Autre :
DES SOINS TRES SPECIAUX
L'ANNEE DERNIERE, JE SUIS TOMBEE MALADE JUSTE AVANT DE PARTIR EN VACANCES. C'ETAIT EN FAIT UN EMBARRAS INTESTINAL CARABINE. LE MEDECIN N'A PAS HESITE, IL A DIT A MA MERE QU'IL N'Y AVAIT RIEN DE PLUS RAPIDE POUR ME SOIGNER QU'UNE SERIE DE PIQURES ET S'IL IL LE FALLAIT... QUELQUES LAVEMENTS. J'AI BEAU AVOIR BIENTOT 16 ANS, A L'IDEE D'AVOIR DES PIQURES ET, SURTOUT DES LAVEMENTS JE FAISAIS TRISTE MINE... ET POURTANT, JE N'IMAGINAIS PAS COMBIEN CES SEANCES ALLAIENT DEVENIR MON SOUVENIR LE PLUS SAVOUREUX, LE PLUS SUAVE... UNE INFIRMIERE EST DONC VENUE TOUS LES JOURS POUR ME FAIRE CES FAMEUSES INJECTIONS. CA A DURE PRESQU'UNE SEMAINE. LE PREMIER JOUR J'ETAIS TROP INTIMIDEE POUR ME RENDRE COMPTE DE QUOI QUE CE SOIT. MAIS LES JOURS PASSANTS, JE RECOUVRAIS PEU A PEU MES SENS... JE REMARQUAI ALORS QUE L'INFIRMIERE S'ATTARDAIT PLUS QU'IL N'AURAIT FALLU A SOULEVER MA CHEMISE PUIS A PASSER LE COTON FROID SUR MES FESSES AVANT DE PLANTER L'AIGUILLE. MAIS C'EST SURTOUT APRES QUE LES CHOSES SE PRECIPITERENT. COMME LE SURLENDEMAIN ELLE M'AVAIT (MALGRE SON SAVOIR-FAIRE) FAIT UN PEU MAL, ELLE ME MASSA LE BAS DES REINS, TRES LENTEMENT, EN MURMURANT :
- Voila, voila ma petite, c'est fini, on ne sent plus rien maintenant. Je vais faire circuler le produit et tout ira bien...
TOUT EN PRONONCANT CES PAROLES D'APAISEMENT, JE SENTAIS SES MAINS GANTEES DE CAOUTCHOUC FROLER MON DOS, DESCENDRE SUR LES MONTS DE MES FESSES, GLISSER ENTRE MES CUISSES, PUIS REMONTER EN S'APPESANTISSANT SUR MA RAIE OU ELLE JOUAIT UN INSTANT, JUSTE ASSEZ POUR QUE JE NE M'EN RENDE PAS TOUT A FAIT COMPTE... OU PLUTOT POUR EN CONSERVER L'AMBIGUITE. VINT LE DERNIER JOUR, J'ETAIS REDEVENUE SUFFISAMMENT LUCIDE POUR QUE CE PETIT JEU M'APPARAISSE CLAIREMENT MAIS COMME JE N'AVAIS AUCUNE EXPERIENCE AMOUREUSE DE QUELQUE SORTE QUE CE SOIT, JE N'OSAIS PAS M'Y OPPOSER, D'AUTANT PLUS QUE, JE M'EN APERCUS TRES VITE, J'Y PRENAIS UN REEL PLAISIR. CA ME FAISAIT MONTER DES FRISSONS TOUT AU LONG DE LA COLONNE VERTEBRALE, JE ME SENTAIS BRULER D'UN FEU BIZARRE, TOUT NOUVEAU POUR MOI. L' APRES-MIDI, ALORS QUE J'ETAIS ENCORE A MOITIE ENDORMIE, L'INFIRMIERE ENTRA DANS
MA CHAMBRE, ACCOMPAGNEE DE MA MERE COMME A L'HABITUDE.
- Ah, elle dort encore !
- Oui, je vais la reveiller doucement, je vous remercie Madame..
