Je me souviens des visites médicales à l'école; nous étions en slip, et passions l'un après l'autre dans la pièce où était l'infirmière et le médecin...jusqu'à quel âge, ces visites?...je ne me rappelle plus.
Mais bref! le médecin nous faisait signe, lorsque nous entrions - c'était toujours un homme - de venir devant lui. Il était assis sur une chaise, de l'autre côté du bureau où était installée pour remplir ses dossiers, l'infirmière.
Nous restions debout, et le médecin nous faisait ouvrir la bouche, nous palpait les ganglions de la gorge; nous devions nous tourner pour qu'il examine notre dos...puis, nous il nous prenait le bras pour nous placer à nouveau face à lui; il nous palpait le ventre, demandait parfois si on était constipé; il nous baissait alors le slip, alors que l'infirmière, en attente de quelquechose à noter sur notre dossier, restait à observer notre examen...
Il palpait rapidement les ganglions de l'aine de chaque côté, puis il prenait nos bourses entre les doigts d'une de ses mains, et nous sentions qu'il les palpait alors assez fort, à la limite de la douleur, pour savoir si nos testicules étaient bien descendus, tout ça toujours sous les regards de l'infirmière; cette partie de l'examen durait à peine dix secondes...ensuite, tout en maintenant nos bourses, de son autre main, il saisissait notre zizi, et nous décalottait...ça allait vite, mais il prenait soin de nous décalotter complètement; ça picotait un peu, mais il faisait sortir le gland complètement, sans rien dire, et il examinait vite notre gland sous toutes ses faces, en le tournant entre ses doigts, pour voir s'il n'y avait rien d'anormal, pour voir si le frein du gland ne gênait pas le décalottage...
... l'examen était terminé; nous remontions alors notre slip, mais je ne me souviens pas s'il nous laissait décalotté, ou s'il parvenait à faire rentrer le gland dans sa petite protection. Mais je me souviens d'une fois où à force de tirer en arrière la petite peau pour bien examiner mon gland,j'avais eu mal, sans ose protester.
Nous n'étions pas gêné outre mesure par cet examen annuel; à cet âge-là, si j'aimais me toucher dans mon lit avec satisfaction, je n'avais pas encore commencé à me masturber vraiment.
Mais bien plus tard, en me masturbant tout en imaginant des scènes de visite médicale, je me plaisais à supposer ce qui aurait pu m'arriver, si, lorsqu'on me demandait si j'étais constipé, j'avais répondu par l'affirmative...tout en me caressant, j'imaginais alors que le médecin, alors que j'étais slip baissé devant lui dise "voyons ça...", mette sur un de ses doigts en peu d'un étrange liquide sorti d'un tube posé sur le bureau...il passe sa main entre mes jambes, sous mes bourses, et je sens son doigt entre mes fesses chercher mon petit trou; je suis gêné, mais je me laisse faire; le médecin rentre alors son doigt dans mon petit trou, et très vite, dit : "bon : tu as besoin d'un lavement ! tu vas aller avec l'infirmière à côté, et on va te faire un lavement pour que tu ne sois plus encombré..."
Dans la suite de ce genre de récit, je me demandais comment l'identique de cette visite médicale scolaire pouvait se dérouler chez les filles ?...tout bêtement, il faudrait que je pense à le demander à des amies intimes;
Car pour vérifier la conformation correcte de la vulve d'une fille, on baisse la culotte, d'accord: le médecin regarde s'il y a des taches dans le gousset de la culotte, s'il y a des pertes ou des écoulements suspects dans la fente de l'abricot..., mais il faudrait écarter les grandes lèvres, pour vérifier l'état des petites lèvres, l'entrée du vagin...pour cela il conviendrait qu'elle écarte les genoux pour permettre l'examen, et j'imagine mal qu'on lui demande cela lors d'une visite scolaire. De plus, on pourrait imaginer que de la même façon qu'on contrôle si un garcon décalotte normalement, contrôler un décapuchonnage correct du clitoris.Mais pour cela, il faudrait demander au sujet de se placer assise au bord d'une chaise, sans sa culotte, les genoux grand ouverts, ou encore penchée en arrière, contre le dossier du siège, pour qu'elle puisse relever quelques instants ses jambes écartées afin que l'on puisse bien lui écarter les lèvres avec les doigts,et ensuite le capuchon, pour vérifier que le clitoris se dégage bien...j'imagine mal que dans la réalité on ait procèdé, même il y a plus de vingt ans, à un tel examen lors d'une simple visite médicale scolaire...
...en revanche, se peut être un délicieux jeu de visite médicale, avec une amie, comme ça, dans un salon ou un bureau; ou encore, avec un couple désireux de cela, lorsque le mari demande que sa femme subisse un tel examen sous ses yeux...