. En réalité, ce qui déclenche le plus de plaisir est la succion. Là encore, tout dépend de la façon dont le sein est investi par la femme, mais aussi par l’homme, surtout pendant la grossesse et en cas d’allaitement » Pour que le plaisir soit au rendez-vous, à l’homme de tester un éventail de stimulations et à la femme de lui indiquer celle(s) qu’elle préfère. En tout cas sur le moment. Car n’oublions pas que la routine est le meilleur ennemi du désir et du plaisir. ER.

Alain Héril ** Egalement auteur de "Femme épanouie", "Mieux dans son désir, mieux dans son plaisir", Payot.

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PSYCHO ________

Je regrette les seins de ma femme quand elle était enceinte

«Avant sa grossesse, Il y a deux ans, Marjorie avait une jolie petite poitrine qui a très vite doublé de volume lorsqu’elie s’est retrouvée enceinte. Je n’avais jamais vraiment fantasmé sur les gros seins, mais là, c’était comme si j’étais avec une autre personne. Plus femme, plus sexy. Côté désir, ça a flambé entre nous pendant sa grossesse, mais après, retour à la normale et grands regrets pour moi... et pour elle. Depuis, elle met des soutiens-gorge qui donnent du volume pour me faire plaisir et aussi pour se plaire a elle. Elle envisage même une intervention chirurgicale.» PIERRE, 43 ANS

L’avis du Dr Mimoun De nombreux hommes expriment leur appétence pour les seins de leur femme pendant la grossesse. II existe aussi le contraire, ceux pour qui « c’est trop ». Tout dépend de la façon dont on s’est construit sexuellement. Mais il est vrai que, globalement, les hommes apprécient cette période où la poitrine est gonflée surtout si elle est menue d'ordinaire. Le changement opéré peut aussi jouer comme un booster de libido, nombre d’hommes ont d’ailleurs le sentiment troublant et excitant de faire l’amour àvec une femme qui est à la fois la même et une autre. C'est le cas de Pierre qui déclare «avoir l'impression d'être avec une autre femme ». Ce qui est positif c'est que ce plaisir et ce fantasme sont partagés par sa compagne cela renforce leur connivence et leur désir au point qu'elle envisage une intervention chirurgicale. II en va d'ailleurs de cet acte comme de l'allaitement, pour bien le vivre, il faut être en phase avec son ressenti profond et non uniquement avec le désir de l’autre.

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Suite

Je me sens dépossédée de mon corps

«J’ai longtemps hésité pendant ma grossesse pour savoir si j’allais allaiter. Au début, cela s’est très bien passé mais, progressivement, je me suis sentie réduite à la fonction de mère nourricière. L’hygiène, les montées de lait, le tire-lait.,. Je n’ai plus l'impression d’être moi et je sens que ce changement a aussi affecté mon compagnon qui évite de se trouver avec moi dans ces moments. Notre vie sexuelle n’est pas non plus au beau fixe, je sens moins de désir de sa part, il y a comme une légère prise de distance. J’aimerais arrêter, mais je sens bien que c’est Important pour ma fille. » ERIKA, 38 ANS

L’avis du Dr Mimoun : Avec la grossesse, puis la maternité, le corps de la femme change brutalement de fonction. Et le sein, qui était une zone érogène, un « lieu » de convoitise, se transforme en objet nourricier. Ce changement radical n’est pas facile à intégrer, aussi bien pour l’homme que pour la femme. L’important est de sortir d’une conception totalitaire de la féminité : à savoir ou bien 100% mère, ou bien 100% femme-amante. Les deux sont conciliables et cela commence par une prise de conscience : devenir mère, et. notamment mère allaitante, ne signifie pas la disparition de la femme ni celle de l’amante. S’accorder des moments pour soi, prendre soin de soi comme on le faisait avant, consacrer du temps à des tête-à-tête complices et amoureux avec son compagnon... tout cela contribue à sortir de ce « tout ou rien » qui altère et la confiance et l’image de soi, mais aussi la qualité de la relation intime. Quant au désir d’arrêter d’allaiter, il n’est peut-être pas à prendre au pied de la lettre, la culpabilité risquerait de parasiter la relation avec son compagnon. Je le vois plutôt comme l’expression du désir de cesser de n’être qu’une mère nourricière. Or une femme peut allaiter et se sentir pleinement femme.

Par EIoïse Rè

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AUX ARMES, CITOYENNES !

