Parler de fétichisme médical avec un médecin

Quelqu’un aurait-il déjà parlé de ses fantasmes ou de ses jeux érotiques en rapport avec le fétichisme médical avec un (vrai) médecin ?

Si oui, était-ce dans un but thérapeutique ? Ou quel était le contexte de cette conversation ?

Si non, seriez-vous prêts à le faire ? Dans quelles circonstances ?

J'en ai parlé à mon médecin traitant au cours de plusieurs consultations. Elle a été compréhensive et humaine.

J'en ai parlé à mon médecin traitant au cours de plusieurs consultations. Elle a été compréhensive et humaine.

Admirable ! J'ai en seulement parlé à un sexologue qui n'a pas dramatisé, disant qu'il n'y avait pas de problème.

Je pense que peut-être j'en parlerai avec un(e) sexologue. Mais il faudrait un déclic, une opportunité qui amène la conversation sur ce sujet.

Une amie de notre site a parlé lavement avec une doctoresse remplaçante dont c'était aussi la culture ! Je crois même me souvenir qu'elles ont pris ensemble un rendez-vous lavement ! Le pot de l'amitié en quelque sorte !

http://www.zity.biz/gallery/image/42459

Une fois, mais bien involontairement. J'évoquais un épisode de forte constipation avec ma médecin, elle m'a demandé comment ça avait passé, et là j'ai laissé échapper un "mon épouse m'a donné un lavement".

Elle n'a pas réagi spécialement et m'a juste demandé si le problème s'était reproduit après le lavement.

Clyso,

Il me semble reconnaitre cette personne et qu'effectivement ensuite elles ont fait quelques lavements ensemble..., aque de bons souvenirs de cette période.

Je ne voulais pas nommer cette personne sans son accord ! LOL !

Je me suis amusé à écrire un petit fascicule sous le titre : ''Nos grand mères savaient'' où je recense une bonne partie de tous les remèdes que nos grand-mère (La mienne était née en 1891) utilisaient pour guérir tous les petits maux du quotidien. J'ai montré le manuscrit à mon médecin (une femme). Je l'ai revue quelques jours plus tard, voici sa réaction : " J'étais morte de rire, mais tout ce que tu dis est vrais. Ce genre de médecine n'est pas assez rentable aujourd'hui... Quand est-ce que tu l'édite ?"

Je vais y penser... Il y a une quarantaine de pages.

Si tu l'édites je peux t'aider à la mise en pages en Word, ce n'est pas le format professionnel comme Adobe et sa suite, mais en respectant les règles de Word cela donnera un très bon résultat et tu pourras le faire imprimer à la demande ce qui éviteras un investissement inutile.

Bravo pour ce petit livre ! Peut-être aurons-nous la primeur des meilleures pages sur les bienfaits du lavement avec ou sans tisanes ?

Voici en cadeau la première page:

Quand je dis : « Nos grand’mères savaient… »Je dois préciser que je fais partis de ceux qui sont nés avant 1950, et que notre grand maman était, elle née avant la fin du dix-neuvième siècle.

Oui nos grand’mères savaient soigner toute leur famille de tous les petit maux du quotidien. Les refroidissements, le mal au ventre, les piqures d’insectes, les indigestions, constipations diarrhée, et que sais-je encore…

Leur savoir, elles le détenaient de leur mère, parfois d’une tante ou d’une voisine… Enfin il s’agissait de remèdes de bonne femme… (Pardon, je devrais dire : de bonne fame… Comprenez : bien famés, par opposition aux remèdes de sorcières…) Et il faut reconnaître que le clystère (le lavement) y était souvent utiliser. C’était un remède peu couteux qui se pliait à toutes les sauces (Je devrais plutôt dire : à tous les bouillons).

Si le lavement servait d’abord en présence de constipation et soulageait à coup sûr un ventre dur et encombré, il soignait aussi la ‘’Déripette’’ (La diarrhée) en vidant un colon infesté de bactéries pathogènes presque complètement en une seule fois. De cette façon, il soulageait le malade d’aller et retour incessants vers les toilettes, et contribuait à évacuer rapidement la cause du mal. De plus il permettait de réhydrater un corps qui en avait bien besoin

Merci pour cette première page.

Je suis 100% d'accord avec !

J'ai confie ma passion pour les suppositoires a mes 3 medecins traitants successifs.