MA MERE SE RETIRA... LES CILS A DEMI-ECARTES, JE VIS LA JEUNE FEMME, CAR ELLE ETAIT ASSEZ JEUNE ET MENUE (TRES JOLIE AUSSI JE DOIS AVOUER) S'ASSEOIR DEVANT MON LIT. ELLE ECARTA LE DRAP DE DESSOUS COMME POUR VOIR SI IL Y AVAIT UNE PROTECTION ET TATANT LA TOILE CAOUTCHOUTEE QUI N'A PAS QUITTEE MON LIT DEPUIS QUE JE SUIS TOUTE PETITE ELLE EMIT UNE SORTE DE MURMURE APPROBATEUR. PUIS ELLE REGARDA ENSUITE LONGTEMPS MES FESSES DECOUVERTES ET MES CUISSES LEGEREMENT REPLIEES. PASSANT LA MAIN SOUS SON TABLIER IMPERMEABLE ELLE DEBOUTONNA UN PEU SA BLOUSE VERS LE BAS ET, SOUDAIN, PLONGEA LES DOIGTS ENTRE SES CUISSES. J'ETAIS MAL PLACEE POUR TOUT VOIR, MAIS AU MOUVEMENT DE SA MAIN ET A SON SOUFFLE RAUQUE QUI S'ACCELERAIT, JE COMPRIS QU'ELLE ETAIT EN TRAIN DE SE DONNER DU PLAISIR. JE REMUAI UN PEU. ELLE S'ARRETA NET ! PUIS, ELLE SE PENCHA VERS MON VISAGE ET Y DEPOSA UN BAISER.
- Bonjour petite...On se reveille ?... C'est l'heure de la piqure... ME DIT-ELLE.
JE FIS SEMBLANT D'EMERGER D'UN PROFOND SOMMEIL. JE SOURIS A LA JEUNE FEMME. ELLE ETAIT TOUTE ROUGE ET SON FRONT LUISAIT DE SUEUR. QUAND ELLE ME TOUCHA LES FESSES, COMME ELLE LE FAISAIT POURTANT QUOTIDIENNEMENT, JE NE PUS M'EMPECHER DE POUSSER UN SOUPIR PROLONGE .
- Oh Madame. J'aime bien quand vous me faites des massages mais pas du tout la piqure...
ELLE SEMBLA SE TROUBLER UN PEU EN DISANT
- La piqure, ce sera vite termine...mais il faudra être courageuse car, aujourd'hui, je dois te donner un lavement, pour être sur que ton ventre est bien remis en ordre... mais après je te ferai un beau massage
EN EFFET,ELLE NE S'ATTARDA PAS ET JE SENTIS A PEINE LA PETITE POINTE DOULOUREUSE HABITUELLE. PAR CONTRE QUAND ELLE COMMENCA A PARCOURIR MES REINS ET MES FESSES DE SES DOIGTS AGILES, POUR ME VASELINER ET M'INTRODUIRE LA POIRE A LAVEMENT JE COMPRIS QU'ELLE Y METTAIT CETTE FOIS TOUT SON COEUR... JE CAMBRAI LES REINS ET ELLE PASSA ALORS SA MAIN SOUS MON VENTRE, DANS L'ENFOURCHURE DE MON PUBIS A PEINE COUVERT DE POILS LEGERS. ELLE ME CARESSA LEGEREMENT CET ENDROIT TOUT EN EMPOIGNANT DE L'AUTRE MAIN LA GROSSE POIRE DE CAOUTCHOUC QU' ELLE SE MIT A MALAXER POUR EN VIDER LE CONTENU DANS MES INTESTINS CONVALESCENTS. TOUT EN LE FAISANT ELLE ME REGARDAIT EN SOURIANT. L'EAU TIEDE GARGOUILLAIT DELICIEUSEMENT ET ME BALLONAIT ME PROCURANT UNE SENSATION AUSSI INCONNUE QUE DELICIEUSE. ELLE AVAIT RETROUSSE COMPLETEMENT LE DRAP DE DESSOUS ET DE FAIT JE ME RETROUVAIS LOVEE A MEME LA PEAU DANS LE CREUX DES PLIS CAOUTCHOUTES ET FRAIS DE LA GRANDE ALEZE ODORIFERANTE.
- C'est bon n'est-ce-pas ? tu ne penses déja plus à la piqure ? et bien tu vois, les lavements se passeront aussi bien si tu es raisonnable...
SES YEUX BRILLAIENT DANS LA PENOMBRE... TANDIS QU'ELLE ME MASSAIT DOUCEMENT LE VENTRE AVEC UN PAN DE LA NAPPE DE CAOUTCHOUC. JE NE ME SOUVIENS PLUS SI J'AI JOUI... JE NE CROIS PAS D'AILLEURS, CAR LA JEUNE INFIRMERE S'EST ARRETEE JUSTE A LA LIMITE EXTREME DE... L'IRREVERSIBLE... DEPUIS, JE N'AI TOUJOURS PAS FAIT L'AMOUR AVEC UN GARCON , ET JE CROIS BIEN QUE SECRETEMENT JE REVE D'ETRE DEFLOREE SUR MON ALEZE EN CAOUTCHOUC PAR CETTE FEMME QUE JE N'AI JAMAIS REVUE.