Si Delacroix a peint la Liberté guidant le peuple, sein vindicatif en avant, ce n’est pas un hasard : délivré de ses corsets, ce sein nu était, à lui seul symbole d’insoumission. Là où les hommes brandissent des baïonnettes, les femmes se contentent d’avancer leurs seins... dont la libération va de pair avec celle de la société ! C’est en 1965 que le monokini est arboré pour la première fois par un mannequin américain, Tony Lee Shelley. Il va de pair avec les minijupes, la pilule, la revendication de l’amour libre et le féminisme. Contrairement aux idées reçues, les premières militantes américaines n’ont pas brûlé leur soutien-gorge lorsqu’elles sont venues perturber le concours de beauté Miss America en 1968. Elles les ont simplement jetés dans une « poubelle de la liberté», avec d’autres objets symboliques : chaussures à talons hauts, ceintures, Playboy. Mais, le lendemain, Time Magazine parle d’un bûcher de soutiens-gorge et cela devint l’action la plus emblématique du mouvement, Paradoxalement, ce sein nu contestataire enfermera les femmes dans des critères esthétiques normatifs et sévères. Plus on le montre, plus on s’expose aux jugements et aux comparaisons. En 1995, l’étude du sociologue Jean-Claude Kaufmann démontrait à quel point le dénigrement et l’ironie accompagnaient la pratique du monokini. Ceux qui ne respectent pas certaines normes de forme ou de jeunesse sont stigmatisés. Aujourd’hui, plus que jamais, « la société est moins clémente, le jugement des autres fait peur », remarque le sociologue et anthropologue David Le Breton. C’est peut-être pourquoi le féminisme, à nouveau, brandit son sein vengeur : fondé en 2008 à Kiev, le mouvement Femen organise des manifestations seins nus pour la promotion des droits des femmes, contre la prostitution, le tourisme sexuel et les agences matrimoniales intemationales. « Les seins nus symbolisent la condition des femmes ukrainiennes : pauvres, vulnérables et seulement propriétaires de leur corps », explique la fondatrice du mouvement, Anna Hutsol. Le sein exposé redevient ainsi une arme !

Brigitte Valotto

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... et aujourd'hui les Femen, la guerre des «sextrémistes» !

Cachez ce sein que je ne saurais voir ...

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L'allaitement désiré par un homme :

Lactophilo​s

Posté le 09/11/2018 à 05h16 (sur un site bien connu) LOL !

Bonjour à toutes et à tous,

Je lis vos discussions depuis un certain temps sans jamais être intervenu dans l’une d’elle. Faute au temps, sans doute, plus encore au fait que j’ai été allaité pendant plus de deux ans par mon ex-compagne, qui m’a abandonné, laissé sans le sein. Je viens donc ici pour rencontrer une femme qui pourrait me donner le sein et/ou m’allaiter en Rhône-Alpes et en Bourgogne.

Mon fétichisme m’a naturellement conduit à idolâtrer les très gros seins, énormes voir monstrueux, aux alvéoles larges et aux tétons proéminents. Engorgés du lait qu’il ne me restait plus qu’à tirer par traite, massage, pression ou succion. Je me suis également instruits via Nudevista, un moteur de recherche pornographique, et ai commencé à fréquenter les sites d’actrices, les forums de fan, les très nombreuses banques de vidéos, dédiées aux femmes faisant gicler leur lait, jouant avec, et allaitant leurs compagnons de jeu. Si je demeure dépendant des seins énormes et pleins de lait, j’ai aussi su apprécier les vidéos destinées à la traite, au pompage du lait, à l’induction d’une lactation.

Par ailleurs, les connaissances que j’avais pu acquérir quelques années plus tôt, par la lecture assidue des résultats de recherche de la LLL (La Leche League France, concernant l’allaitement et le maternage), ainsi que par mes propres recherches en phytothérapie, m’ont permis d’envisager l’idée de venir en aide aux femmes qui souhaitent allaiter mais qui n’avaient aucune connaissance en la matière. Je propose donc mes soins aux femmes en désir d’allaitement : massages, infusions, régime alimentaire spécifique, pompage des seins, et tétée.

Concernant la Tétée proprement dite, je suis capable d’engager une succion sur plusieurs heures, avec de brèves pauses. Ma succion englobe votre mamelon pour mettre en mouvement vos glandes mammaires, induire la production de lait et son stockage dans les alvéoles, avant d’étirer les canaux galactophores par l’aspiration du mamelon. Parfois, je joue des lèvres sur le téton, le plaisir ressentie par la femme étant alors associé au travail galactogène. Parfois je reste dans la pure tétée, et il m’arrive même de m’endormir au sein.

Je ne vous le cache pas : je souffre de ne plus être allaité, le sein me manque terriblement. Privé d’une nourriture, au sens propre, tant affective, que morale et physique, goûteuse aussi, je suis également privé d’un fragment de moi-même. Quotidiennement, je n’attends plus que l’heure ou je pourrais me blottir contre un sein et le téter jusqu’à l’épuisement.