L'urologue qui surveille ma prostate connaît mes penchants anals et rectaux. Lorsqu'il fait un toucher rectal, la facilité avec laquelle son doigt pénètre lui en dit long, le muscle est détendu et "pousse" pour se laisser pénétrer. Aucune réaction de la verge qui reste en repos complet. C'est une activité médicale, aucun fantasme, aucune fantaisie.

Je pense cher @arthur que ce ne serait pas le cas pour moi !

Ma verge ne resterait pas molle si un ou une Urologue (J'aurais une préférence pour une femme) me faisait cet examen...

A l'époque, des Croisades, Guerres de Religion, Chateaux-Forts, Inquisition mon surnom n'aurait pas été " arthur l'érétique " mais bien " arthur l'érotique érétique " La sexualité, l'érotisme ont toujours tenu une part importante dans ma vie, SANS NUIRE à ma carrière complète de 43 années de travail, 44 si on compte deux stages. Ceci pour en arriver à confirmer ce fait le Rideau de Fer / Mur de Berlin et la Muraille de Chine ne sont rien en séparation comparé à celle qui pour moi sépare le côté médical du côté sexe. Le médical c'est pour la santé POINT BARRE, allé raconter n'importe quoi, modifier son comportement avant un examen- une consultation est une tromperie vis à vis du praticien que vous induisez vous même par votre propre volonté (imbécile # terme médical # ) en erreur. Un diagnostique erroné conduit à des soins inappropriés.

Dans le cas d'une érection involontaire, regardez le ou la praticienne droit dans les yeux, souriez lui sans sous entendu, et dite simplement " J'y peux rien, c'est si sensible là " vous ferez passer le message que l'opérant(e) n'est pas la raison de l'érection, mais le ressenti des sensations, cela lui montrera que vous êtes sexuellement et intellectuellement mature.

Érection masculine involontaire chez l'urologue et Lubrification Féminine Vaginale sont deux réflexes, le second ne peut pas être contrôle je crois, il est semblable aux battements du cœur, à la respiration c'est l'organisme qui contrôle et pas le cerveau.

Bonjour, j'ai quelques petits problèmes avec l'éditeur, alors pour patienter, voici la dernière page :

Vous pensez certainement que je suis addict aux lavements ? Je suis d’accord avec vous mais c’est sans doute une des seules addictions qui soit profitable à l’organisme grâce à son action détocxifiante. Une cure de lavement associée à une bonne motivation, peut raccourcir considérablement un sevrage tabagique. Je parle là d’un grand lavement matin et soir, auquel on peut aussi ajouter des lavements de café pour y associer en les renforçant les fonctions détocxifiante des riens et du foie.

Pour les autres addictions, il faut essayer, je n’avais que celle-ci. C’est un remède de cheval mais qui agit en douceur…

Une fois, ma femme a posé la question à un vieux médecin pour savoir d’où pouvait venir cette (mauvaise) ‘’habitude ‘’

« Je ne sais pas… Peut-être une homosexualité refoulée…

- Ah, oui et si j’étais une femme, vous diriez quoi ?

- Je dirais que votre femme est jalouse d’une canule… »

J'en ai déjà parlé à mes divers médecins que je côtoies de mes lavements et quand je demande pour en avoir un on me le refuse, ont me donne juste des Microlax ou Normacol Lavement Adulte à faire chez moi seul.

Les seuls vrais lavements que j'ai reçu ont été fait dans des structures hospitalière: clinique privé et hôpitaux public, soit avant de passer un examen (lavement baryté) et ensuite 2 pour justement ôter la baryte à la fin de l'examen pour continuer les autres examens qui suivait pour ne pas les fausser avec celle-ci ou alors juste avant une opération, hémorroïde et pour ma cryptorchidie ou ectopie testiculaire. Sinon j'en ai reçu par la Directrice de mon école hélas qu'une seul poire à lavement et moi qui est fait le reste et cela sur deux fois de suite dans la même matinée avant d'aller voir un gastro-entérologue qui l'avait demander juste avant ou sinon des Microlax ou Normacol Lavement Adulte pareil avant de réaliser divers examens.

Maintenant je n'ai que deux Normacol Lavement Adulte que me prescrit le médecin traitant par mois que je me fais moi-même chez moi seul renouvelable.