La fuite en allant aux toilettes est je crois le phénomène le plus redouté. On peut aussi mettre dans le même paquet la crainte de trouver les WC occupés (Clyso)
Je reviens sur (‘l’affaire des fuites) et sur la notation de Clyso. Voir ci-dessus.
Ne pratiquant pas en « solo » je cite les cas en duo ou en club où je peux aussi être sous la sellette.
Dès que l’on reçoit un lavement, la crainte de la fuite s’installe en nous.car nous avons deux fonctions à assumer.
L’une est de le gérer pendant qu’on nous le sert et qui nous donne du plaisir. L’autre, la plus dure, est de n’en rien perdre. La canule ou la sonde anale ne sont pas des obturateur laissent tout passer si on ne les serre pas assez fort. Sauf si elles sont à ballonnets ce qui nous prive de l’effet complet du lavement
Quand on nous autorise à nous vider aux WC, on court le risque de ne pouvoir y arriver sans en jalonner le parcours ce qui est fort humiliant et punissable. Le moindre risque est que l’on nous place un seau hygiénique près de la couche. C’est aussi humiliant et repoussant de le voir là, débarrassé de son couvercle. Mais quand ça presse on est bien content(e)s d’y sauter dessus.
La gêne et l’humiliation reprennent alors leurs droits devant le donneur ou la donneuse, pire encore s’ils sont plusieurs. Ils ont déjà joui de nous voir prendre le lavement parfois péniblement dans des râles, des gémissements et des contorsions, en serrant nos fesses parfois avec nos poings voilà qu’ils reprennent goût à ce supplément de spectacle.
La chute du bouillon dans le seau ajoute le côté Audio, ponctuée par les « flocs » de ce que le lavement entraine avec lui.
À la fin, chacun, chacune viennent juger visuellement de l’efficacité de l’opération laxative espérant qu’aucun doute ne soit émis, qu’on ne nous en accorde pas le bénéfice et qu’il faille recommencer pour avoir la certitude d’un travail bien fait. Nous sommes alors en attente du verdict de l’opinion, en se contentant de ne pas avoir eu de fuites.