Je cherche donc une ou des femmes souhaitant me donner le sein soit par compassion (je saurais me montrer redevable), soit par volonté d’induire une lactation pour pouvoir allaiter sur le long terme, soit enfin par simple volonté de se faire téter, pomper, masser ou traire. Pratiques qui permettent également une expansion mammaire naturelle Je n’écarte pas la possibilité qu’une relation basée sur la tétée ou l’allaitement puisse déborder de son cadre et devenir une relation de long terme. Mais ce n’est pas ce que je recherche pour l’heure. Dernière précision : si j’apprécie le sein sous son aspect de mamelle, nourricière, je le préfère naturel (lourd et tombant), mais je n’exclue pas les seins de taille plus petite, en forme de poire, avec le potentiel tétine, ni même les faux seins (quelle qu’en soit la chirurgie) que je trouve également merveilleux quand ils défient les lois de la proportion humaine.

Je reste disponible pour vous fournir les conseils dont vous avez besoin lors même que vous ne pourriez pas m’offrir le sein. .Lactophilo​s

Ce pauvre malheureux se retrouve "sans le sein" après deux ans de "mamelles grasses"

Amener les seins à avoir du lait est une chose, un autre problème est qu'il faut régulièrement consommer le lait produit, la production de lait s'adapte à la consommation, la production peut-être perturbée par des facteurs extérieurs comme les contrariétés, le stress, la nervosité, la fatigue. Se nourrir du lait de femme c'est bien, mais il faut être présent toutes les deux - trois heures pour tirer le lait, donc mis à part vivre de sa fortune personnelle je ne vois pas comment être disponible toutes les 2 - 3 heures pendant au moins une demi-heure.

J'aimerais bien être nourri au sein, mais pas uniquement, pas 24/24 - 7/7 - ni trois fois toutes les nuits. C'est un fantasme très intéressant à réaliser à l'occasion (avec masturbation, sodomie, température, suppositoire et autres . . . )

Un témoignage trouvé récemment :

Atrebate - Posté le 26/11/2018 à 07h39

Bonjour ,

Je vais vous faire rêver un peu ......

Avec ma Chérie nous avons eu quatre enfants

Pour les deux premiers , elle n'a pas souhaité allaiter ,à l'époque l'allaitement n'avait pas le vent en poupe . Pour les deux derniers ce fut très différent ,elle en avait très envie d'allaiter .

Petit aparté ,quand j'ai rencontré ma Chérie ,elle avait seize ans et mettait du 120F en taille de soutien gorge . Pour des raisons de santé ( problème de dos ) elle a subi une réduction mammaire à l'âge de vingt ans .

Aujourd'hui elle a une magnifique poitrine ( 90D ) .

Lorsqu'elle a allaité ,les bébés avaient bon appétit ,sa "fabrique" à lait tournait à plein régime et ils n'arrivaient pas à tout consommer ce que leur mère produisait .

Ma Chérie a toujours été très sensible de sa poitrine , elle a des orgasmes mammaires .

C'est donc tout naturellement que le soir venu lorsqu'elle allaitait ..... La voyant avec sa superbe poitrine gonflée de lait , je m'engouffrais dans ce joyau et alliant l'utile à l'agréable , aussi bien pour elle que pour moi , je la soulageais en m'enivrant de son lait tout et en lui procurant du plaisir .

Ces moments d'intimité très forts restent pour nous deux des souvenirs intenses . A tel point , que parfois en rigolant je lui dis que l'on va refaire un bébé pour revivre ce genre d'émotions .

Ce furent des moments très forts entre nous, malheureusement éphémères ......

Pour ceux qui le peuvent ; à vivre absolument ! ! ! !

Les seins des vrais et durs ! ! ! , découvert aujourd'hui ~ https://fr.zity.biz/index.php?mx=gallery;ox=showalbum;ax=8904 ~ ouch c'est rude, trop rude pour ma petite nature de bucheron des Ardennes.

Oui une jolie collection ! Allaitement et sollicitations en tous genres !

Les femmes girafe, les hommes et femmes plateau, les pieds des geishas ne sont pas des trucages et sont obtenus après de longues périodes de déformation.

Ces tétons sont interpellants, pénétrés d'un doigt, d'un mini sexe en érection n'est pas rien !

Qu'en pense @tursiop et d'autres membres dans le médical et vous autre membres ?

Quand aux tétons en chou fleur / champignon je n'ai pas trop envie de le mettre en bouche !

Merci Arthur pour ce premier élément de réponse. C'est aussi un peu mon idée, mais je me méfiais de ma naïveté naturelle !