Etant originaire d’un pays de l’est où la conscription était obligatoire dans les années 90, pour mes 18 ans j’ai dû passer la visite médicale obligatoire pour le service militaire. N’ayant pas pu se présenter au rdv imposé par l’armée, car je faisais mes études en France, j’ai dû reprendre un rdv pour la passer quand même quelques semaines après.
Pendant mes vacances, j’ai pris alors ce rdv. Je me suis présenté dans un hôpital militaire de la ville. Je tape à la porte du cabinet du docteur quelques minutes avant le rdv. Une infirmière d’une 30 d’années m’ouvre la porte. Elle est assez grande, je me rappelle pas de son visage. Elle est vêtue d’une blouse blanche, style tunique, et d’une jupe assez courte qui arrive bien au-dessus de ses genoux. Ce dont je me rappelle de plus, c’est son collant chairs très brillants et de ses belles jambes. Elle a l’air assez sympathique.On s’assieds pour remplir le questionnaire médical, elle me pose des questions sur mes études et mon passé médical, elle a l’air bien gentille. Mon stress retombe un peu. Pendant qu’on remplit ce questionnaire, la porte s’ouvre et un médecin, un homme, d’une 50 d’années entre dans la pièce.
Il me demande de me déshabiller complétement. Il n’y avait pas de paravent dans le cabinet, j’ai alors posé mes habits sur la chaise à côté du bureau.
Pendant ce temps-là, le médecin discute avec l’infirmière et s’assied quelques instants après sur le bord du lit d’examen.
Il me demande de me mettre face à lui, il m’ausculte de tète au pieds. Il me demande si j’ai des problèmes au niveau de mon sexe. Je luis dit que non. Et là à ma grande surprise, il prend mes testicules dans ses mains, les malaxent un peu. Avec l’autre mains il me décalotte 2-3 fois de suite.
Je me suis senti vraiment bizarre. Le fait d’être nue devant une jolie femme et se faire décalotter en face d’elle m’a fait légèrement bander. Quelques secondes après le médecin me demande si j’ai des problèmes de dos, genoux etc. et m’ordonne de me tourner et de me pencher en avant pour toucher le sol avec mes mains.
Et là je me suis retrouvé avec mon pénis décalotté en face de l’infirmière, en essayant de toucher le sol. Depuis là j’ai aperçu ses jambes croisées, sous le bureau, avec la jupe qui remontait bien haut sur la cuisse, et qui brillaient à la lumière du soleil. J’avais l’impression qu’elle me souriait et ne loupait rien du spectacle. J’ai senti que je bandais de plus en plus.
Le médecin me fait une réflexion comme quoi je n’étais pas bien souple mais que tout allait bien.
Il a demandé à l’infirmière de finir l’examen et de lui apporter le dossier pour signer. Il m’a dit que j’étais en pleine forme et bien apte pour l’armée. Et il a quitté la pièce.
Et là l’infirmière me demande d’aller me peser, alors que je suis toujours nu. Une fois sur la balance elle est venue vers moi, m’a mesuré et m’as demandé d’aller m’allonger sur le lit d’examen.
Je me sentais humilié et excité en même temps. J’étais toujours en train de bander légèrement, et le fait de voir l’infirmière avec sa petite jupe blanche, moulante, se balader près de moi ne m’a pas aidé du tout.
J’étais au moins content que le médecin soit sorti et qu’on arrivait vers la fin. Une fois installé sur le lit d’examen elle a pris ma tension et s’est aperçu que j’avais une cicatrice au niveau du bas ventre. Elle me fait une remarque comme quoi je ne lui en avais pas parlé durant le questionnaire médical. Je lui explique que je n’y pense jamais car je m’en suis fait opérer tout jeune. Sur le coup d’émotion et d’excitation il m’était impossible de me rappeler pour qu’elle motif on m’a opéré à cet endroit.
L’infirmière à finit de prendre ma tension, et mon pouls. Elle me dit « laisser moi voir ça de plus près » Comme la cicatrice est à quelques centimètre de mon pénis, vers l’aine, elle a pris mon sexe dans sa main en appuyant avec contre mon ventre et avec l’autre main a regardé entre mes quelques petits poils. « Ça ne serait pas à la suite d’une hernie inguinale ? » me dit-elle. « Oui c’est ça » je lui réponds, et je m’aperçois que je commence à bander dans sa main, bien chaude. La sensation que sa main fait sur moi, me fait bander encore plus fort.
« Plus qu’à vérifier les yeux et ça sera terminé". Elle me demande de me mettre face au mur et de lire les lettres. Quand je me lève de table je bande toujours très fort. En plus, je dois me mettre de profil. Avec ma gêne et ne pouvant rien faire d’autre que de cacher chaque œil à son tour, je m’exécute à lire les lignes et j’offre toute mon intimité a cette infirmière.
« C’est tout bon pour vous. Vous pouvez vous rhabiller » Je me sens libéré et content que ça soi fini.
Pendant que l’infirmière fini de remplir les papiers, je m’habille. Une fois habillé je m’accroupie pour mettre mes chaussures. Et là je découvre à nouveau les belles jambes collantées. Sa jupe blanche, bien remontée, ne cache pas grand chose, je me rince vraiment l’œil et je fais trainer pour faire les lacets.
Une fois levé, elle me donne mon récépissé, et me demande de quitter le cabinet.
Cette expérience m’a donné le goût aux visites médicales. Ça reste un très bon souvenir, malgré la gêne que j’ai pu ressentir. Je n’ai jamais pu revivre les mêmes sensations (les premières fois sont les meilleurs) ni la même situation. Ce qui manque de nos jours c’est que la nudité durant les examens n’est plus tellement acceptée, et en plus les infirmières ne portent plus de tenus de ce style, surtout en France.