Alors que je dormais... je me suis retrouvé dans un hôpital avec un long couloir et des chambres de partout. Un infirmier me conduisit à ma chambre en me disant de m'installer en attendant qu'un médecin vienne me voir. Il m'indiqua où je devais mettre mes affaires puis me tendit une chemise blanche fendue derrière et me dit de l'enfiler pour être prêt pour la visite du spécialiste.
Je m'installais tranquillement en me demandant ce qui allait se passer car j'étais venu en consultation pour un mal de ventre qui me tenaillait depuis plusieurs jours. Une heure s'était écoulée et j'attendais patiemment dans le lit en écoutant ma radio. Peu après, la porte s'ouvrit et le médecin vint vers moi en me demandant ce que j'avais. Je lui expliquais que depuis trois jours j'avais un mal de ventre inhabituel. Il souleva le drap, remonta ma chemise et mit ma nudité à l'air... Il en avait vu d'autres. Doucement, il palpa mon abdomen, puis le ventre, appuyant de deux doigts sur le côté droit de mon bas ventre tandis que mon sexe commençait à s'impatienter sous ses pseudo caresses. Je paniquais à l'idée qu'il se redresse vigoureusement. Heureusement, le medecin me demanda de m'allonger sur le côté, cachant ainsi ma virilité, et, sans me prévenir enfouis son doigt ganté dans mon anus alors que de l'autre main, il palpait toujours mon ventre. Il poussa son doigt si loin que je cru qu'il m'avait enfoui un pieu dans le derrière. Mon sexe s'était définitivement redressé tant la surprise était grande mais aussi bonne à supporter. Le toubib arrêta son examen et me dit, ce n'est rien, juste une bonne constipation due à votre alimentation. Nous allons remédier à cela en vous "nettoyant efficacement" ! Sans dire un mot de plus, il quittait ma chambre, me laissant le cul défoncé et le sexe tendu. Que faire ? Surtout si quelqu'un revenait dans ma chambre. Je n'en pouvais plus d'excitation. Je commençais à me masturber lorsque la porte s'ouvrit et qu'un superbe jeune infirmier se présentait avec sa table d'accessoires en me disant : "je viens vous libérer" !!! Je commençais à rougir d'autant que sous le drap mon sexe s'était encore durci à la vu de ce si beau garçon...
Il m'enjoignit de me placer sur le côté de sorte qu'il puisse oeuvrer plus aisément. Je basculais mon corps sur le côté gauche lui cachant ainsi mon sexe bandé. Et j'attendis que l'infimier commence sa tâche. Il releva le bord de ma chemise fendue qui lui laissait déjà découvrir mes fesses. Il me dit de ne pas m'en faire, que ce ne sera rien, que ce n'était pas si désagréable qu'on le dit et que de toute manière ce lavement m'avait été prescrit, qu'il fallait que je le prenne...
Il me demanda si j'en avais déjà subi. Je repondis oui mais dans ma prime jeunesse car aujourd'hui les lavements ne sont plus usités, les microlax ont changé les pratiques. Il me répondit que les lavements se faisaient toujours mais que par facilité les produits médicamenteux étaient plus faciles à administrer. Tout en parlant,il enduisait ma rondelle d'un gel et insinua son doigt dans mon anus afin de bien lubrifier l'entrée de mon rectum. Il me dit alors : "Ca y est, on y va !" et en une fraction de seconde, je sentis une canule au bout renfloué me pénétrer sans difficulté tandis que l'eau tiède s'écoulait en moi doucement. D'une main, il maintenant la canule inserrée dans mes fesses et de l'autre voulut masser le devant de mon ventre. Sa main, sans le vouloir, heurta le bout de ma verge bien dure. Sa main hésita, s'éloigna, puis revint et, abandonnant la zone de massage, saisit mon sexe turgescent et commença à le masturber avec douceur. Je fermais les yeux tant le bonheur était à son comble. L'eau m'envahissait toujours sans crampe ni douleur. Le bock était accroché à une tige fixée à la table d'accessoires. Je tournais enfin la tête pour regarder l'acteur de tant de plaisir. Il me sourit tandis que je jouissais dans sa main gantée et inondais mon drap. Il n'échangea aucun mot et maintenait toujours la canule pour qu'elle ne s'éjecte pas. Peu après, le bock étant vidé, il retira la canule et me dit de patienter une quinzaine de minutes avant de libérer le lavement. Il rajouta, je repasserais vous voir ce soir car je suis de permanence...
Je ne réussis pas à attendre quinze minutes et allais très vite me libérer aux wc où je crus rejeter plusieurs litres d'eau tant la pression était grande et que cette prise de lavement avait été jouissive.
La nuit tomba et l'ambiance de cet étage d'hôpital retomba en devenant moins bruyant.
L'infirmier qui m'avait injecté le lavement repassa dans ma chambre vers 21h pour voir si tout s'était bien passé, si j'avais bien évacué car demain matin un autre lavement était programmé de bonne heure. Je répondis que tout s'était bien passé et que j'avais particulièrement aimé ce qu'il m'avait fait subir au point d'en jouir... Il sourit et me dit à voix basse, je reviendrai tout à l'heure !
Les heures passèrent. Je ne trouvais pas le sommeil d'autant que ce qu'il m'avait dit m'intriguait. Pouquoi voulait-il revenir ?
Alors qu'il devait être une heure du matin, j'entendis la porte s'entrouvrir discrètement et une ombre pénétrer dans ma chambre. J'étais éveillé et attendais de voir ce qui allait se passer. L'infirmier s'approcha de moi et me dit, je vais te faire un petit lavement dont tu te souviendras. N'aies pas peur, tu vas beaucoup aimer. Il souleva mon drap et poussa mon corps pour qu'il bascule sur le côté. Il commença à me caresser les fesses, à me les écarter, à titiller mon anus du bout du doigt. Puis il me dit que ça l'excitait beaucoup... Il prit alors sa poire dont la canule était presque aussi grosse et grande qu'un sexe et me l'enfouit dans le cul, appuyant dessus pour libérer son contenu qui me paru très chaud. Il vida presque un litre dans mes entrailles puis retira la grosse canule. En un instant son sexe bandé à mort, long,large et tendu s'offrit à moi. Il me fit basculer sur le dos, jambes en l'air, posées sur ses épaules et força ma rondelle contractée par la pression de l'eau qu'il m'avait injecté. Il poussa comme un fou et son sexe s'engoufra dans mes abîmes. Je retins un cri, de peur de réveiller les autres chambres. Il fit quelques mouvements de va et vient tandis que l'eau chaude de mes entrailles baignait sa queue qui ne tarda pas à exploser, libérant son sperme abondant dans mon lavament... Il se retira très vite, replaça le tout dans son pantalon caché par sa blouse et resortit sans dire un mot. J'avais beaucoup aimé mais je restais sur ma faim. Mon braquemard était au zénith. Je commençais à me masturber quand le lavement faisait son effet. Je me rendis aux toilettes tout en m'astiquant le manche. Arrivé au dessus de la cuvette, je ne pus retenir mes eaux et relachant le tout, je jouissais dans le même temps d'une manière fantastique : la jouissance était double et partagée entre ma queue et mon cul. Ce fut un très grand moment.
Le lendemain, j'espérais revoir mon infirmier. Hélas, il n'était plus de service. Le médecin revint me voir dans la matinée et, ayant lu le rapport de l'infirmier, me dit que je pouvais rentrer chez moi.
C'est à ce moment-là que je me suis réveillé... Bien évidemment, je n'avais jamais connu l'hôpital ni ce merveilleux infirmier... Ce n'était qu'un rêve que je regrette de n'avoir jamais réalisé.